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Dieudonné s'invite au Bourget
12/11/2006 20:44
Fête du FN: le discours de Le Pen
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 Le leader du Front National, Jean-Marie Le Pen (20h du 1/09/2006). - France 2
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Lors de son discours à la fête de son parti au Bourget, le président du FN a critiqué Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal
Devant plusieurs milliers de ses partisans réunis au Bourget (Seine-Saint-Denis), il a brocardé "Sarko la girouette et Ségo la gaffeuse".
Il a aussi accusé la classe politique de plagier son programme de "redressement national".
"Sacré Sarko, atlantiste en Amérique pour plaire à ses mentors, tiers-mondiste au Sénégal pour doubler Ségolène... et Français de retour en France sitôt qu'il chute dans les sondages", a-t-il déclaré, devant un public enthousiaste. "Fabius le comparaît à un caniche mais il a tort, comme animal politique il tiendrait plutôt du caméléon", a-t-il poursuivi.
Le leader d'extrême droite s'en est ensuite pris à Ségolène Royal "qui en fait le moins possible", pour ne pas montrer les mêmes "incohérences" que le très probable candidat de l'UMP. "C'est Lady Nunuche ou la fée Gribouille" qui "se tait déjà échaudée par ses multiples bourdes", a-t-il déclaré, en évoquant "les camps militaires pour délinquants" ou le "nucléaire iranien, nien, nien...". "Sarko la girouette et Ségo la gaffeuse dont les popularités virtuelles se dégonflent déjà dans les sondages", a-t-il ajouté.
Jean-Marie Le Pen s'est félicité que "tous à gauche, comme à droite s'accordent enfin sur notre diagnostic" de la nécessité d'un "redressement national", après avoir "menti" sur l'état réel du pays et "tout cassé depuis 30 ans": "la cohésion nationale et sociale", "l'égalité républicaine", la "laïcité", "l'école", "la liberté d'entreprendre"...
Il s'est présenté comme "l'homme du vrai changement" et a ensuite décliné une amorce de programme, fondée sur "la liberté, l'égalité, la responsabilité et la fraternité". Il a notamment proposé de "restaurer" la souveraineté économique "sacrifiée sur l'autel" de l'euro, de "libérer le travail" en rétablissant la "liberté" sur le temps de travail, et de "tendre à la suppression progressive" de l'impôt sur le revenu.
Le leader frontiste a prôné la "préférence nationale" pour "l'emploi, le logement et les aides sociales et familiales". Il a aussi proposé de donner à l'Etat, et non aux partenaires sociaux, la responsabilité de la Sécurité sociale. Il a réclamé "une grande politique familiale", mais sans se prononcer par exemple sur l'avortement ou les couples homosexuels. Des sujets controversés dans une partie de son électorat.
Dieudonné était de la fête L'humoriste s'est invité samedi de façon impromptue à la fête du Front National au Bourget. Il s'est entretenu avec Jean-Marie Le Pen et Bruno Gollnisch. "Je me suis dit que s'il vient, c'est pour manifester sa sympathie", a déclaré Jean-Marie Le Pen après sa brève rencontre avec l'ex-candidat à la présidentielle.
Dieudonné a expliqué qu'il venait "faire un tour". "Je suis pour la réconciliation nationale, il faut apaiser les tensions communautaires", a-t-il dit aux journalistes.
Le numéro 2 du FN, Bruno Gollnisch, et le secrétaire général Louis Aliot sont venus saluer Dieudonné. L'humoriste est ensuite allé visiter quelques stands, accompagné notamment par Farid Smahi, membre du bureau politique du FN, et bien encadré par des membres du service d'ordre.
Car la venue de Dieudonné n'a pas été appréciée par tous les participants à la fête, qui se sont rappelés sa candidature contre la frontiste Marie-France Stirbois aux régionales de 1998 en Eure-et-Loir. "Je lui ai demandé 'qu'est-ce que vous faites là' et le service d'ordre m'a fait taire", s'est plaint un exposant. Mais, interrogé sur ces réactions hostiles, Jean-Marie Le Pen a répondu que ces militants "n'étaient pas candidats à la présidentielle, eux". "S'il me manquait une voix pour être élu, je serai bien content que ce soit la voix de Dieudonné qui arrive", a-t-il dit.
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Le Pen au Bourget el les parrainages
12/11/2006 20:36
LE BOURGET (AP) -- "Il ne suffit pas d'avoir de bonnes paroles", "ils n'ont qu'à changer la loi", a lancé samedi Jean-Marie Le Pen au deuxième jour de la "convention présidentielle" du FN au Bourget, au sujet des propos tenus par Dominique de Villepin et Bernard Accoyer. Le Premier ministre et le chef de file des députés UMP avaient souhaité qu'il puisse recueillir les 500 parrainages nécessaires pour pouvoir se présenter à la présidentielle. "M. de Villepin est Premier ministre, M. Accoyer est président de la majorité du Parlement. Il leur est donc extrêmement facile de réaliser en quelques jours la réforme qui a été souhaitée par l'ensemble de la classe politique, à savoir faire cesser la publicité des parrainages", a estimé le leader d'extrême droite lors d'un point-presse au parc des expositions du Bourget. Il a dénoncé les "menaces" dont seraient victimes selon lui les maires: "sur dix maires, il y en a cinq qui disent à mes envoyés: 'je voterai pour Le Pen' et là-dessus il y en a à peine un qui donne sa signature". C'est dû selon lui à un "harcèlement" qui "consiste à téléphoner la nuit chez les gens, à les menacer" et qui "vient des milieux de gauche et d'extrême gauche". Pour autant, Jean-Marie Le Pen assure être "confiant" sur la possibilité de recueillir les 500 parrainages d'élus obligatoires pour pouvoir être présent au premier tour de la présidentielle. Il se montre également optimiste pour le scrutin lui-même. "C'est en train de se faire. La mayonnaise prend", jubile-t-il. Interrogé par un journaliste sur le frémissement en sa faveur dans les sondages, il a rétorqué, en éclatant de rire: "un frémissement? C'est un frémissement torrentiel!". Dans la classe politique aussi, "la lepénisation des esprits est en marche", a-t-il constaté. "Mes idées avancent" et "beaucoup des autres candidats viennent sur mon terrain", mais "je crois que le peuple préférera toujours l'original à la copie", a-t-il affirmé. Au sujet du ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy, "les gens se disent: pourquoi il attend 2007 pour faire ce qu'il a à faire?", a-t-il souligné. Ségolène Royal? "A chaque fois qu'elle parle, elle perd des électeurs", a-t-il souri à propos de la vidéo-pirate dans laquelle elle suggère les 35 heures pour les enseignants à l'intérieur des collèges. Et puis, "elle aussi, elle se lepénise un petit peu, lady duduche!". Pour le reste, "c'est assez brumeux quand même ses propositions, c'est assez vague". Jean-Marie Le Pen doit prononcer dimanche un "discours projet", qui ne devrait guère comporter de surprises: "mon projet est connu. Les Français savent ce qu'il faut faire pour les sortir de la mouise et du mensonge". Le président du FN entend en particulier "rendre la parole au peuple". Pour cela, il veut instituer "le référendum à l'occasion de chacune des grandes réformes" et "rétablir la proportionnelle dans toutes les élections". Et "je n'ai pas besoin d'être à la recherche de respectabilité", a-t-il ajouté, se présentant comme "l'un des hommes politiques les plus respectables de France".
Source : Nouvelobs
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Le Pen accuse ses concurrents de faire de la démagogie
30/10/2006 17:51
Présidentielle 2007 : Le Pen accuse Royal et Sarkozy de faire de la démagogie
Jean-Marie Le Pen, le président du Front National, déclare que la présidentiable socialiste Ségolène Royal et le ministre de l’Intérieur Nicolas Sarkozy, président de l’UMP ont comme lien commun une démagogie criante.
Le dirigeant d’extrême-droite indique dans une interview au Journal du Dimanche : "Si Nicolas Sarkozy n’hésite pas à se réapproprier certaines de mes thèses, il ne va jamais jusqu’au bout"."Malgré les apparences, le discours de Ségolène Royal n’est pas très différent lorsqu’elle parle d’encadrement militaire, d’autorité ou d’ordre.../...Ils ont en tout cas une chose en commun : leur démagogie criante."
Jean-Marie Le Pen accuse également ses concurrents potentiels d’avoir l’oeil rivé sur les enquêtes d’opinion et ce qu’ils croient être les aspirations profondes des Français. Pour sa part, il se dit certain d’accéder au second tour de la présidentielle de 2007, comme il l’avait fait en 2002. Il rappelle qu’il y a cinq ans, à la même époque, les chiffres des sondages le concernant étaient divisés par deux et invite à faire le calcul.
Justement, selon un sondage Ifop publié ce jour par le Journal du Dimanche, il est crédité d’un potentiel électoral de 18% au premier tour de la prochaine présidentielle, un score légèrement supérieur à celui qui lui avait permis le 21 avril 2002 de devancer Lionel Jospin et de se retrouver face à Jacques Chirac.
Enfin, Jean-Marie Le Pen indique avoir recueilli près de 400 des 500 parrainages d’élus locaux qui sont nécessaires pour se présenter à la magistrature suprême.©alactu.com
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