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Elections 2007 : Un tapis rouge pour M. Le Pen...

12/08/2006 09:26

Elections 2007 : Un tapis rouge pour M. Le Pen...


Alors que la presse française s’empresse déjà de pronostiquer un duel "sarko-ségo" pour 2007, oubliant déjà l’absence de la gauche au 2ème tour il y a cinq ans, elle semble volontairement nier un adversaire redoutable: le leader du Front National, Jean-Marie Le Pen. Pourquoi, alors que depuis plus de 20 ans, son électorat ne cesse d’augmenter jusqu’à en faire le candidat du second tour en 2002, la presse s’obstine t-elle à l’ignorer alors que cette mise au placard semble, de toutes évidences, le servir plutôt que l’handicaper? Tentatives d’explications.

Jean-Marie Le Pen, depuis des années, se plaint d’un boycott évident de la presse et des médias sur tout ce qui concerne son parti. Arguant de temps de paroles très limités par rapport aux partis en place, on pourrait lui rétorquer que ces calculs d’apothicaires, en somme inutiles et surtout très fastidieux à vérifier pour un citoyen lambda, ne représentent pas là son meilleur argument. Le boycott se situe surtout sur la nature de ses paroles, qui, bien souvent, sont balayées d’un geste de mépris par ses adversaires, et jugées tout bonnement indiscutables.

 

Or, si apparemment, cette méthode d’exclusion systématique des propos de M. Le Pen, a eu pour but de décrédibiliser le Front National, ce parti, depuis 20 ans, a connu une montée absolument vertigineuse, jusqu’à en faire un égal face à l’ UMP et au PS. Sans parler de 2002 qui aura marqué les esprits de tous, je rappelle qu’en 1995, son score était déjà de plus de 15%, ce qui, visiblement n’a inquiété personne.

Aujourd’hui, en 2006, alors que le bilan du gouvernement en place est absolument catastrophique, que le PS, depuis 4 ans, cherche péniblement à élaborer un programme et surtout à trouver un candidat, que la future élection présidentielle voit une fois encore se profiler des candidatures multiples et donc un éparpillement des voix, on continue à nier le front national. Comme avant. On ne se décide pas à l’affronter.

En ignorant le FN, en choisissant la carte du mépris, en pensant que le peuple français, docile, suivra cette attitude sans même prendre la peine de se faire une opinion par lui-même ...Bref, sous couvert de vouloir préserver notre socle démocratique, les hommes politiques, en restant immobiles, ne nous font-ils pas là l’aveu de leur faiblesse, ou pire, de leur mensonge ?

L’absence de débat en 2002, entre les deux tours, a été déplorable, mais éloquente. Déplorable, tant d’un point de vue démocratique que d’un point de vue idéologique. Le FN est un parti comme un autre, que cela plaise ou non, élu démocratiquement et je gage que si le Parti communiste avait été à la place du FN, le débat se serait fait. C’est objectivement injuste, le communisme et le fascisme, ayant tous deux prouvé dans l’histoire, leur même passé sanguinaire.

Le FN, qui, selon ses détracteurs, n’aurait aucun programme crédible, serait alors très facile à démonter. Pourquoi donc ce silence alors ? A part la peur, je ne vois hélas pas d’autre explication à la réaction de M. Chirac. On y verra, à défaut du courage, une habile stratégie de sa part, puisqu’en refusant le débat, il a bien sûr insinué qu’il y avait là une quasi-aberration à discuter même avec un tel parti et les Français ont bien compris le message. Ca ne pourra pas toujours marcher aussi impunément, la patience des Français a des limites, la confiance aussi, et il va falloir mettre le nez dans la M..., messieurs les politiques, si vous ne voulez pas voir un jour débarquer le FN à l’élysée.

Parmi la soupe politique, les débats houleux, les paroles proférées dans les débats à la télévision -hélas trop rares !-, quelque chose ne ment pas :

le regard

Quand un des membres du parti de Le Pen prend la parole, il y a dans le regard de jack Lang, de Bayrou, de toute la classe politique dominante, un regard brusquement inquiet, beaucoup moins assuré, un regard de considération aussi, de peur, une de ces peurs d’enfant qui se fait prendre pour une bêtise, un regard qui dit - qu’est ce qu’il va dire, dénoncer comme vérité qu’on n’a pas osé dire... ? Pourvu qu’il ne parle pas trop, qu’il ne déterre pas trop la M..."...Que mes lecteurs ne se méprennent pas, je ne défends pas M.Le Pen. Je déplore la lâcheté de ses adversaires, c’est bien différent. Mais ce qui se passe dans ces regards est très révélateur, très inquiétant. Il nous laisse présager des secrets d’état, bien gardés, que pauvres ignorants que nous sommes, nous ne saurons jamais, des chiffres aussi, bref l’étendue des catastrophes que l’on nous cache soigneusement.

J’ai récemment vu une émission politique où Marine Le Pen parlait d’un recenseur -de gauche, en plus. C’est à souligner- qui avait voulu s’attaquer à l’étude des chiffres aussi précis que possible, des sans papiers étant rentrés en France depuis quelques années. Le chiffre-qui s’évaluait en millions- était faramineux. Si faramineux que l’on a ni plus ni moins verrouillé ce dossier. Censure. De prime abord, j’ai douté. Après tout, ces chiffres étaient-ils vrais ? Savez vous ce qui m’a fait croire immédiatement que c’était la vérité ? La gueule du député du PS et celui de l’UMP. Ils sont devenus livides, blancs comme des linges. Ils auraient pu se planquer sous leur siège, ils l’auraient fait. Il y aurait des dizaines pour ne pas dire des centaines d’anecdotes comme celles-là, que j’ai relevées dans les débats, notamment sur l’INA. Pour terminer sur cette anecdote, le sujet, très vite éludé, avec l’aide du présentateur d’ailleurs, s’est fini sur une réflexion du député PS qui a taxé Marine Le Pen de racisme et de sa constante hantise de l’étranger...

C’est affligeant et révoltant. Affligeant car si l’on continue d’éviter certains sujets que le FN dénonce et qui, je pense, sont certainement des facteurs réels dans le déséquilibre de notre société, les gens ne penseront pas aux SOLUTIONS que le FN adopterait, en cas d’élection. Ils ne verront, à travers leur vote, que la dénonciation d’une vérité que les lâchetés des gouvernements successifs n’ont pas voulu voir. Enfin, c’est révoltant humainement. Qu’il s’agisse de Marine Le Pen ou de n’importe qui, je trouve absolument minable de taxer quelqu’un de racisme uniquement parce qu’on ose aborder le thème de l’immigration. La majorité des pays européens ont pris ce problème à bras le corps, comme un autre problème, et si les partis politiques refusent de parler de la gestion des courants migratoires, ils ne feront que dévoiler leur incompétence ou leur impuissance.

Le Pen, oui, sans même lever le petit doigt, se voit dérouler un véritable tapis rouge pour 2007...

Depuis quatre ans, tout le monde, sans exception, voit la situation de la France s’aggraver, s’embourber encore davantage, on arrive à la faillite d’un système qui dure depuis plus de vingt ans, et qui, avec ce dernier gouvernement, exsangue, marque clairement la fin de quelque chose. Depuis un an, les sonnettes d’alarmes retentissent. Le CPE, contrat jetable, reflet de notre économie de marché soumise à la mondialisation, rejeté en bloc.

Faut-il rappeler que seules l’extrême gauche et l’extrême droite rejettent cette économie ? Les émeutes en banlieues, qui, si elles révèlent un immense malaise social, nous révèlent aussi l’échec total de la politique d’intégration menée depuis plus de 20 ans par la droite comme par la gauche. Gageons aussi, il faut être lucide, que beaucoup de gens retiendront surtout, avant la révolte des quartiers dits "difficiles", les actes affreusement barbares de certains désaxés, comme cette handicapée brûlée vive à l’essence dans un car.

Retenons aussi la révolte des PME, impossibles à développer, incapables de générer de l’emploi car trop taxées pour certaines, et la révolte des chômeurs, des RMIstes, qui, faute de boulot, se voient contraints de vivre à la charge de l’état. Immobilisme. Pour couronner le tout, l’affaire des sans
-  papiers scolarisés où l’on place le débat partout où il n’est pas. Il est inhumain de chasser des enfants qu’on a accueillis, même par négligence. Après tout, on assume. Mais il est absolument anormal que l’éducation nationale puisse accepter n’importe quel enfant sans même vérifier que sa famille soit en règle avec les lois....et cette question-là a été assez peu soulevée alors que c’était la première question à se poser !

A part cela, M. Jack Lang, entre une invitation chez Fogiel et chez Ardisson, affirme, très paternel, que "les Français ont retenu la leçon de 2002", infantilisant là le peuple qu’il se croit capable d’éduquer comme des gamins de 5 ans... On croit rêver... Mais c’est à qui de se remettre en question ?

Que ce soit un danger pour certains, une libération pour d’autres, l’irruption de M. Le Pen, au second tour en 2007, me paraît plus que probable...La participation active de sa fille, "lissée" pour certains, porteuse d’espoir pour d’autres, ne voit, en tout cas, aucun dérapage flagrant, ce qui, pour le FN, est un atout plus que favorable....

Alors, je pose la question et tant pis si elle choque :

Est-ce que le FN dit donc tant de vérités pour que la classe politique l’évite purement et simplement ??

Source : Agora vox.fr

J'apprécie cet article bien que je pense que M. Le Pen a les moyens de faire un programme crédible pour 2007 et que c'est bien pour cela que ses adversaires ont peur de lui. On ne peut pas juger la politique de M. Le Pen puisqu'elle n'a jamais été appliquée, notamment, au niveau présidentielle. Nous n'avons eu - comme le souligne cet article - que des mesurettes, des pansements sur une jambe de bois. Seul le front national parle de la nécessité de réformer "en profondeur" le système !

Mais pour faire cela, il faut avoir les yeux ouverts sur les réalités et beaucoup de courage. Or, ce n'est pas avec des politiciens qui évitent les problèmes ou qui deviennent livides lorsqu'on dit des vérités que la France va être gouvernée. Ces messieurs préfèrent sans doute rester dans le confort de leurs illusions...

 






Le Front national et l'Europe

20/08/2006 13:30




medium_AAAAAlep.jpgSamedi 17 juin 2006, le Front national organisait à Saint-Cloud, un colloque sur l’Europe. Voici le résumé de l’intervention de Jean-Marie Le Pen tel que nous le livre le bulletin quotidien du FN, Français d’abord.

 

Jean-Marie Le Pen  a  clôturé cette journée par une remarquable  synthèse des thèmes abordés. « La victoire du Front national lors du référendum du 29 mai 2005 ne doit pas faire illusion. Certes, la Constitution européenne est morte, juridiquement et politiquement. Mais la situation du pays reste en effet extrêmement critique, à tous points de vue », a-t-il averti, puisque « les gouvernements français successifs ont accepté de transférer aux institutions européennes l’essentiel des attributs de la puissance ». Une trahison  qu’un Nicolas Sarkozy entend bien poursuivre « quand (...)  il  veut faire revoter le Parlement français sur la Constitution européenne. Sarkozy tient donc le vote des Français du 29 mai 2005 pour nul et non avenu ». « Une fois élu Président de la République », a déclaré Jean-Marie Le Pen, « j’engagerai, avec nos partenaires européens, une négociation globale », appelant de ses vœux des «  coopérations étatiques ou industrielles indispensables à la préservation de nos intérêts nationaux ».

 

« Pour autant », a expliqué le candidat national, « nous voulons, de toute nos forces, construire une autre Europe, celle des Nations, celle de l’association libre, celle de la coopération ». « Le Vieux Continent représente incontestablement une communauté de civilisation, assise sur un génie spécifique, tout à la fois organisateur et créatif, bâtisseur et technicien ». « Au lieu d’une Europe fédérale, il faut donc faire l’Europe de la coopération des Etats et des entreprises, les nations conservant à titre principal leur souveraineté ». Et Jean-Marie Le Pen de dire sa conviction que « La France, une nouvelle fois, sera à la tête du mouvement de reconquête politique, intellectuelle et morale de l'Europe et donnera à nos voisins des raisons d'espérer et d'entreprendre, loin de l'utopie euro-fédéraliste et de ses pseudopodes socialiste et mondialiste. C'est ce jour que nous attendons, confiants dans la lucidité et le courage du peuple français ».

 






Le Pen probablement au second tour !

12/08/2006 09:56

Le Pen probablement au second tour !


Source : Le figaro.fr (le 11/08/06)

Les militants du FN font une campagne intense pour obtenir les parrainages des maires.

 
"JEAN-MARIE Le Pen est confiant dans ses chances de figurer au second tour de l'élection présidentielle de 2007. «La multiplication du nombre de candidats et la gravité de la situation internationale et nationale rendent probable ma présence au second tour, comme en 2002», déclare au Figaro le président du Front national.
 
À la tête d'une équipe de campagne au sein de laquelle sa fille Marine a le titre de «directeur stratégique», Jean-Marie Le Pen s'apprête une nouvelle fois à faire le procès de «trente ans de gouvernements de gauche et de droite, qui ont fait approximativement les mêmes politiques». Le président du FN, qui avait le premier pronostiqué que Ségolène Royal pourrait être la présidentiable du PS en 2007, se dit aujourd'hui plus sceptique sur les chances de la présidente de Poitou-Charentes de concourir l'an prochain. Et il a même des doutes sur la présence de Nicolas Sarkozy...
 
Villiers fait «de la démagogie verbale»
 
«Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal sont des vedettes américaines. Leur occupation de l'espace médiatique risque de les disqualifier pour la suite, assure-t-il. Il faut aussi compter avec Jacques Chirac, Dominique de Villepin et peut-être Alain Juppé.» Selon lui, le chef de l'État «pourrait se représenter en cas de tensions internationales graves. Et si ce n'est pas lui, il y aura un chiraquien en lice.» À gauche, Le Pen pense que Lionel Jospin ne doit pas non plus être oublié.
 
En résumé, pour le président du FN, la situation politique est loin d'être figée. Quant à Philippe de Villiers, Le Pen considère qu'il fait «de la démagogie verbale», qu'il a «toujours été dans le camp de la majorité au plan départemental» et qu'il a «toujours ramené ses voix au second tour à Chirac». «Villiers n'a pas de force d'attraction. Il est coincé entre Sarkozy et moi.»
 
Reste un obstacle de taille sur la route du président du FN : la collecte des 500 signatures. Les militants du FN font une intense campagne téléphonique pour démarcher les maires. Fin juillet, le parti assurait disposer de 350 promesses de signature au profit de leur candidat. Mais Le Pen, qui veut mener une «campagne d'union patriotique» pour «rassembler au-delà du FN», est prudent : «Il y a de plus en plus de maires qui ne veulent signer pour aucun candidat, ce qui n'est pas conforme à la loi, mais ils ont peur des représailles.»
 
Si Le Pen obtient ses signatures, il pourra compter sur un électorat stable et fidèle. Selon Brice Teinturier, directeur général adjoint de TNS Sofres, «il existe un socle d'électeurs frontistes qui, quels que soient la situation économique et le jugement qu'ils portent sur Jean-Marie Le Pen, expriment à travers lui un vote antisystème, qui se double d'un mécontentement et d'un malaise profonds».
 
Brice Teinturier juge que «Le Pen est parfaitement capable de rester à un niveau élevé, 15% d'intentions de vote, voire davantage. Rarement les Français ont été aussi pessimistes, et le fossé entre ceux qui s'estiment exclus du système et ceux qui pensent qu'ils s'en sortiront reste gigantesque». La succession des crises – banlieues, CPE et Clearstream – «conforte, dit-il, cet électorat».
 
Rappelons qu'en 2002, le Front national avait indiqué n'avoir réuni qu'au dernier moment le nombre de parrainages nécessaires. Jean-Marie Le Pen avait dénoncé, dans une lettre au président du Conseil constitutionnel Yves Guéna, la publication des noms des maires, "parce qu'elle expose (les signataires) à la censure de leurs adversaires politiques ou à des pressions diverses, les inquiète et les pousse à s'abstenir".





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