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[ multimédias ] [ Marine Le Pen ] [ Jean-Marie Le Pen ] [ Sujets divers ] [ Mes reflexions ] [ Les communiqués ] [ citations ]

Interview exclusif de Dieudonné

05/05/2007 11:42



Bonjour Dieudonné, alors, comment on peut soutenir à la fois Le Pen et Bové ?

Je n’ai pas soutenu la candidature de Jean-Marie Le Pen. J’ai effectivement sympathisé avec sa femme, qui est venue au Cameroun et nous a aidé dans cette lutte contre ce génocide Pygmée. Le seul lien que je peux avoir, effectivement, avec la famille Le Pen, c’est sur cette cause particulière. J’ai appelé à voter Bové. Comme j’appelle aujourd’hui à voter Royal, pour faire barrage à Sarkozy.

- Mais le fait d’être allé aux BBR, d’avoir rencontré Jany Le Pen au Cameroun, c’est quand même une façon de soutenir indirectement Jean-Marie Le Pen. Donc les gens peuvent interpréter que, au minimum tu le dédiabolises, et même éventuellement que tu l’aides à avoir des suffrages ! C’est en ce sens là qu’on peut interpréter que c’est un soutien. Donc comment tu gères cette question ?

Bon, l’aider à avoir des suffrages... Je sais pas si on peut avancer ce genre d’argument, étant donné la situation dans laquelle il se trouve aujourd’hui... Non, je suis pour un rapprochement, pour une grande réconciliation, un grand dialogue. Je pense que le dialogue entre l’extrême-droite et l’extrême-gauche est nécessaire. Il permettra de redonner aux débats politiques une vitalité et une pétillance. Je pense de plus qu’on diabolise les extrêmes, alors que ce sont eux qui justement ouvrent le champs de la réflexion de manière beaucoup plus large ! J’aimerais pouvoir discuter avec les extrêmes, et les entendre discuter entre-eux. J’aurais préféré un "Le Pen - Bové", au "Sarko - Royal" qui nous est imposé. Au moins, on aurait eu un choix...

- Et est-ce qu’à l’inverse, le contenu du résultat du premier tour, et la grande chute de Le Pen... Est-ce que finalement... Enfin, on pourrait se demander si tu l’as pas fait exprès pour nuire au Front National ? Quelle est ton idée de cette "contribution" ?

Est-ce que j’ai nuit au Front National ? Non, je ne pense pas. J’ai voulu comprendre. On m’avait montré du doigt ce parti, comme l’axe du mal. J’ai grandi avec ce schéma politique où l’extrême-droite était l’épouvantail. C’était l’ennemi numéro 1 des français d’origine africaine. J’ai été bercé dans cette doctrine jusqu’à ce que ma curiosité et mon sens critique me poussent à vouloir en savoir plus. J’ai voulu les connaitre. Dans une gymnastique supposée impossible, j’ai voulu ouvrir le dialogue et permettre une confrontation entre points de vue opposés. Ce rapprochement a demandé un effort mutuel considérable, tant dans mon environnement que dans celui de la famille Le Pen. Et en cela, je salue le courage et l’ouverture d’esprit dont ils ont fait preuve. Les extrêmes ne me font pas peur. Je me sens extrême aujourd’hui, dans mon attachement à la liberté d’expression, à la justice, et dans l’ouverture.

- On sent chez toi une forme de respect pour Monsieur Le Pen...

Beaucoup ne le respectent pas. Et lui apporter du respect vous rend irrespectable. A 78 ans, cet homme et sa famille portent tout le fardeau de l’ignominie. C’est injuste, car il n’a en réalité jamais représenté aucun danger. J’ai longtemps fait partie de la meute d’abrutis irrespectueux, je m’en excuse encore aujourd’hui. Et je confirme : Je le respecte.

- D’après toi, pourquoi est-ce que tu n’as pas été bien accueilli par l’équipe Bové ?

Alors, l’équipe Bové... Je pense qu’ils se sont refermés sur eux-même, comme une palourde. Ils se sont enfermés dans une posture sectaire de politicards à l’ancienne. José pouvait porter les espoirs d’une nouvelle gauche, à la Chavez, mais il s’est laissé endormir par la douce berceuse de la gauche libérale. Il n’est plus aujourd’hui qu’un alibi écolo-altermondialiste du néolibéralisme bobo. Il vient d’ailleurs d’être nommé chargé de mission par Ségolène Royal. Cruelle désillusion. Mais je ne lui en veux pas, car on ne peut pas imposer à un homme d’avoir du courage. En ces temps de disette, il a trouvé un boulot, tant mieux pour lui.

- Que s’est-il passé réellement au stade Charléty où tu allais annoncer ton soutien à Ségolène Royal ? Des médias parlent d’incident. A en croire les photos, tout semble s’être bien passé pourtant ?

Oui effectivement, c’était une après-midi bonenfant, le soleil était au rendez-vous, il y avait là une foule de gens, des citoyens anti-Sarko à la jeunesse socialiste. J’ai écouté un peu de musique, et j’ai foulé l’herbe grasse du stade pendant une bonne demi-heure, en serrant quelques mains. On m’a signalé par téléphone que la chaine BFM TV, qui retransmettait l’évènement en direct, attirait l’attention sur ma présence d’une manière alarmiste vers 18 heures trente, puis un peu plus tard que Ruth Elkrief, la coquine, interpellait publiquement à l’antenne le porte-parole Arnaud Montebourg à mon sujet ! Je ne sais pas s’il y a eu un rapport de cause à effet, mais j’ai noté quelques réactions hostiles, quelques tentatives de semer le trouble, tout d’abord marginales, puis c’est un groupe d’une quinzaine de personnes, qui semblaient investies d’une mission, qui s’est soudainement manifesté et a tenté, heureusement en vain, de faire réagir une foule qui était en fait plus préoccupée de ce qu’il se passait sur la scène que dans le public. Peu avant 19 heures j’ai jugé préférable de ne pas poursuivre ce petit jeu stupide et risqué, et comme toutes les portes publiques étaient fermées, j’ai demandé à des policiers d’être autorisé à sortir par une porte latérale. Certains n’ont noté que ce passage final croustillant, voilà tout.

- Pourquoi appeler à voter Royal ?

Je pense qu’il faut absolument aujourd’hui s’opposer au projet que porte Nicolas Sarkozy, car je juge ce projet raciste et élitiste, comme l’a très bien dit Lilian Thuram. En votant Royal, je ne vote pas pour le Parti Socialiste, que je continuerai à dénoncer pour son embourgeoisement. Sarkozy représente un danger pour la France, mais aussi pour le monde. En suivant comme un caniche son maître Bush, il risque de nous mettre dans une situation dangeureuse. Non, Monsieur Sarkozy, nous n’irons pas faire la guerre en Iran ! Sarkozy est l’homme qui, comme Georges Bush l’a fait pour les Etats-Unis, va entraîner la France dans une impasse. Avec un Sarkozy président, il sera dangeureux d’être français à l’étranger. Les seules destinations tranquilles pour le touriste français seront les Etats-Unis et Israël. Royal au pouvoir, n’apportera, j’en suis sûr, aucun progrès dans la société française, et poursuivra le processus de pourrissement du système, mais cela nous préservera au moins d’une guerre avec le monde musulman.

- Merci Dieudonné

De rien l’OGRES

*
Cette interview est libre à la recopie (CopID : copie libre non marchande). Les sites marchands sont simplement priés de bien vouloir signaler le site source et le "(CopID) lesogres.info"

SOURCE : http://lesogres.info/article.php3?id_article=3208






La consigne de vote expliquée

03/05/2007 19:45



La consigne du 1er mai
Explications et précisions

Lors de son discours du 1er mai 2007, notre Président a lancé une consigne explicite :

ABSTENTION MASSIVE !

Pourquoi ? et comment ? A ces deux questions, nous allons tenter d'apporter quelques éléments de réponse.

Pourquoi ?

" Nous n'avons rien à attendre de ces deux-la ! " a dit Jean-Marie Le Pen dans son discours du 1er mai.
En effet, qu'il s'agisse de Ségolène Royal qui n'apprécie en rien la moindre de nos propositions, ou de Nicolas Sarkozy qui ne rêve que de notre disparition (pour récupérer nos électeurs, cela va de soi), aucun des deux n'est prêt à la moindre discussion avec nous.
A gauche, avec leur programme invraisemblable qui se résume en une phrase : augmentons les impôts ! A droite, avec la soumission prévue au grand Libéralisme international qui se résume aussi en une phrase : délocalisons pour favoriser le Capital !
Ils prennent le mauvais chemin qui conduira inéluctablement à l'échec et à la ruine du pays.
Il y a bien d'autres arguments. Ils veulent tous les deux la Constitution européenne, ils veulent favoriser l'immigration et l'implantation définitive de l'Islam, faire passer les Etrangers d'abord, etc, etc.

Dès lors, il nous est impossible, en appelant à voter pour l'un ou pour l'autre, de prendre la moindre responsabilité dans ce qui va arriver à notre pays. Donc :

ABSTENTION MASSIVE !

Comment ?

S'abstenir, c'est ne pas aller voter.
Ca semble évident mais plusieurs personnes nous ont contacté pour savoir s'ils pouvaient quand même mettre un bulletin JMLP, Charles Martel, Clovis ou même des bulletins Sarkozy/Royal déchirés, raturés, ce qui le rendrait nul. Les votes nuls ou blancs ne sont jamais comptabilisés. Et, à moins qu'il y en ait des millions, leur nombre n'a pas vraiment d'importance statistique ni politique.

D'aucuns diront que s'abstenir n'est pas une démarche citoyenne. Que c'est laisser à d'autres le soin de choisir. Aller à la pêche le jour d'un vote n'est pas normal. Certes, cela est vrai.
Mais s'abstenir est aussi un acte politique chargé de sens. Cela signifie ne pas pouvoir être accusé d'avoir favorisé tel ou tel candidat dans le futur.

Il serait extraordinaire qu'on puisse dire un jour que l'un ou l'autre a été élu grâce aux voix des électeurs du Front National alors que l'un ou l'autre appliqueront un programme qui est l'antithèse du nôtre ! Même celui de Sarkozy !

La seule solution est de ne pas prendre part à cette escroquerie électorale.

D'ordinaire, le taux d'abstention a une seule signification : le rejet de la politique et des politiciens.
Le 6 mai, il aura une autre signification : ni l'un ni l'autre ne peut redresser notre pays !

Pour nous, Sarkozy ou Royal c'est " bonnet rose et rose bonnet " !

Donc, il faut s'abstenir !


source :
ici




Que penser de ce revers électoral ?

26/04/2007 20:42



Tirer des enseignements de l’échec

L’édition du quotidien Le Monde en date du 25 avril a publié un entretien avec Bruno Gollnisch. Le Délégué général du FN a réitéré sa déception face au résultat du premier tour de la présidentielle, Jean-Marie Le Pen ayant été « victime de la reprise de notre problématique, au moins en apparence, par nos concurrents et adversaires. Et, comme les Français sont portés à croire les promesses électorales, cela a payé pour Nicolas Sarkozy. Une part non négligeable de notre électorat a également cru devoir voter Bayrou, pour perturber le duo présélectionné, car elle doutait des chances de succès, au deuxième tour, de Jean-Marie Le Pen. Cela étant, si nous avons essuyé un revers, ce n'est pas un désastre. Ce n'est pas la chute de la maison Le Pen : d'autres, comme le Parti communiste, connaissent un sort plus dramatique ». Bruno Gollnisch a confié que la direction du FN était en train d’analyser en profondeur les causes de ce revers, soulignant que « la légitime dédiabolisation a peut-être été perçue comme un recentrage. Ce n'était pas dans les intentions de Jean-Marie Le Pen, mais cela a peut-être été compris comme cela par une partie de son électorat ». Reste que « les succès comme les échecs dans une entreprise comme la nôtre sont collectifs » a-t-il poursuivit. Questionné sur le 6 mai, le dirigeant frontiste a déclaré ne pas avoir confiance dans les candidats qui restent. « Ils ne sont pas tout à fait sur le même positionnement politique, mais ils inscrivent leur action à l'intérieur du même cadre : le mondialisme, l'abaissement des protections douanières, l'asservissement à l'Union européenne... Je ne crois pas que leurs promesses soient sincères. J'attends de voir quel sera leur positionnement pour séduire les électeurs du FN ».

Le FN est là et bien là !

Interrogé pareillement sur les échéances électorales à venir et un éventuel rapprochement avec l’UMP, Bruno Gollnisch a souligné que « ce n'est pas aujourd'hui, en faisant des promesses tardives, mineures et misérables, que nous allons abandonner (au profit de la droite mondialiste) notre droit d'aînesse pour un plat de lentilles. Le FN doit être lui-même, imperturbablement. Il incarne un phénomène unique de la vie politique française par la fermeté et par la clarté de ses positions. Nous n'avons pas à nous soucier d'alliances ou de tractations avec des gens qui n'ont pas fait la preuve de leur fiabilité ». Interrogé par Le Figaro, Jean-Marie Le Pen a pareillement fait part de sa conviction selon laquelle le président-candidat de l’UMP allait vite faire la démonstration de son incapacité à relever notre pays du marasme dans lequel l’a plongé trente ans de cogestion entre partis de l’Etablissement. «Je n'ai qu'à attendre cent jours, Nicolas Sarkozy ne peut que décevoir » a-t-il affirmé. Marin de gros temps qui en a vu d’autres, plus combatif et déterminé que jamais, le président du FN « en pleine forme » et « plein d'optimisme » a confié que son résultat du 22 avril est « un accident de parcours ». « Aux européennes de 1999 a-t-il rappelé, j'ai fait 5 %, en 2002, 17 %. C'est comme au tennis : Il y a des jours où Federer est battu, des jours où il gagne », Jean-Marie Le Pen précisant qu’il entendait rester à la barre pour relancer l’opposition nationale vers les sommets.

4 millions de voix nationales qui pèsent…

Dans Le Figaro en date du 25 avril, est exposé le résultat du premier baromètre de l'entre-deux-tours TNS-Sofres-Unilog (groupe Logica-CMG) qui est-il expliqué « risque de tempérer l'enthousiasme de l'équipe sarkozyste ». Cette enquête révèle en effet « une issue du deuxième tour beaucoup plus incertaine que prévu : 51 % contre 49 %. En clair, malgré ses onze millions de voix et ses cinq points d'avance, le candidat UMP est loin d'avoir gagné. Il devra ¬ferrailler jusqu'au bout et ne pas négliger les reports de voix du centre. Car la candidate socialiste bénéficie d'un meilleur report des voix de François Bayrou (46 %) que son concurrent UMP (25 %). Mais 29 % n'ont pas encore pris leur décision. Cela marque une sensible dégradation des reports de voix UDF sur l'UMP (…).L'explication tiendrait au fait que, dimanche, bon nombre d'électeurs de Bayrou ne venaient pas de l'UDF, mais bien de la gauche ». L'attitude du pré¬sident de l'UDF « devrait peser lourd sur l'issue du match Sar¬kozy-Royal poursuit Le Figaro, « les électeurs bayrouistes détiennent plus que jamais la clé de l'Élysée. Ce résultat pourrait inciter l'ex-ministre de l'Intérieur à revoir sa stratégie d'ouverture vis-à-vis des cen¬tristes. La stratégie des ralliements ne suffira pas. Il faudra aussi une ouverture sur les thématiques », estime un ministre. Une ouverture sur les thématiques centristes que Sarkozy devra donc essayer de concilier avec les aspirations des 4 millions d’électeurs frontistes, l’autre clé de cette élection, qui selon cette enquête d’opinion se reporteraient à 62 % sur le président de l’UMP. Les jeux ne sont pas fait, en effet, Jean-Marie Le Pen donnera pour sa part son sentiment sur l’attitude à adopter au second tour lors de son traditionnelle discours du 1er mai place de l’Opéra.

« La défaite victorieuse de Jean-Marie Le Pen »

« La défaite victorieuse de Jean-Marie Le Pen » c’est sous ce titre que La tribune de Genève a rendu compte le 25 avril de la victoire de Nicolas Sarkozy au premier tour de la présidentielle. Si le président de l’UMP a su capitaliser sur son nom de nombreuses voix issus de l’électorat national, « à y regarder de plus près, il s’agit plus d’un coup d’arrêt que d’une chute (pour Jean-Marie Le Pen et le FN) est-il expliqué. « Il y a cinq ans, la participation n’atteignait que 58,5% contre 85,5% dimanche dernier. En 2007, le chef frontiste pèse donc près de quatre millions de voix. Mais c’est surtout dans la guerre des idées que Jean-Marie Le Pen a remporté ses batailles les plus marquantes. Les commentateurs s’entendent au moins sur ce point: si Sarkozy est parvenu à dépasser 30% de suffrages, il le doit aux multiples plagiats qu’il a pratiqués dans les discours lepénistes. Parmi les emprunts au fonds idéologique de l’extrême-droite, le projet sarkozien de créer un ministère de «l’immigration» et de «l’identité nationale» a suscité un flot de réactions négatives venant de la gauche et même d’une partie des supporteurs de Sarkozy », le quotidien genevois citant ici Simone Veil. Mme Veil qui est à M. Sarkozy ce que Julien Dray est à Mme Royal ; l’incarnation de l’idéologie antinationale qui est le ressort même des convictions du duo qui partage, à quelques nuances près, les mêmes convictions, plus ou moins mises sous le boisseau le temps de cette élection. A savoir rendre irréversible la « société de métissage » par la poursuite de l’immigration et du regroupement familial, et la dilution de ce qui reste des souverainetés françaises dans le magma euromondialiste.

source : http://www.fdamag.fr/quot.php






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