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Conférence de presse
28/11/2006 17:43
Conférence de presse du 28 11 2006
Mesdames et messieurs,
Permettez-moi tout d’abord de vous remercier de votre venue à cette conférence de presse un peu impromptue, mais qui, au vu des diverses calomnies et diffamations dont nous sommes l’objet depuis vendredi dernier, était absolument indispensable. Alors que nous entrons dans la dernière ligne droite de la campagne présidentielle et que, de l’avis général, nous sommes extrêmement bien placés, je tiens en effet solennellement à mettre en garde les électeurs contre les éventuelles manipulations qui viseraient à décrédibiliser ou à déstabiliser le Front National, ou encore moi-même, son candidat à l’élection présidentielle. L’affaire du match de Paris-Tel Aviv semble en être une. Selon le Procureur de la République de Paris, monsieur Marin, intervenant le lendemain de l’événement, « un policier en civil du service régional de la police des transports parisiens (SRPT), Antoine Granomort, dit à M. Hazout de se mettre derrière lui et essaie d’écarter la foule avec sa bombe lacrymogène. Des insultes « sale juif, sale nègre « des cris de singe, sont alors lancés et des saluts nazis, effectués par cette meute qui crie également « Le Pen président ». En prononçant ces mots, sortis d’on ne sait où, sans citer ses sources et alors même que l’enquête avait à peine commencé, le Procureur Jean-Claude Marin s’est rendu coupable de diffamation à l’égard du Front National.
Nous ne sommes évidemment impliqués en aucune manière, ni dans ces incidents, ni d’ailleurs dans ce que l’on appelle le «Kop de Boulogne» et récusons avec vigueur cette ignoble tentative d’amalgame. Le Procureur de Paris est sorti de son rôle. Il n’a pas été témoin des faits et pourtant il les rapporte avec force détails. C’est une déclaration légère et particulièrement grave, d’autant plus grave qu’elle a ouvert la voie à une série de déclarations manipulatoires et diffamatoires, émanant de certains journaux et de certains hommes politiques. L’Yonne Républicaine en date du 25 novembre 2006 peut ainsi faire un amalgame entre des évènements récents très divers, au détriment de notre famille politique et de notre campagne présidentielle. Je le cite : « Une chasse aux juifs par des « supporters » du PSG qui se solde par la mort de l’un d’entre eux ; un candidat d’extrême droite à la présidentielle qui n’a jamais été aussi haut dans les sondages ; un cacique du Parti socialiste qui dénonce le nombre de noirs dans l’équipe de France de football. Tout va bien : nous sommes en France, patrie des Droits de l’Homme, en 2006. » (). Certains représentants de la classe politique se sont eux-aussi crus autorisés par les propos du Procureur, à tenter une opération de manipulation. Le 26 novembre, le Premier secrétaire du PS, François Hollande, a affirmé : « Il y a depuis longtemps dans certains clubs de supporters, notamment à Paris, une infiltration des groupes d’extrême droite, et M. Le Pen, qui est un leader d’extrême droite, le sait plus qu’aucun autre ». « Il doit faire tout pour que ses amis, puisqu’il s’agit de ses amis, ne perturbent pas les matches ». Bref, tout se passe comme si nous étions les coupables, tout est fait pour nous rendre responsable de cette malheureuse affaire. J’ai donc déposé une plainte avec constitution de partie civile auprès de Monsieur le Doyen des Juges d’Instruction près le Tribunal de Grande Instance de PARIS contre le Procureur Marin, dont les propos apparaissent comme le fait générateur d’un déchainement médiatico-politique parfaitement scandaleux. Permettez-moi de vous en faire lecture : « Monsieur Jean Claude Marin, Procureur de la République près le Tribunal de grande instance de Paris, a, le 24 novembre 2006, dans le cadre d’incidents survenus la veille au soir autour du stade « Parc des Princes », déclaré ceci selon une dépêche de l’Agence France Presse du même jour reproduite intégralement ci-après : Des insultes racistes et antisémites comme « sale juif » et « sale nègre » ont été proférées par une centaine de personnes contre le policier, qui a fait usage de son arme tuant un supporter du Paris SG, et contre le jeune homme qu’il protégeait, a indiqué vendredi le Procureur de la République de Paris.
« A la fin du match, quatre jeunes gens vraisemblablement de la communauté juive sont pris à partie par un groupe de supporteurs du Paris SG. Les quatre jeunes décident alors de se séparer. L’un d’entre eux Yanniv Hazout est poursuivi par des assaillants qui le considèrent comme un supporteur de l’équipe de Tel-Aviv. La meute grossit pour atteindre une centaine de personnes », a expliqué le Procureur Jean-Claude Marin à la presse. Selon le Procureur, M. Hazout se dirige alors en courant du boulevard Murat vers la porte de Saint-Cloud. « Un policier en civil du service régional de la police des transports parisiens (SRPT), Antoine Granomort dit à M. Hazout de se mettre derrière lui et essaie d’écarter la foule avec sa bombe lacrymogène. Des insultes « sale juif, sale nègre » des cris de singe, sont alors lancés et des saluts nazis effectués par cette meute qui crie également " Le Pen président"», a ajouté M. Marin. La préfecture de police a précisé à l’AFP que M. Hazout est un jeune Français de 23 ans, de confession israélite, qui était venu voir le match avec un groupe d’amis. « M. Granomort, d’origine antillaise, était préposé à la garde des véhicules de police. Il était en service et semble-t-il ne portait pas de brassard », a précisé M. Marin. Le Procureur explique que M. Hazout « essaie de guider le policier en le tirant par le pull vers le Mc Donald’s » porte de Saint-Cloud. « Ils essuient alors des jets de projectiles et des assaillants retirent leur ceinture », raconte le procureur. « Par un tacle ou une chute accidentelle, M. Granomort se retrouve au sol. Des coups lui sont portés au ventre, d’autres à la figure » a raconté M. Marin. « La foule est proche et menaçante. M. Granomort explique qu’il sort son arme de service et qu’il tire à un angle de soixante degrés plutôt en l’air en direction de quelqu’un qui se situe entre 50 centimètres et un mètre », a détaillé le Procureur. « L’hypothèse la plus probable, selon l’immense majorité des témoins, est qu’un seul coup de feu a été tiré et que la balle a atteint le poumon de l’homme blessé et a ensuite atteint le coeur de l’homme décédé. Ce dernier, au crâne rasé, est un supporteur des Boulogne Boys, réputés proche de l’extrême droite », a ajouté le magistrat. L’homme décédé, Julien Quenemer, 24 ans, est originaire de l’Essonne. L’homme blessé, Mounir Bouchaer, 26 ans, se trouvait parmi les assaillants, a ajouté le procureur. Tout au long de son repli vers le Mac Donald’s, le policier a indiqué aux assaillants qu’il était « de la police », a précisé M. Marin.
Plusieurs dizaines de témoins ont été entendus ou le sont actuellement. L’IGS, l’Inspection générale des services, la police des polices, a été saisie de l’enquête. Le policier est en garde à vue. « L’enquête confiée à l’IGS est ouverte pour homicide volontaire mais pourrait être transformée en coups ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Se pose la question de la légitime défense », a conclu le procureur de Paris.
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Ainsi, Monsieur Marin a, par ces propos, entendu préciser le déroulement de faits extrêmement graves. Il a aussi qualifié très péjorativement les agresseurs du policier : il indique qu’il s’agit d’une « meute » qui poursuit, selon lui, un jeune homme parce supporteur de l’équipe de Tel-Aviv. Il ajoute que « des injures « sale juif » « sale nègre » des cris de singes, sont alors lancés et des saluts nazis effectués par cette meute qui crie également « Le Pen président ».
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Il faut d ‘abord relever le fait que le procureur de la République de Paris a introduit le nom de Monsieur Jean Marie Le Pen dans sa relation des faits. L’introduction du nom de Monsieur Le Pen est radicalement inutile, elle n’est pas légitime. Elle n’apporte strictement rien aux précisions que ce magistrat peut donner ce jour là à la presse sur ces évènements, précisions qui, dans la bouche d’un procureur de la République, ne doivent porter que sur des faits en relation avec une ou des infractions. On est donc conduit à relever la volonté de Monsieur Jean Claude Marin de nuire à Monsieur Jean Marie Le Pen. Il n’y a aucune autre explication à l’introduction du nom du plaignant
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Ensuite, cette introduction arbitraire impute, par amalgame et par insinuation, à Monsieur Jean Marie LE PEN les faits précis, évidemment particulièrement contraires à son honneur et à sa considération, de posséder une responsabilité dans les faits très graves qui se sont déroulés le 23 novembre porte de Saint-Cloud à Paris, d’être le complice, l’inspirateur de personnes que l’on décrit, en même temps, comme extrêmement violentes, racistes, nazies et antisémites.
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Dans ces conditions, en prononçant publiquement les mots suivants : « des insultes « sale juif » « sale nègre » des cris de singe, sont alors lancés et des saluts nazis effectués par cette meute qui crie également : "Le Pen président" », Monsieur Jean-Claude Marin a commis l’infraction de diffamation publique envers un particulier, en l’espèce Monsieur Jean Marie Le Pen, infraction prévue par l’article 29 - alinéa 1 de la loi du 29 juillet 1881 et réprimée par l’article 32 - alinéa 1 de la loi du 29 juillet 1881. Monsieur Jean Marie Le Pen se constitue partie civile entre vos mains, offre de consigner la somme qu’il vous plaira décider et vous présente ses sentiments respectueux ». Voilà les faits, mesdames et messieurs. J’attends donc que justice me soit rendue, en ma qualité de Président du Front National et de candidat à l’élection présidentielle.
Je tiens également à mettre solennellement l’opinion en garde contre cette ignoble manoeuvre, en rappelant à nos compatriotes que de nombreux politiciens ont prouvé, en diverses occasions, qu’ils étaient prêts à toutes les bassesses, lorsqu’ils sentent que la gamelle est en jeu, c’est-à-dire lorsqu’ils pensent être battus à la loyale aux élections, par des concurrents plus perspicaces, plus courageux et plus appréciés qu’eux.
Je vous remercie
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Qui est raciste ?
27/11/2006 20:03
Jean-Marie Le Pen a été le premier homme politique à présenter un Arabe à la députation à Paris en 1957, Ahmed Djebbour. Jean-Marie Le Pen a été le premier homme politique à faire élire une Musulmane à Paris au Conseil régional en 1986, Soraya Djebbour.
Qui est raciste ? Celui qui veut rassembler tous les Français sans distinction derrière le drapeau de la France, ou ceux qui ont communautarisé, parqué et manipulé les immigrés depuis 30 ans, pour les utiliser comme main-d'œuvre docile, électeurs, cautions ou faire-valoir ?
Source : Véritésurlefn.org
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Intervention de JMLP au parlement européen
26/11/2006 19:30
vendredi 29 septembre 2006 Intervention au Parlement Européen sur la politique commune d'immigration
En régularisant un million et demi de clandestins en 2005, l'Espagne et l'Italie ont provoqué un formidable appel d'air en provenance d'Afrique, continent le plus proche de l'Europe occidentale et proche banlieue de Paris.
L'Espagne, accusée à juste titre, de faire preuve d'irresponsabilité en régularisant en masse les immigrés clandestins répond : "la plupart des Africains qui arrivent aux Canaries - 25 000 depuis le début de l'année - sont des francophones qui aspirent à aller vers d'autres pays".
On comprend, dans ces conditions, que la désastreuse Convention de Schengen, appliquée depuis 1995, doit être abrogée car elle permet à tout clandestin arrivant en Espagne ou en Italie et régularisé de gagner la France et de bénéficier de tous les avantages sociaux.
M. Sarkozy, absent de 8 des 10 derniers conseils des ministres européens de l'Intérieur est mal placé pour critiquer l'Espagne alors que la France est favorable à la suppression de l'unanimité pour la coopération judiciaire et policière, c'est-à-dire à l'abandon d'un de ses pouvoirs régaliens.
Surveiller nos propres frontières est une exigence vitale à l'heure où l'immigration est planétarisée. On ne peut confier à d'autres le soin de contrôler des milliers de kilomètres de côtes ou de frontières terrestres dont on voit à quel point elles sont perméables. Ce n'est pas FRONTEX, ce "machin" européen censé surveiller les frontières de l'Europe qui pourra suppléer aux défaillances des Etats.
Faute de traiter le problème de l'immigration à la source et de définir une grande politique de développement, nous continuerons à accueillir des millions d'immigrés qui, peu à peu, vont déstabiliser la vieille Europe et finalement la submerger.
Les institutions européennes ne font qu'accentuer ce mouvement de décadence en favorisant une politique d'immigration que M. Sarkozy appelle hypocritement immigration choisie. Que les peuples européens reprennent leurs affaires en mains, comme vient de le faire la Suisse, et se protègent de l'invasion migratoire qui n'en est qu'à ses débuts.
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