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Le Pen accuse ses concurrents de faire de la démagogie

30/10/2006 17:51



Présidentielle 2007 : Le Pen accuse Royal et Sarkozy de faire de la démagogie

Jean-Marie Le Pen, le président du Front National, déclare que la présidentiable socialiste Ségolène Royal et le ministre de l’Intérieur Nicolas Sarkozy, président de l’UMP ont comme lien commun une démagogie criante.

Le dirigeant d’extrême-droite indique dans une interview au Journal du Dimanche : "Si Nicolas Sarkozy n’hésite pas à se réapproprier certaines de mes thèses, il ne va jamais jusqu’au bout"."Malgré les apparences, le discours de Ségolène Royal n’est pas très différent lorsqu’elle parle d’encadrement militaire, d’autorité ou d’ordre.../...Ils ont en tout cas une chose en commun : leur démagogie criante."

Jean-Marie Le Pen accuse également ses concurrents potentiels d’avoir l’oeil rivé sur les enquêtes d’opinion et ce qu’ils croient être les aspirations profondes des Français. Pour sa part, il se dit certain d’accéder au second tour de la présidentielle de 2007, comme il l’avait fait en 2002. Il rappelle qu’il y a cinq ans, à la même époque, les chiffres des sondages le concernant étaient divisés par deux et invite à faire le calcul.

Justement, selon un sondage Ifop publié ce jour par le Journal du Dimanche, il est crédité d’un potentiel électoral de 18% au premier tour de la prochaine présidentielle, un score légèrement supérieur à celui qui lui avait permis le 21 avril 2002 de devancer Lionel Jospin et de se retrouver face à Jacques Chirac.

Enfin, Jean-Marie Le Pen indique avoir recueilli près de 400 des 500 parrainages d’élus locaux qui sont nécessaires pour se présenter à la magistrature suprême.©alactu.com






une dimension d'homme d'Etat

26/10/2006 18:58



La volonté jamais démentie de Jean-Marie Le Pen d’incarner une alternative plausible à la politique menée par l’UMPS semble enfin être prise en compte par les « grands » médias. Le Figaro en date du 19 octobre consacre un article au candidat de la France libre qui « étoffe son projet », « président du FN qui fonde sa stratégie sur l’hypothèse de sa présence au second tour face au candidat de gauche ». Un travail d’explications, de propositions, de présentation et de chiffrage du programme national qu’illustre la mise en place d’une vingtaine de Commissions d’action présidentielle (CAP) dont la coordination est assurée par Thibault de La Tocnaye, est-il indiqué. Le Figaro explique à ses lecteurs que chaque responsable de CAP « s’est entouré d’experts issus de la société civile ou de l’administration ». Si « le second tour de 2002 a mis en lumière un certain nombre de faiblesses dans l’explication de notre programme », affirme Jean-François Touzé, responsable du « pôle Idée-image », l’équipe de campagne élabore un programme de gouvernement « cohérent » et « crédible ». Lequel doit être « compatible avec ce que pensent beaucoup d’électeurs UMP si l’on veut qu’ils se rallient à la candidature Le Pen au deuxième tour », déclare pour sa part le professeur de finances publiques Jean-Richard Sulzer, conseiller de Marine Le Pen, qui fit partie « de l’équipe présidentielle de Raymond Barre en 1988 », précise Le Figaro. Le quotidien note encore que les récents discours de Jean-Marie Le Pen, que ce soit celui de Palavas-les-flots sur les retraites ou celui à venir aux Herbiers consacré à la politique étrangère, s’attachent à prouver que le porte-parole de la droite nationale « a une dimension d’homme d’Etat et un projet applicable ».




La campagne tranquille de Le Pen

23/10/2006 17:48



Quand les socialistes sont absorbés par leur campagne interne et que Nicolas Sarkozy tente de contenir les ambitions montantes à l'UMP, Jean-Marie Le Pen, lui, est déjà en campagne. Le président du Front national sillonne le pays avec un objectif affiché: faire au moins aussi bien qu'en 2002.
Pour sa cinquième candidature à la présidentielle, Jean-Marie Le Pen a, cette fois, décidé de se doter d'un programme en bonne et due forme. Il a confié à une quinzaine de "commissions d'action présidentielle" le soin d'y travailler et un premier projet sera présenté lors de la Convention présidentielle des 10, 11 et 12 novembre au Bourget. Le programme détaillé devrait être rendu public en février 2007.
Les dérapages qui ont fait sa réputation sulfureuse, eux, sont bannis. Il s'agit, comme le veut sa fille Marine Le Pen, chargée de la direction stratégique de la campagne, de construire une nouvelle image du candidat Le Pen: plus lisse, plus respectable, bref plus présidentiable.
Il n'est pas certain que la greffe prenne. Car c'est une France exaspérée qui avait porté Jean-Marie Le Pen au second tour en 2002. L'essentiel de ses 4.804.713 électeurs voyaient en lui un moyen d'exprimer leur mécontentement plus qu'un président en puissance. Et c'est sans doute pour les mêmes raisons qu'il est aujourd'hui confortablement installé à la place de troisième homme dans les sondages.
A six mois de la présidentielle de 2007, il y est crédité de 12 à 16% d'intentions de vote selon les instituts. A la même période en 2001, il en recueillait 6%.
Pas de quoi paniquer pour autant, assurent les sondeurs. Difficile d'affirmer en effet que Jean-Marie Le Pen va encore améliorer son score en 2007, suivant là d'ailleurs une tendance amorcée en 1988: il pesait alors 14,4% des voix, contre 15% en 1995 et 16,86% en 2002.
Les chiffres des instituts de sondage peuvent refléter une nouvelle poussée frontiste, ou une déculpabilisation des électeurs d'extrême droite qui se confieraient plus facilement aux sondeurs, voire une meilleure prise en compte statistique de l'électorat FN.
Comme en 2002, les thèmes de la pré-campagne sont en tout cas en sa faveur. Régularisation des parents sans-papiers d'enfants scolarisés, évacuation du squat de Cachan, montée des tensions dans les banlieues avec le souvenir toujours prégnant des émeutes de 2005, terrorisme islamiste, angoisses sociales et peur de la mondialisation: ces sujets chers au FN dominent, comme il y a cinq ans, le débat politique. "A la limite, on n'a plus tellement besoin de faire campagne sur le constat. Tout le monde aujourd'hui admet que le Front national avait raison de dénoncer tous ces maux depuis 30 ans", triomphait mardi Marine Le Pen sur "i-télé".
Mais pour porter le FN au second tour, encore faut-il que le président du MPF Philippe de Villiers ne prenne pas trop de voix, et, surtout, que les candidats UMP et PS fassent des scores médiocres.
Et là, il y a un "hic": d'un côté, le traumatisme du 21 avril pourrait inciter les électeurs de gauche à voter utile dès le premier tour, et de l'autre, il y a Nicolas Sarkozy. Le président de l'UMP chasse ouvertement sur les terres frontistes et espère récupérer les 20% de l'électorat de la droite RPR-UDF qui avait choisi de voter Le Pen le 21 avril 2002, et une partie des 23% des Français à revenus modestes qui avaient alors glissé le bulletin FN dans l'urne.
Difficile de savoir si le ministre de l'Intérieur, avec son discours musclé, réussira son pari, mais le Front national concentre ses attaques sur lui, en pointant du doigt ses mauvais résultats en matière de lutte contre l'insécurité.
Dans ce contexte, Jean-Marie Le Pen verrait sans doute d'un bon oeil une candidature concurrente à droite, que ce soit celle du Premier ministre Dominique de Villepin ou de la ministre de la Défense Michèle Alliot-Marie. Divisée, la droite lui ouvrirait un boulevard, en courant le risque de vivre ce qu'avait vécu la gauche en 2002: l'élimination prématurée de son champion pour cause de dispersion des voix.





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