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Père-fille, un duo de choc !
06/02/2007 19:43
Dans cette dernière ligne droite de la campagne présidentielle, Jean-Marie Le Pen mise sur les médias télévisuels et radiophoniques pour promouvoir ses idées. Son agenda pour février ne prévoit pas moins de neuf grandes émissions. Sa fille, Marine Le Pen, directrice stratégique de la campagne, le suppléera dans huit autres. Sans compter les prestations ponctuelles de Bruno Gollnisch, le délégué général, ou de Jean-Claude Martinez, vice-président du FN, il est vrai moins prisées par les médias.
"Je fais beaucoup de choses. Je suis sur le terrain politique matin et soir, mais j'ai considéré qu'il vaut mieux 11 millions de téléspectateurs sur TF1 plutôt que 1 000 sympathisants à Romorantin (Loir-et-Cher)", explique M. Le Pen. "J'ai la portion congrue dans les radios et télévisions, j'essaie de la faire fructifier", insiste-t-il, en ne cachant pas qu'il espère beaucoup de la "dernière phase de campagne où l'équité et même l'égalité seront en vigueur dans les médias".
CINQ MEETINGS
Les déplacements de M. Le Pen, qui aura 79 ans en juin, ont été réduits. Ils se résument, en février, à une visite en Picardie et à un déjeuner-débat, à Nantes, consacré à l'écologie. M. Le Pen évoque pour justifier ce choix le peu de disponibilité de ses cadres "pris par la collecte des promesses de parrainages" indispensables pour valider sa candidature à l'Elysée. Dimanche 4 février sur Europe 1, il a déclaré "ramer" mais "approcher de Cythère doucement" avec "un peu plus" de "430-450" signatures.
Le principal événement de ce mois sera la convention présidentielle des 24 et 25 février, organisée à Lille. A l'origine, cette convention devait être un faire-valoir de l'Union patriotique voulue par M. Le Pen. Elle devait témoigner de sa capacité à rassembler "au-delà de son camp". Mais le peu de succès de cette main tendue aux "patriotes" a conduit la cellule de campagne à changer son fusil d'épaule et à consacrer ces journées au programme.
En effet seuls, jusqu'à présent, Bruno Mégret et son parti le Mouvement National Républicain (MNR), le Parti populiste créé par des dissidents du FN et du MNR et, côté personnalités, l'écrivain Alain Soral y ont adhéré. Un événement autour de cette Union aurait conduit à mettre sur le devant de la scène M. Mégret, le principal responsable de la scission du FN, en 1998, à qui Marine Le Pen a reproché, par le passé, d'être entouré d'"ethnicistes". Un exercice auquel s'oppose Mme Le Pen et Louis Aliot, secrétaire général du FN.
Plusieurs déplacements à l'étranger avaient été envisagés. L'idée a finalement été abandonnée. M. Aliot évoque le "peu d'intérêt des Français pour ce genre de déplacements". Un autre membre du bureau politique parle du peu d'enthousiasme des responsables politiques à rencontrer le chef de l'extrême droite française.
Cinq meetings ont toutefois été programmés d'ici au 22 avril. Le premier et le dernier auront lieu dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur (Marseille et Nice), région où M. Le Pen se présente régulièrement et qui procure au Front un de ses meilleurs scores.
source : lemonde.fr
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la même campagne qu'en 2002
05/02/2007 17:34
Jean-Marie Le Pen assure que la campagne est "exactement la répétition" de celle de 2002
Le candidat du Front national à la présidentielle Jean-Marie Le Pen a jugé dimanche que la campagne présidentielle actuelle est "exactement la répétition" de celle de 2002, se disant convaincu de faire cette fois "au-delà de 20%".
Invité du Grand Rendez-vous Europe-1/TV5Monde/Le Parisien/Aujourd'hui en France, le président du Front national a dit ne pas croire, "si j'en juge les sondages que j'ai sous les yeux", que François Bayrou incarne le troisième homme de la campagne.
"Cela étant, il a une présence médiatique qui est beaucoup plus importante que la mienne", a-t-il dénoncé. François Bayrou "fait partie du système même s'il fait semblant d'en être l'adversaire", a tonné le leader frontiste. "Il en est de même de ses deux principaux concurrents qui occupent l'espace médiatique maintenant depuis neuf mois de façon pratiquement continue".
Notant que les intentions de vote dont il est actuellement crédité sont "le double" de celles des sondages de 2002, il s'est dit convaincu de faire "nettement mieux que ce qu'on m'accorde officiellement" avec "au-delà de 20%" au premier tour.
Il a dit notamment avoir "confiance dans le vote des banlieues". "Je sais que les trublions ou les voyous ne constituent qu'une minorité", a-t-il expliqué. "Mais il y a 97% des gens qui habitent la banlieue qui sont les premières victimes de la situation des banlieues ou des troubles qui sont provoqués".
Présent pour la 5e fois dans la course à l'Elysée, Jean-Marie Le Pen a jugé que "c'est exactement la répétition de ce qui s'est passé en 2002". "C'était moins choquant à l'époque, parce que les deux personnages institués en quelque sorte pour le deuxième tour (...) c'était le Président de la République et le Premier ministre".
"Là, c'est le ministre de l'Intérieur et une nouvelle candidate que j'avais d'ailleurs prévu depuis quelques années", a-t-il noté, ajoutant que "l'expérience" prouve que l'un des deux candidats de tête dans les sondages "n'est jamais au second tour".
Il a une nouvelle fois émis l'hypothèse d'une "irruption de Jacques Chirac" dans la présidentielle qui "ne dépend peut-être pas de lui, mais de la politique internationale qui serait la seule chance qu'il aurait de se réintroduire dans le débat".
Le candidat FN s'est dit victime d'une diabolisation. "Cette crainte n'est justifiée ni par mes propositions, ni par mon passé. Personne ne m'a vu tenter de renverser la République".
"Le fond de la crainte, chez ceux qui tirent les ficelles, c'est que l'on change le système, un système qui est assez confortable", a conclu Jean-Marie Le Pen.
A la question de savoir si Marine Le Pen aurait moins de difficultés à réunir les 500 parrainages d'élu, dont il affirme ne toujours pas disposer, le président du Front national a répondu "sans doute, mais ma cuisinière aussi".
source : nouvelobs
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Le Pen galère pour trouver les 500 signatures
22/01/2007 18:57
Le Pen "galère" pour ses 500 signatures
Le leader du FN juge que la proposition du gouvernement d'allonger d'une semaine le temps de collecte des signatures "arrange un peu les choses".

Jean-Marie Le Pen
(c) Reuters
Jean-Marie Le Pen "galère" pour recueillir les 500 parrainages nécessaires pour se présenter à l'élection présidentielle. C'est ce qu'a déclaré dimanche 21 janvier le président du FN, en marge d'un déjeuner de sympathisants à Saint-Denis. "Je galère, c'est très difficile. Il y a beaucoup de candidats, dont la plupart n'iront pas jusqu'au bout, qui ont demandé et obtenu des signatures", a-t-il déclaré devant la presse. Le leader frontiste a jugé que la proposition du gouvernement d'allonger d'une semaine le temps de collecte des signatures "arrangeait un peu les choses", même si le geste était "dérisoire" par rapport à la mesure qu'il aurait fallu prendre selon lui : supprimer la publicité des parrainages. "Mais ils ne l'ont pas fait, pourquoi? parce qu'il s'agit d'un levier d'action" sur les candidats pour la "bande des quatre", ceux "qui sont assurés de trouver les 500 signatures", a-t-il dit. Jean-Marie Le Pen a révélé que Bruno Mégret, qui s'est rallié à sa candidature, lui avait pour l'instant apporté 7 parrainages supplémentaires. "C'est peu", a-t-il reconnu, "mais c'est mieux que rien", a-t-il ajouté. Interrogé sur ses rapports avec son ex-lieutenant, qui se plaint d'être tenu à l'écart de la campagne du FN, M. Le Pen a déclaré qu'il "était convenu que chacun fasse sa propre campagne".
"On essaie de créer un troisième homme"
Jean-Marie Le Pen a précisé qu'il ne "croyait pas" par exemple que Bruno Mégret viendrait à la convention présidentielle organisée par le FN à Lille les 23 et 24 février. Enfin, au lendemain d'un meeting de Philippe de Villiers à Paris, Jean-Marie Le Pen a estimé que ce dernier faisait un début de campagne "assez médiocre". "Si M. de Villiers se considère comme un patriote, il aurait intérêt" à rejoindre l'"union patriotique" autour du président du FN, "plutôt que de rester dans cette situation ambiguë qui risque de faire croire que le vicomte est un baron", a-t-il dit. Jean-Marie Le Pen ne "croit pas" que l'animateur Nicolas Hulot, qui doit annoncer sa décision lundi, sera finalement candidat à la présidentielle. Il a dénoncé comme une "petite manœuvre" le sondage qui pour la première fois cette semaine a donné François Bayrou devant lui-même à la présidentielle. "On essaie de créer un troisième homme qui ne soit pas" M. Le Pen, a-t-il dit. "Ca serait terrible pour un certain nombre de gens que Le Pen soit le troisième homme, ça obligerait à l'inviter sur les médias avec les deux autres concurrents", a-t-il dit.
source : nouvelobs.com
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