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[ multimédias ] [ Marine Le Pen ] [ Jean-Marie Le Pen ] [ Sujets divers ] [ Mes reflexions ] [ Les communiqués ] [ citations ]

Le soutien des maires corses à Le Pen

28/03/2007 09:53



 Sur la liste des 500 élus, publiée au Journal officiel du samedi 24 mars, après un tirage au sort des 535 parrainages obtenus, ils ne sont que douze Corses à avoir accepté de confier leur signature à Jean-Marie Le Pen. Mais en réalité, les "parrains" corses du candidat du Front national sont presque deux fois plus nombreux : vingt et un, pour l'essentiel maires de petites communes rurales du nord de l'île. "Et vingt-quatre en comptant les trois élus qui s'étaient engagés uniquement si le cap des 500 signatures n'était pas franchi", précise-t-on au siège du Front national.

 


Vingt-quatre élus : rapporté aux 360 communes de l'île de Beauté, le chiffre équivaudrait, sur le Continent, au parrainage de plus de 2 000 maires...

Ce soutien, à l'ampleur inattendue, le leader du FN le doit à Olivier Martinelli, son jeune directeur de cabinet. A 37 ans, ce fils d'un couple pied-noir de Corse, sait faire jouer la "fibre identitaire" au profit de "son" président. Véritable artisan du virage idéologique du Front national sur la question corse, il a su convaincre Jean-Marie Le Pen, contre l'avis des instances du FN, d'oublier les rengaines jacobines et la peine de mort contre "les terroristes encagoulés" pour se consacrer à la défense de l'identité et des valeurs locales.

Au prix d'une scission qui a vu bon nombre de figures historiques de l'extrême droite corse quitter les rangs du parti, le Front national - Fiamma Corsa (pour "Flamme corse") joue désormais sur un registre résolument identitaire, prône l'apprentissage du Diu vi salvi Regina - l'hymne corse - en même temps que de La Marseillaise et défend "les droits des Corses d'abord sur leur terre".

Signe des temps, alors que les nationalistes avaient interdit de séjour en Corse le leader d'extrême droite pendant une quinzaine d'années, un sondage à paraître dans le mensuel Corsica, le 4 avril, révèle qu'un sympathisant sur trois se déclare dorénavant prêt à voter en faveur de M. Le Pen au premier tour de l'élection présidentielle.

Pour engranger les vingt et une précieuses signatures, Olivier Martinelli ne s'est pas ménagé. En deux mois, le jeune "dircab" de M. Le Pen a dû se rendre à quatre reprises en Corse, avaler des kilomètres le long des petites routes en lacets, visiter des villages de quelques dizaines d'habitants. Il a passé de longues heures à tenter de convaincre des maires "sous pression", non sans difficultés mais avec un sens inné de la communication et l'appui de quelques solides soutiens locaux.

A Cristinacce (Corse-du-Sud), pratiquement aucun problème : la petite commune de montagne, dont le maire vient de rejoindre la cohorte des nouveaux parrains, est située au coeur de la région d'origine d'Alain Vizier, directeur de la communication de Jean-Marie Le Pen.

Mais à San Damianu, dans la plaine orientale de l'île, Olivier Martinelli s'est heurté d'emblée à la réserve de Marie-Hyacinthe Paoli. Il a fini toutefois par obtenir sa signature. Comme à Rapale, à Cateri, à Mela ou à Ambiegna, petites communes du cap Corse ou du Taravu, parfois plus hameaux que villages...

Une anecdote résume ce qu'un proche appelle la "méthode Martinelli" : courant janvier, alors qu'il dîne dans un restaurant bastiais avec un parent, il "retourne", grâce à quelques phrases en langue corse savamment distillées dans la conversation, une tablée de trentenaires d'abord hostiles qui promettent finalement "d'aller voir le maire" de leur village.

Pour M. Martinelli, ces parrainages apportent la preuve de "la triple qualité des élus corses : indépendance d'esprit, courage et civisme" et traduisent "la crainte, beaucoup plus répandue dans l'île que sur le continent, d'une France en pleine décadence".

Au soir du premier tour, le 22 avril, le même promet que "la révolte viendra de Corse", une région où, contrairement aux idées reçues, M. Le Pen enregistre régulièrement de bons scores électoraux. En 2002, le candidat FN avait réalisé une authentique performance : bondir de près de cinq points entre les deux tours.

source : Le Monde.fr






Consignes politiques à l'usage des mal-votants !

27/03/2007 17:58



Consignes politiques à l'usage des mal-votants !
"Les Français vont devoir accepter la Constitution européenne..."

Valéry Giscard d'Estaing a évoqué la Constitution européenne devant les étudiants de l'université de Georgetown à Washington.

"Pour achever la ratification, il serait nécessaire pour les deux états qui ont dit Non de changer leur position" a-t-il déclaré. La France et les Pays-Bas seront donc bien obligés de s'aligner sur les autres. "Il faut vraiment que la France clarifie sa position et ne demande pas aux autres de clarifier la leur, qui est généralement claire".
Mais il faut attendre les élections. Après, il faudra "un délai approprié pour permettre aux gens d'avoir le sentiment que le texte est examiné minutieusement et que toutes les observations sont faites".

Une fois qu'on leur aura inculqué ce sentiment, on fera voter le Traité par le Parlement, parce que, "pour un texte de cette nature, un processus parlementaire est plus adapté", et ce fut "probablement une erreur de l'avoir soumis à référendum".

Mais Giscard n'oublie pas que d'autres pays, qui ont gelé le processus de ratification, sont hostiles à la Constitution européenne. Et le voilà qui suggère que certains pays comme la Grande-Bretagne ou la République Tchèque puissent rester en dehors du Traité constitutionnel comme certains pays restent en dehors de la monnaie unique...

Et alors, pourquoi pas la France, qui a ouvertement et clairement dit NON ?

Article d'Yves Daoudal in National Hebdo n°1181 (du 8 au 14 mars 2007), p. 2.
(sous le titre : "Giscard : Les Français vont devoir accepter la Constitution européenne...")


Ce n'est pas la première fois que nous évoquons ce sujet ici. Les candidats Sarkozy, Royal et même Bayrou n'ont qu'une idée en tête, imposer un Traité constitutionnel par la procédure parlementaire.
Voir aussi les pages "Comment réparer "l'erreur de procédure référendaire en Europe" ! ", "Les marchands de sable" et "Sarkozy, menteur !" qui traitent également de leur volonté d'imposer ce que les Français ne veulent pas.

Pourquoi vouloir à tout prix instaurer un seul État pour l'Europe ? Car c'est bien ce que nous prépare ce Traité. Notre nation, dont nous pouvons être légitimement fiers, ne sera plus qu'une province de ce futur état européen. Et si quelqu'un pense que les décisions européennes (passées, présentes et futures) concernant la France sont mauvaises, il lui faudra alors convaincre une majorité d'européens pour faire machine arrière.
Autant dire que ce sera totalement impossible !

Alors, c'est maintenant que le choix doit être fait.
Après, il sera trop tard pour faire machine arrière.

Voter pour Bayrou, Royal ou Sarkozy
n'aura qu'une seule conséquence :
faire disparaître notre nation !

Les 22 avril et 6 mai prochains

Votez Jean-Marie Le Pen !

 

source : fn06.net






A Clichy, ville française

17/03/2007 19:32



A Clichy, ville française…

Le 10 mars, le quotidien Le Parisien a publié un article sur la volonté de la municipalité socialiste de Clichy (Hauts-de-Seine) de « limiter la place des commerces ethniques ». La mairie dirigée par Gilles Catoire, « après avoir assisté, impuissante, à la multiplication des taxiphones, bazars, kebabs, boulangeries et boucheries musulmanes, agences de voyages spécialisées vers le Maghreb et autres agences immobilières attirées par ce nouvel eldorado aux portes de Paris, a décidé de passer à l'action ». En l’occurrence, le conseil municipal vient de confier à cet édile « le droit de préemption sur les ventes des baux et des fonds commerciaux et artisanaux dans les rues commerçantes de la ville comme le permet désormais la loi du 2 août 2005 ». Et Le Parisien de préciser que M. Catoire « vient de signer la préemption de la dernière boucherie traditionnelle du centre-ville pour empêcher le repreneur – un artisan maghrébin – d'ouvrir une boucherie halal ». Président de l’Association des commerçants et des artisans de Clichy, Jean Auboiroux relève qu’« On assiste partout à la disparition des commerces traditionnels. A Clichy, une ville de 56 000 habitants, il n'y a pas de charcuterie. Il faut aller à Levallois. Les deux dernières fromageries ont fermé il y a plusieurs années. C'est dommage. Il faut réagir » a déclaré M. Auboiroux. Secrétaire départemental du FN du 92, Alain Gallais s’est « félicité de la révolution mentale qui vient de s'opérer dans la municipalité clichoise à l'égard des commerces clichois » mais à fait part de son scepticisme, sachant que Gilles Catoire a toujours bruyamment manifesté le plaisir qui était le sien « de diriger une ville fortement peuplée d'immigrés africains ». A l’heure ou « les prix excessifs de Paris ont justifié l'implantation à Clichy depuis peu de cadres trentenaires », Alain Gallais a également relevé que « c'est paradoxalement une maire-adjointe d'origine maghrébine, Mme Sabrina Bahmed, qui argumente pour (…) préempter les ventes de baux commerciaux pour favoriser les "commerces de qualité". Que n'aurait-on pas dit si cette politique avait été exprimée par un autre parti ou un élu/candidat d'une autre origine ethnique ? N'y a-t-il pas là un préjugé raciste sur les valeurs relatives des commerces ? ». « C'est de toutes façons un formidable désaveu de la politique de Gilles Catoire, qui se revendiquait jadis de ce qu'il déplore apparemment aujourd'hui. C'est malheureusement peut-être insoluble, parce que la situation de Clichy reflète le conflit de deux cultures, la "française traditionnelle" et l'"ethnique". Or elles n'expriment pas les mêmes besoins, en matière de commerces comme ailleurs, et la solution apportée jusqu'ici par le marché ou la cohabitation n'a pas été une "assimilation", ni un "équilibre", mais clairement une "éviction" de la première par la deuxième. Il est très douteux qu'une municipalité socialiste ait la volonté et les moyens d'appliquer au niveau local un thème majeur du Front National ! » a affirmé Alain Gallais. Et ce qui est vrai pour une municipalité socialiste l’est bien évidemment aussi, ajouterons nous, pour les candidats du Système qui s’emploient avec plus ou moins de bonheur à singer le programme de Jean-Marie Le Pen…

source : fn






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