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La chasse aux signatures avec une fourchette à escargot
03/02/2007 14:50
"Les signatures, il faut aller les chercher avec une fourchette à escargot"
« LES SIGNATURES, il faut aller les chercher avec une fourchette à escargot. » Fernand Le Rachinel en parle en homme d'expérience : il est au FN le champion ès parrainages. Depuis 1981, sur les quatre campagnes précédentes, il en a rapporté plus de 110 à lui tout seul. Performance qui lui a valu d'être désigné par Jean-Marie Le Pen responsable de la cellule signatures. Ce qui ne l'empêche pas d'aller sur le terrain presque tous les jours depuis trois semaines, comme un certain nombre d'autres cadres du FN.
Une première sélection a été faite au « paquebot », le siège du FN à Paris, par « phoning » : des milliers de maires ont été appelés au téléphone dans toute la France, pour distinguer ceux qui sont définitivement fermés à toute idée de parrainage et ceux qui peuvent être approchés. Muni d'une carte sur laquelle une cinquantaine de villages de la Manche sont marqués d'un point rouge, le député européen applique une méthode à lui : il va voir les maires chez eux sans prendre rendez-vous. « Je préfère ça au rendez-vous pris par téléphone, explique-t-il : si c'est non au téléphone, c'est fermé, il n'y a plus moyen d'y revenir. » Pour lui, l'efficacité, en signatures, est aussi une affaire de contact, « une question de convivialité ».
Départ dans la brume matinale. Mise en fonction du GPS, la providence des chercheurs de parrainages. Cap sur une petite commune où Le Rachinel a « fait » un bon score aux dernières régionales. Arrivée au village. Le Rachinel s'enquiert de la maison du maire. Il n'y a personne. Peut-être est-il à la mairie ? Pas question d'y aller. « Il y a souvent du monde, le secrétaire de mairie est là, le maire n'a pas sa liberté de parole. » Le Rachinel retournera le lendemain soir voir le maire chez lui.
« J'aurais trop d'ennuis »
Nouveau départ. Quinze kilomètres pour aller chez un autre édile. Nouvelle demande au voisinage. Maire agriculteur, absent de chez lui. Le Rachinel entame une troisième expédition, arrive dans un troisième village, tombe par hasard sur la maison du maire : il n'est pas là. Quatrième tentative, quatrième échec. Renseignement pris, l'explication s'impose : tous les maires du canton sont réunis autour du président de Région pour une affaire d'intérêt local. La méthode de la visite à l'improviste a ses avantages et ses inconvénients.
En plein milieu de la matinée, après quatre déplacements pour rien, il faut donc changer de canton. Le Rachinel fait 45 kilomètres pour rejoindre le sud du département et se dirige vers un village dont le maire, selon les renseignements, est « assez ouvert ». « Sa femme est d'accord pour qu'il signe. Le problème, c'est son fils, un fonctionnaire, qui s'y oppose. » Le Rachinel se donne « une chance sur deux ». Arrivée à la maison de l'édile. Nouvelle mauvaise surprise : le garage est ouvert et vide, la porte de la maison fermée. On repassera en fin de matinée.
L'élu FN jette alors son dévolu sur un maire qui lui a été décrit comme « très indépendant d'esprit, assez original ». Il en conclut qu'il « pourrait signer ». Arrivée chez cet agriculteur. Sa femme va le chercher alors qu'il s'affaire au fourrage. Enfin Le Rachinel va voir un maire. Le ciel s'est dégagé, la campagne est lumineuse : voilà le maire qui arrive, en bottes, rubicond, l'air jovial, l'oeil malicieux. Le député européen récite son couplet sur la démocratie : « Je viens vous embêter, vous savez pourquoi... Signer pour Jean-Marie Le Pen, ce n'est pas le soutenir, c'est simplement estimer qu'un candidat qui rassemble 15 % ou 20 % des voix doit pouvoir se présenter. »
Refus du maire : il connaît « Fernand », il a une « bonne idée de lui », mais il est « apolitique », il ne signe « pour personne ». Même s'il manquait une seule signature à Jean-Marie Le Pen ? « Même dans ce cas, c'est non. » Le ton est ferme. L'envoyé de Le Pen n'insiste pas.
Retour dans le village précédent, où il était déjà venu trois fois. Le maire est chez lui. Sa femme vient ouvrir. Ils déjeunent. Accueil aimable devant la table de salle à manger. Le maire : « J'ai réfléchi, c'est non. J'aurais trop d'ennuis. Je refuse pour tout le monde. Hier, les gens de Besancenot sont venus. » « Et s'il manque un parrainage à Le Pen ? », demande Le Rachinel. Le maire paraît hésitant. Le Rachinel se retire. « On les a dérangés, c'est pas bon », conclut-il, décidé à renouveler la tentative plus tard.
Le député européen a fait 230 kilomètres, visité six villages, rencontré deux maires sans obtenir une signature. « Ce n'est pas du temps complètement perdu, estime-t-il : j'ai repéré les maisons de trois maires absents où je retournerai. » Et d'assurer qu'il aura une ou deux signatures dans la semaine. Il n'empêche qu'à cinq semaines de la date limite de dépôt des formulaires de parrainages au Conseil constitutionnel, il avoue n'être pas sûr que Jean-Marie Le Pen franchisse l'obstacle.
Source : Le figaro.fr
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Nunuche et Caniche
01/02/2007 18:41
Ségolène en voyage aux Antilles ajoute une nouvelle bourde à son palmarès
Après le Liban, c’est au Québec que s’est illustrée la nouvelle égérie de la gauche caviar. Là bas, miss nunuche 2007 s’est prononcée en faveur d’un Québec souverain ; quel paradoxe pour la chef de file d’un parti socialiste qui n’a eu de cesse de brader notre souveraineté nationale. Madame Royal souhaiterait-elle aux Québécois d’accéder à ce dont les français ont été privés depuis des décennies, par une œuvre de destruction mondialiste menée conjointement par la gauche et la droite ?
Le spectacle médiatique continue donc, et les sociaux libéraux du PS font tout leur possible pour se différencier des libéraux sociaux de l’UMP…sans succès. La campagne du PS nous prouve chaque jour d’avantage qu’en réalité, Ségolène et les socialistes ont exactement les mêmes objectifs que Sarkozy et son équipe : mettre à bas l’identité nationale française et favoriser l’avènement de la société globalisée. A l’instar de l’extrême gauche – qu’il s’agisse du PCF ou de la LCR – Ségolène Royal axe une grande partie de sa campagne sur la promotion du cosmopolitisme ; en voyage aux Antilles, la candidate socialiste s’est affirmée comme la combattante pour une « France métissée » Aucune différence donc avec son prétendu adversaire Nicolas Sarkozy qui a exprimé a plusieurs reprises au cours de l’année 2006 sa croyance en une France « métisse » Le mondialisme de gauche fait donc fatalement corps avec le mondialisme de droite dans la lutte contre l’identité française et toute forme de spécificité nationale N’étant plus à une contradiction près, Ségolène s’est aussi prononcée en faveur d’une République devant « ouvrir ses bras à tous ses enfants ». Puis d’ajouter en créole, et donc de manière très républicaine « Nou ké cassé ça » Pas de doute, cela a sans doute plu à une partie de la population locale et bien sûr aux élus socialistes d’outre mer. La signification de cette phrase fait encore l’objet de discussions ; selon de nombreuses interprétations, ce proverbe signifierait « nous allons tous casser » alors qu’à en croire Victorin Lurel député de la Guadeloupe et secrétaire national du PS aux DOM-TOM, il signifie « nous allons changer ça » Que l’on se réfère à l’une ou l’autre des traductions, cette nouvelle idiotie révèle le ridicule du PS : ayant été au pouvoir pendant plusieurs décennies, les socialistes n’ont jamais rien « changé » malgré leurs slogans et ont même contribué à l’émergence de la France des « trente piteuses » En ce qui concerne la première traduction, nous faisons confiance au PS : il est capable de continuer à tout casser. Le point crucial reste le fait que Ségolène, ardente protectrice de la République, se soit exprimée en créole alors que l’idéal républicain suppose l’unité, notamment au travers de la langue. Décidemment, les socialistes ont une étrange conception de la République, fort éloignée de la nôtre. Par ailleurs, se serait elle exprimée en breton ou en alsacien lors d’une tournée en métropole ? Il ne fait nul doute que non. Parler créole est plus dans l’air du temps, plus « métisse » que de parler une langue régionale de Métropole.
Il faut voir en la démarche de Ségolène la volonté de récupérer un électorat potentiel. Sans doute les socialistes espèrent ils flatter les habitants des DOM TOM, se sachant en mauvaise posture auprès d’un grand nombre d’électeurs métropolitains qui conservent un arrière goût amer des « changements » apportés par la gauche. C’est pourquoi, dans cette entreprise de vile flatterie, Ségolène s’est livrée à de nombreux hommages à la lutte passée contre l’esclavagisme aux Antilles et n’a pas hésité à attaquer une « lecture révisionniste de l'histoire, dont une certaine droite s'est fait une spécialité » Des paroles qui plairont sans doute au socialiste endurci Georges Frêche pour qui les Harkis sont des « sous hommes sans honneur ». Tout comme la droite, la gauche prône la politisation de l’histoire. Quoi qu’il en soit nous devons méditer ces nouvelles paroles de celle qui « conduira » le PS lors des élections à venir : une République métisse ouverte à tous ses enfants. Le PS se soucie-t-il des enfants de la République qui, victimes du fiscalisme et des 35h n’arrivent pas à vivre décemment ? Se soucie-t-il des millions de Français victimes de la violence et de l’insécurité découlant de la politique d’immigration massive et de l’impunité dont jouissent les délinquants et criminels, du fait de lois scélérates qui émanent en grande partie de la gauche ? La république de la gauche est ouverte à tous, mais surtout à n’importe qui/quoi. Les Français, de métropole ou des DOM TOM ne doivent pas être dupes : les socialo- mondialistes ne diffèrent en rien de leurs confrères de droite, et ne résoudront pas aujourd’hui les problèmes qu’ils ont eux même mis en place hier.
Pour un véritable changement, une seule alternative, la défense du peuple de France grâce au Front national !
source : site officiel de Jacques Vassieux
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Le FN crée une cellule de recherche de parrainages
27/01/2007 19:27
e galère !", lance Jean-Marie Le Pen lorsqu'on lui demande où il en est dans le recueil des promesses de parrainage pour sa candidature à l'élection présidentielle. "J'ai beaucoup de mal à les réunir mais tout le monde a beaucoup de mal", précise-t-il, en ajoutant qu'il reste toutefois optimiste sur le résultat final.
Lundi 22 janvier, Louis Aliot, le secrétaire général du Front national (FN), a mis en place une cellule de crise "recherche de parrainages" près de son bureau. Elle comprend une demi-douzaine de personnes qui centralisent les promesses et coordonnent les actions sur le terrain.
Jeudi 25 janvier dans l'après midi, deux assistantes assuraient une permanence téléphonique. Leur rôle ? Relancer les secrétaires départementaux et faire la liaison avec les "collecteurs" envoyés en renfort sur le terrain.
Le président du FN affirme avoir, à ce jour, "plus de 400 promesses". Son objectif est d'atteindre 600 promesses. En fait, seules 500 sont requises pour valider une candidature mais l'expérience de 2002 pousse celui-ci à la prudence.
S'APPUYER SUR L'APPAREIL
Il y a cinq ans, en effet, plus de 200 élus étaient revenus sur leur promesse lorsqu'il avait fallu les transformer en parrainages définitifs. Ce n'est qu'au prix d'une mobilisation générale de l'appareil, y compris de Jean-Marie Le Pen et de son épouse, que le président du FN avait pu se présenter à l'élection présidentielle.
Contrairement à 2002, le choix de 2007 a été de s'appuyer uniquement sur l'appareil et non sur des "démarcheurs sympathisants", jugés moins fiables.
"Pour le moment, les déclarations de (M.) Sarkozy au Monde (Le Monde du 23 janvier) selon lesquelles il serait "souhaitable" que Le Pen puisse se présenter à la présidentielle n'ont pas beaucoup d'effet, mais peut-être est-ce trop tôt", ironise M. Aliot qui menace : "Si M. Le Pen était empêché, il est bien évident que les électeurs du FN s'en prendraient aux élus de droite. Après la présidentielle, il y aura les législatives puis les cantonales."
"Ce sera difficile de croire que des consignes n'ont pas été données si dans certains départements nous ne parvenons pas à obtenir des parrainages", insiste-t-il.
source : Le Monde.fr
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