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Ils veulent nous faire revoter le texte de la constitution européenne d'ici 2009
15/04/2007 14:10
L'UMP donne des gages à Berlin
Pour montrer sa bonne volonté de recycler la Constitution européenne rejetée par le peuple français le 29 mai 2005, l'UMP a missionné à Berlin un certain Pierre Lequiller, député de la 4ème circonscription des Yvelines. Président de la délégation pour l'Union européenne à l'Assemblée nationale, il propose un quasi copié/collé du texte refusé par 55% de ses concitoyens, avec un nouveau titre évitant le terme "Constitution", un peu trop explicite sur le but poursuivi d'achever l'érection d'une Europe-Etat.
On se souvient que le ministre-candidat-président de l'UMP avait plaidé à l'automne pour un "mini-traité" (comme s'il s'agissait d'un simple problème de taille...), mais reprenant en réalité intégralement les parties I et II du traité constitutionnel rejeté, pour faire ratifier par les députés et sénateurs ce que le peuple français a refusé par la voie référendaire. Ségolène Royal l'avait imité la semaine dernière à Luxembourg en y ajoutant un peu de "social" en annexe mais en proposant, elle, plus démocrate, un nouveau référendum en 2009. A force de leur reposer sans cesse la question, les Français vont bien finir par se lasser et dire "oui", non ? Surtout et comme son concurrent de droite, elle entend changer l'emballage de la Constitution européenne aménagée à la sauce Royal. La candidate socialiste en a ainsi profité pour poursuivre son oeuvre d'innovation sémantique, en rebaptisant l'affaire "traité fondamental de base", pléonastique et tout aussi énigmatique, pour le monde juridique, que ne le fut l'oxymorique "traité constitutionnel".
On prend les mêmes et on recommence
M.Lequiller propose, lui, à la présidence allemande de l'UE, de renommer la Constitution européenne recyclée "traité institutionnel". Dans Le Monde daté d'hier, M. Lequiller avoue en creux qu'il n'a pas cherché à tirer les leçons du "non", leçons qu'il n'a sans doute même pas comprises d'ailleurs. "Ce traité garde la première partie du traité constitutionnel, qui fixe les objectifs, les valeurs de l'Union et ses instruments institutionnels. Elle serait complétée par les dispositions des troisième et quatrième parties" nouvelles par rapport aux traités existants et qui apparaissent "indispensables à la mise en oeuvre" de la première partie. Il s'agit du service européen pour l'action extérieure (diplomatie européenne), du vote à la majorité qualifiée en matière de politique étrangère et de sécurité (PESC), de l'actualisation des missions de Petersberg dans le domaine de la sécurité et la défense, de la coopération structurée en matière de défense, des nouvelles règles d'établissement du budget annuel, de la procédure de révision simplifiée (dite clause passerelle générale permettant de faire passer certains domaines de l'unanimité à la majorité qualifiée) et de la codécision.
Résumons-le : la partie I en intégral, les dispositions "importantes" de la partie III ici énumérées, mais aussi, la partie II, c'est-à-dire la Charte des droits fondamentaux, cette fois renvoyée "en annexe" pour la rendre peut-être moins effrayante à ceux qui sont encore un peu attachés aux droits et libertés issus de 1789, de la IIIème République et du préambule constitutionnel de 1946. Et M. Lequiller de préciser que les dispositions du nouveau traité prévaudront "sur toute disposition contraire des traités existants", évidemment.
Constitutionnalisme honteux
Membre de la fameuse "Convention" non-élue présidée par Giscard, qui a rédigé, sans en avoir reçu formellement mandat et dans une incroyable opacité, le projet de Constitution européenne, le député Lequiller estime qu'il faut renoncer à ce stade, au terme de "Constitution", qui, indique-t-il, "induit une ambiguïté en laissant penser que l'Union est un Etat". Il se moque bien sûr un peu du monde mais, "à ce stade" comme il dit, c'est juridiquement exact : tant que les ex-articles 6 et 7 (partie I) en particulier ne sont pas en vigueur, on ne peut pas tout à fait encore parler d'Etat s'agissant de l'Union européenne.
En revanche, une fois ces deux dispositions-clés ratifiées, que ce soit via le "mini-traité" de M. Sarkozy, le "traité fondamental de base" (décidément on ne s'en lasse pas...) de Mme Royal ou le "traité institutionnel" de ce M. Lequiller, plus personne ne pourra douter de ce que l'Union européenne est bel est bien devenue un Etat à part entière chapeautant des Etats fédérés lui ayant transféré leur souveraineté. L'article 6 proclame en effet pour la première fois, ce que seule la Cour de Justice avait osé faire jusqu'ici dans une déplorable indifférence : la primauté absolue du droit fédéral sur le droit des Etats membres y compris leur Constitution. Quant à l'article 7, il dote l'Union européenne de la personnalité juridique ce qui, conformément à une jurisprudence bien établie (AETR, 31 mars 1971) et même le simple bon sens, entraîne la substitution de l'UE aux Etats-membres dans les relations et les organisations internationales. Combien de temps croit-on maintenir le siège permanent de la France, comme celui du Royaume-Uni, au Conseil de sécurité des Nations Unies, lorsque l'UE sera devenue personne juridique à part entière, indépendante des Etats qui la composent, dotée d'un Ministre des affaires étrangères avec ses services diplomatiques qui usent et abusent déjà du titre d'"ambassadeur", et d'une politique étrangère et de sécurité désormais votée à la majorité qualifiée ? Les eurodéputés UMP et PS ont à plusieurs reprises au cours des dernières années, approuvé des rapports (à commencer par la fameuse résolution Laschet en 2004) pour doter l'UE d'un siège de membre à part entière à l'ONU, ce qui signe ipso facto la fin du siège des Etats qui en sont membre. On n'imagine pas un ambassadeur du Texas ou de la Californie siégeant aux côtés de celui des Etats-Unis. D'ores et déjà, dans les négociations internationales, à l'OMC par exemple, les Etats doivent s'effacer derrière le mandat donné à la Commission européenne (indépendante et irresponsable politiquement).
Fédéraliste honteux, M. Lequiller n'ignore pas, depuis bientôt vingt ans qu'il a quitté le guichet de la banque pour siéger au Palais Bourbon, que l'intégration supranationale qu'il soutient avec enthousiasme traité après traité, conduit à une Etat fédéral. Une fédération d'un type certes nouveau, puisque sans fédérateur, faute de peuple européen, face à laquelle les Etats-Unis ou l'Allemagne, fédéraux eux aussi, apparaissent comme des contre-modèles.
Monnet, plutôt que de Gaulle
Après tout, pourquoi le Politique ne pourrait-il pas franchement avouer qu'il entend bousculer une fois de plus dans l'Histoire, les réalités nationales, culturelles, politiques, pour se lancer dans une nouvelle expérimentation supranationale sur notre bon vieux continent ? L'UMP et le PS ont parfaitement le droit de faire, chacun avec ses nuances, le choix de l'Europe-Etat plutôt que celui de l'Europe des Etats, le choix de Monnet plutôt que de Gaulle. Mais de grâce, qu'ils cessent de s'en défendre à tout bout de champs, et qu'ils l'assument pleinement devant les Français, à l'instar de l'UDF qui en a fait son identité sur la scène politique et qui se porte plutôt bien. Pas dupes, les 55% de Français qui ont voté "non", peut-être 60% aujourd'hui si c'était à refaire disent-les sondages, n'ont pas eu besoin de réussir l'agrégation en droit communautaire, pour comprendre l'enjeu de la constitutionnalisation de l'Europe, peu importe le nom que l'on donne au Traité.
Le succès de la bonne vieille méthode de "l'Inspirateur" Monnet - que l'on peut résumer ainsi : les problèmes créés par l'intégration trouveront leur solution dans toujours plus d'intégration - repose largement sur la relative dissimulation du but final : faire disparaître les anciennes nations, jugées guerrières, au profit d'une entité supranationale, intrinsèquement pacifique, bien que toute l'Histoire démontre exactement l'inverse. Et c'est sans doute le tort du projet constitutionnel rejeté le 29 mai d'avoir rompu avec la méthode Monnet, en affichant pour une fois, assez franchement la couleur. En s'intitulant "Traité établissant une Constitution pour l'Europe", nul ne pouvait plus ignorer que l'on jetait les bases d'un futur et véritable Etat au sens du droit international.
Une Constitution de fait
Il s'agissait en effet juridiquement d'un "Traité" conclu entre Etats, qui une fois adopté, devenait leur nouvelle et commune "Constitution", c'est à dire la loi fondamentale du super-Etat en gestation. En effet, et quel que soit son nouveau nom de baptême et les aménagements formels à venir, le futur traité, qui sera visiblement un copié/collé du précédent, prévoira donc tout ce que contient toute Constitution de tout Etat : une organisation des pouvoirs publics édictant des lois supérieures, la personnalité juridique propre du nouvel ensemble, des droits fondamentaux proclamés et sanctionnés en dernier ressort par une Cour de Justice, toute la sémantique étatique ("lois européennes", "Ministre" etc.), jusqu'aux symboles du pays-continent (son hymne, son drapeau, sa devise).
La proposition de l'UMP intervient à quelques jours d'une réunion à Madrid des 18 gouvernements qui ont ratifié la Constitution (dont toutefois 16 par leurs Parlements faut-il rappeler), à l'initiative des gouvernements espagnol et luxembourgeois, pour "faire pression", comme dit le Ministre allemand Steinmeier, sur ceux qui ont osé dire "non" (France, Pays-Bas) et ceux qui pourraient bien en faire autant (Pologne, Grande-Bretagne, République Tchèque notamment). Décidément, plus on "fait" l'Europe, plus elle se défait.
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Le FN ne veut pas d'une "aumône"
15/04/2007 12:03
Le FN ne veut pas d'une «aumône»
Il prône la proportionnelle, mais n'entend pas être acheté par l'UMP.
Si Brice Hortefeux voulait ramener le FN à de meilleurs sentiments à l'égard de Nicolas Sarkozy via la proportionnelle aux législatives, c'est raté. Loin d'accueillir cette annonce avec joie, le FN la rejette. «Nous réclamons depuis des années la proportionnelle intégrale. Pas une aumône, pas un pourboire», s'énerve Bruno Gollnisch, le numéro deux du parti d'extrême droite, qui revendique «juste une place conforme à [leur] poids dans la vie politique française».
«Cynisme». En 1986, grâce à la proportionnelle instituée par François Mitterrand pour affaiblir la droite républicaine, le FN avait fait son entrée à l'Assemblée nationale avec 35 députés. Mais depuis 1988, avec le retour au scrutin majoritaire, le parti de Le Pen est absent des bancs du palais Bourbon. Pour les responsables frontistes, l'évocation de la proportionnelle par un proche de Sarkozy équivaut «à une promesse électorale de bas étage». «Il cherche à adresser un clin d'oeil à nos électeurs et à ceux de la gauche radicale», se fâche le député européen Carl Lang. Pour le FN, il ne s'agit là que d'une simple manifestation de «l'opportunisme» du président de l'UMP. «La proposition de Brice Hortefeux traduit simplement un immense mépris et un immense cynisme à l'égard des électeurs du Front national, considérés comme des parias. Ces gens-là ont l'habitude d'acheter les gens», poursuit Marine Le Pen.
Triangulaires. Privée du renfort de l'UDF de François Bayrou, l'UMP pourrait être tentée de trouver un renfort et quelques supplétifs parlementaires du côté du FN. «Si c'est là le but, alors ils vont être méchamment déçus. Il n'est pas question pour nous de jouer les Gianfranco Fini [ancien leader néofasciste, fondateur d'Alliance nationale et allié avec Silvio Berlusconi en Italie, ndlr] de la droite française ou ce qu'a été le PCF pour le PS», tranche Marine Le Pen. Le FN prend d'autant plus haut la proposition de Brice Hortefeux qu'il pense réaliser un très bon score aux législatives et décrocher quelques députés. «Pour la première fois, depuis trente ans, il n'y aura pas de candidatures uniques de la droite. Nos concurrents vont s'émietter», prédit même Bruno Gollnisch. Le délégué général du FN considère alors que les candidats frontistes pourraient remporter la victoire dans le cadre de triangulaires face à l'UMP et à l'UDF.
source : libération.fr
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Bayrou, l'homme du système
10/04/2007 18:56
Qui est vraiment François Bayrou ?
Petit portrait du candidat du système. (d'après un article signé L.F. de Lectures Françaises, n°599 de mars 2007) Extraits de l'article en italiques
NDLR : nous affirmons candidat du système, contrairement à ce qu'il dit lui-même, car s'il y a un candidat dans ce scrutin qui est le candidat du système, c'est bien Bayrou ! A égalité avec Sarkozy et Royal, d'ailleurs !
Il est né le 25 mai 1951 à Bordières (Pyrennées-Atlantiques dans une famille d'agriculteurs catholiques. Nous passerons sur ses années de jeunesse pour aborder directement sa carrière publique et politique.
A 23 ans (en 1974), il adhère à Centre Démocratie et est nommé en 1979 chargé de mission dans le cabinet de Pierre Méhaignerie, alors ministre de l'agriculture. Rapidement, il "prit du galon" pour devenir rédacteur en chef de l'organe du parti, Démocratie Nouvelle et accéda au secrétariat national (en 1980) avant de remplir les fonctions de secrétaire national adjoint (1986-1994) du Centre des Démocrates Sociaux (CDS). Dans le même temps, il fut délégué général puis secrétaire général de l'UDF (Union pour la Démocratie Française), parti à la tête duquel il se trouve aujourd'hui.
Dès lors, il a accumulé les mandats électifs et les responsabilités politiques : conseiller municipal de Pau, conseiller régional d'Aquitaine, député des Pyrennées-Atlantiques (1), président du CDS (1994), devenu Force Démocrate en 1995, ministre de l'Éducation nationale puis de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Insertion Professionnelle, député européen, etc... Candidat à l'élection présidentielle de 2002, il n'a recueilli que 6,5% des voix. Depuis, il ne cesse de se démarquer de l'UMP et de critiquer la politique du gouvernement.
Au-delà de ce cheminement politique, ce que se gardent bien de vous dire les grands média, c'est que François Bayrou est membre invité du du club Le Siècle (2) depuis 1993 et appartient à la section française de la commission Trilatérale (3).
A plusieurs reprises, il est invité dans des loges maçonniques (Grande Loge de France et Grand Orient de France).
Rappelons que lorsqu'il fut ministre de l'Éducation nationale, "il a été de recul en recul, enterrant tous les projets de réformes élaborés par la droite parlementaire (école privée, sélection à l'université, abrogation de la loi Falloux, port du voile islamique, etc.)" (4). Un des principaux sujets de sa campagne électorale traite justement de l'Éducation. Mais pourra-t-il réaliser demain ce sur quoi il a échoué en 1995 ?
Nous nous posons la question, tout en connaissant la réponse...
Ajoutons à cet article quelques réflexions.
Depuis 1995, François Bayrou a été un des principaux acteurs de la politique française. Il est indubitablement co-responsable de l'état catastrophique de notre pays. Tant parce qu'il a participé aux erreurs commises que parce qu'il ne les a pas dénoncées quand il était temps de le faire. Ce n'est pas son pseudo retournement de veste récent, en prenant le contre-pied systématique des ses "amis" de l'UMP, qui pourra nous convaincre de sa bonne foi. Exprime-t-il des regrets d'avoir cautionné des années durant la politique néfaste qui nous a amené à avoir 1200 milliards d'euros de dettes ? Non. Il prétend même avoir été un bon ministre de l'Éducation nationale. Les profs apprécieront. Et s'il n'est pas au deuxième tour, pour qui appellera-t-il à voter ? Pour Le Pen ? On aura du mal à l'imaginer. Notre programme est la parfaite antithèse du sien. Pour Sarkozy ou Royal ? Mais alors il cautionne toutes leurs erreurs et redevient officiellement l'homme du système ! Ce qu'il essaye à tout prix de déguiser aujourd'hui.
Voter Bayrou, c'est voter joyeusement pour celui qui ne remettra rien en cause. C'est voter pour celui qui ne prendra aucune décision difficile.
Voter Bayrou, c'est choisir le consensus mou !
Et ce n'est certainement pas d'un président mou dont notre pays a besoin !
Dans cette campagne, il essaye de faire oublier ses contradictions en focalisant les média sur la "bipolarisation" excessive de cette campagne électorale. Les média et les sondeurs jouent son jeu. Par exemple, réaliser un sondage de deuxième tour alors que Bayrou n'est pas en position d'y figurer (début mars 2007) est plus proche de l'escroquerie intellectuelle que d'une véritable déontologie. La réaction chez les électeurs est alors de se dire que si les sondeurs le mettent au deuxième tour, c'est qu'il a des chances d'y être. Mathématiquement et logiquement, les sondages suivants montre une estimation de vote en augmentation. Ce qui ne fait que renforcer l'image de "deuxième tour possible". et Le Pen dans tout ça ? Il a déjà été au deuxième tour en 2002. Mais aucun sondeur ne penserait à faire réaliser un sondage de deuxième tour où figurerait Le Pen. Pourquoi ? La réponse a été donnée par un des invités de l'émission Arrêt sur Image il y a quelques semaines. Il disait en substance que puisqu'il est inconcevable que Le Pen soit élu président de la République, ça ne sert strictement à rien de réaliser de tels sondages ! Ben voyons ! Cela revient à dire que seuls les sondeurs et les journalistes décident qui a le droit de pouvoir être élu !
nous vivons aujourd'hui dans une société dirigée, mais surtout gangrenée, par une classe politico-médiatique qui décide, non pas d'après des résultats électoraux mais d'après des impressions, des avis personnels sur ce qui est acceptable ou pas, de qui va diriger le destin de 65 millions de citoyens.
LE PEN Président !
Franchement, il est temps !
(1) : Élu en 1993 dans la 2ème circonscription après avoir bénéficié de très généreux subsides versés par différentes firmes industrielles et commerciales pour un total de 901 000 francs soient 137 000 euros. L'information figure dans l'ouvrage d'Henri Coston, L'argent et la politique (d'où vient le fric des campagnes électorales ?) Paru en 1994. Impressionnant (et édifiant) !
(2) : Le Siècle a été fondé en France en 1944. Il est le club d'influence le plus important qui regroupe environ 500 membres et 200 invités qui représentent la quasi totalité de l'élite du pouvoir : politiciens, hauts fonctionnaires, cadres de l'économie et des finances, responsables des média, mandarins de la médecine, pontes de l'université... Dans ses coulisses confidentielles se trame, se noue et se décide ce qui se déroule sur le devant de la scène.
(3) : Commission Trilatérale (et Groupe Bilderberg) (voir sur Wikipedia), deux des organisations les plus puissantes pour mettre en place la mondialisation de la planète. François Bayrou est cité comme membre de la Commission Trilatérale sur Wikipedia.
(4) : Extrait de la notice "Bayrou" figurant dans l'ouvrage "Au coeur du pouvoir", op. cit. (p.143) d'Emmanuel Ratier (éd. Facta, 1996).
Merci à Lectures Françaises d'avoir rédigé cette note.
« LECTURES FRANÇAISES» SA D.P.F. BP1 86190 CHIRE EN MONTREUIL Tél. : 05 49 51 83 04 - Fax : 05 49 51 63 50
Merci également à l'Encyclopédie Politique Française d'Emmanuel Ratier (Ed. Faits et Documents, Tome 1, 1992. Tome 2, 2005) Contact : fdinmal@free.fr
(source : http://www.fn06.net/)
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