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Lettre à Villepin pour les parrainages

18/11/2006 09:20



 

jeudi 16 novembre 2006

Le Pen demande à Villepin l'anonymat des parrainages Reuters

Jean-Marie Le Pen a demandé officiellement au Premier ministre d'instaurer l'anonymat des parrainages accordés par les élus aux candidats à l'élection présidentielle, a annoncé jeudi sa fille Marine.

"Jean-Marie Le Pen adresse aujourd'hui à M. de Villepin un courrier pour faire cesser la publication des parrainages des maires", a déclaré la vice-présidente du Front national sur RTL.

En rendant public le nom des élus qui accordent leur soutien aux candidats, "on cherche à éliminer de la course des grands candidats qui ne plaisent pas au parti au pouvoir", a estimé Marine Le Pen.

Tout candidat à la présidence de la République doit pouvoir faire état auprès du Conseil constitutionnel de 500 signatures au moins d'élus locaux ou nationaux. Pour la campagne de 2002, Jean-Marie Le Pen avait dit avoir eu de grandes difficultés à réunir le nombre requis de signatures.

Marine Le Pen a en outre accusé le Conseil constitutionnel de vouloir "réduire le délai de recueil des parrainages".

"En 2002, les parrainages avaient été envoyés le 21 février pour un dépôt définitif le 4 avril. Et bien, là, il semblerait que le Conseil constitutionnel déciderait de les envoyer le 1er mars pour le 16 mars."






Le chef du FN au Bourget

14/11/2006 19:09



Au Bourget, le chef du FN tente de séduire les petits patrons, les ouvriers et... les fonctionnaires









Jean-Marie Le Pen bondit sur la scène pour la plus grande joie de milliers de militants et sympathisants venus dimanche 12 novembre, au Bourget pour les Bleu-blanc-rouge, la fête du Front national. Il a les bras en l'air et ses doigts forment un "double V : victoire au premier, victoire au second tour", explique-t-il.

 

Le président du FN rêve d'une revanche. Une revanche sur le deuxième tour de l'élection présidentielle de 2002 qui a vu son échec et dont il se montre frustré. "Le soir du 21 avril 2002, (j'avais dit aux Français) : "N'ayez pas peur, entrez dans l'espérance." La peur, à l'époque, a été plus forte, instrumentalisée qu'elle fut par l'ensemble des forces du système", regrette-t-il. Il reprend la campagne là où il l'avait laissée, déterminé à montrer que son parti n'est pas seulement un parti protestataire mais "aussi un parti de gouvernement", précise Marine Le Pen, directrice stratégique de la campagne présidentielle.

Pour ce troisième tour, M. Le Pen se revendique du populisme. Un populisme "qui transcende la gauche et la droite", précise-t-il. Une gymnastique qui l'amène à courtiser les classes populaires avec des accents et des formules antimondialistes tout en ménageant son aile droite.

"LES COPAINS DU MEDEF"

S'il renvoie dos à dos les "libéraux-sociaux et les sociaux-libéraux", il s'en prend plus particulièrement aux "théoriciens libéraux", "les libéraux mondialistes à la solde du Medef", et dénonce la "mondialisation sauvage, face à l'individualisme consumériste", "cette politique dite libérale produisant chômage de masse, pauvreté, assistanat, travail clandestin et stagnation des salaires".

Il prend la défense des petits patrons "sacrifiés (...) sur l'autel de la mondialisation, des stock-options, des copains du Medef et des fonds de pension" et des ouvriers "rebelles aux restructurations et aux délocalisations", mais aussi, pour la première fois, et à la grande satisfaction de Marine Le Pen, des "fonctionnaires", que l'on dit "forcément absentéistes" et que l'"on veut rendre responsables de la destruction des services publics, alors que, le plus souvent, (...) ils en sont les premières victimes". Le nouveau Le Pen se veut "conscience progressiste", se fait chantre de la "laïcité", vante la "France de l'économie mixte voulue à la Libération" et regrette l'abandon du Plan qu'il vouait pourtant aux gémonies quand il était député, de 1986 à 1988. "L'Etat national doit être un Etat social", clame-t-il.

Ce souci social affiché trouve ses limites. Il se conjugue par exemple avec la disparition progressive de l'impôt sur le revenu et avec la fin de la "retraite à 60 ans". Chacun doit pouvoir, selon M. Le Pen, travailler aussi longtemps qu'il le désire.

De même, seraient abrogées les 35 heures s'il venait au pouvoir. Disparaîtraient la couverture maladie universelle (CMU), réservée aux plus démunis, qualifiée de "sommet de l'irresponsabilité" ainsi que l'aide médicale d'Etat (AME) affectée aux étrangers sans papiers. Car ce "social" s'appuie sur la "préférence nationale" et exclut toute prestation sociale pour les étrangers.






Le Pen raille Sarko et Ségo

13/11/2006 18:03



Jean-Marie Le Pen raille "Sarko la girouette et Ségo la gaffeuse"

 








Jean-Marie Le Pen a choisi de frapper les candidats en tête dans les sondages d'opinion, dimanche, devant plusieurs milliers de ses partisans réunis au Bourget.

 

"Sacré Sarko, atlantiste en Amérique pour plaire à ses mentors, tiers-mondiste au Sénégal pour doubler Ségolène... et Français de retour en France, sitôt qu'il chute dans les sondages", a raillé le président du Front national, devant un public enthousiaste. "Fabius le comparaît à un caniche mais il a tort. Comme animal politique, il tiendrait plutôt du caméléon", a-t-il poursuivi.

M. Le Pen s'est est ensuite pris à Ségolène Royal "qui en fait le moins possible", pour ne pas montrer les mêmes "incohérences" que M. Sarkozy. "C'est Lady Nunuche ou la fée Gribouille" qui "se tait, déjà échaudée par ses multiples bourdes", a déclaré le leader du FN.

"Sarko la girouette et Ségo la gaffeuse", leurs "popularités virtuelles se dégonflent déjà dans les sondages", a-t-il conclu.

"ACCORD SUR NOTRE DIAGNOSTIC"

 

Jean-Marie Le Pen s'est félicité que "tous à gauche, comme à droite s'accordent enfin sur notre diagnostic", à savoir la nécessité d'un "redressement national", après avoir "menti" sur l'état réel du pays et "tout cassé depuis 30 ans". Il a plaidé pour "la cohésion nationale et sociale", "l'égalité républicaine", la "laïcité", "l'école" et"la liberté d'entreprendre".

Le candidat parvenu au second tour en 2002 s'est présenté comme "l'homme du vrai changement", déclinant ensuite certains points contenus dans le programme politique du Front national. M. Le Pen a notamment proposé de "restaurer" la souveraineté économique "sacrifiée sur l'autel" de l'euro, de "libérer le travail" en rétablissant la "liberté" sur le temps de travail, et de "tendre à la suppression progressive" de l'impôt sur le revenu.

Il a aussi insisté sur un point-clef de son offre : la "préférence nationale" pour "l'emploi, le logement et les aides sociales et familiales", et proposé de donner à l'Etat - et non aux partenaires sociaux - la responsabilité de la Sécurité sociale. Le FN prône notamment "l'expulsion effective" des étrangers en situation irrégulière, "l'inversion" des flux migratoires et la révision de l'attribution de la nationalité dans certains cas.

Jean-Marie Le Pen a enfin réclamé "une grande politique familiale", mais sans évoquer des points de son programme comme l'avortement ou l'abrogation du Pacs.

 

Source : Le Monde.fr






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