|
| Accueil |
Créer un blog |
Accès membres |
Tous les blogs |
Meetic 3 jours gratuit |
Meetic Affinity 3 jours gratuit |
Rainbow's Lips |
Badoo |
[ multimédias ] [ Marine Le Pen ] [ Jean-Marie Le Pen ] [ Sujets divers ] [ Mes reflexions ] [ Les communiqués ] [ citations ]
|
|
|
|
Une bombe à retardement pour l'élection présidentielle
07/10/2006 09:06
La semaine dernière, l'Insee, dans une note intitulée « Les salaires en France », a peut-être, sans le savoir, livré l'une des clés, sinon LA clé, de l'élection présidentielle de 2007. Ce texte est une véritable bombe. Une bombe à retardement qui risque bien d'éparpiller quelques candidats façon puzzle !
Que dit-il, ce texte ? Que la France sous-paie ses salariés. Que le salaire net moyen des employés ne dépasse pas les 10 878 euros par an, soit 906,5 euros par mois. Bref, que depuis dix ans, des millions d'employés se sont appauvris - oui, vous avez bien lu, « appauvris » ! Ils travaillent dans les grandes surfaces, l'industrie textile, la téléphonie, l'hôtellerie (y compris de luxe), les entreprises de nettoyage, les fast-foods… Ce sont eux, les nouveaux prolétaires ! Sept millions de « prolos » que personne ne voit, ou ne veut voir. Ceux que, naguère, on appelait la classe ouvrière et que la tertiarisation de l'économie a, année après année, déclassés.
De 1996 à 2004, pour prendre la période de référence des statisticiens de l'Insee, le salaire moyen a progressé de 3 % quand le PIB, lui, augmentait de 18% ; quand les dividendes des actionnaires grimpaient de 52% ; quand, surtout, des grands patrons de sociétés cotées au CAC 40 s'attribuaient, sans vergogne, des montagnes de stock-options, des primes pharaoniques, des retraites dorées sur tranche et des salaires équivalents à 600 ou 1 000 fois le Smic. Quel être humain peut décemment justifier, sauf à être devenu psychiatriquement fou, qu'il vaut 600 ou 1 000 fois plus qu'un autre ? Qui ?
« L'ordre économique juste » commence là. A la fin du mois sur la fiche de paie. Or, à ce jour, ni l'UMP ni le Parti socialiste n'ont pris la juste mesure de ce défi.
Un exemple : Airbus a pris deux ans de retard dans la livraison de l'A380. Or, que décide la direction d'Airbus ? De supprimer des milliers d'emplois. Pourquoi ? Pour que ces retards n'affectent pas les dividendes versés aux actionnaires. CQFD !
-
Source : Mariane2007.info
-
-
Seul le Pen clame depuis des années l'incompétence de l'UMPS en matière économique et l'appauvrissement de notre pays. Pour une vraie protection nationale, économique et sociale qui redressera la France, c'est Le Pen le meilleur candidat.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Les menteurs
06/10/2006 16:49
Les menteurs Le billet d’Yves Daoudal
Les pétitionnaires sont de retour. Ils pétitionnent pour Robert Redeker. Ils disent que même si l’on n’est pas d’accord avec ce que le professeur de philosophie a dit, il faut défendre son droit à le dire, que la liberté d’expression doit être garantie pour tous et sur tous les sujets, qu’il faut élever une protestation quand quiconque est menacé pour avoir dit ce qu’il pense. Les pétitionnaires sont des menteurs. La liberté de pensée et d’expression dont ils parlent est strictement limitée, d’une part aux sujets que la pensée unique définit comme étant susceptibles d’être discutés, d’autre part aux personnes qui sont agréées par la pensée unique pour exprimer leur opinion. Rappelons simplement que Jean-Marie Le Pen a été condamné en justice pour avoir dit ceci : ” Le jour où nous aurons en France non plus cinq millions, mais 25 millions de musulmans, ce sont eux qui commanderont. Et les Français raseront les murs, descendront des trottoirs en baissant les yeux. Quand ils ne le font pas, on leur dit : “qu’est-ce que tu as à me regarder comme ça ? Tu cherches la bagarre ?” Et vous n’avez plus qu’à filer, sinon vous prenez une trempe. ” C’est le même sujet que celui dont a parlé Redeker. Mais on pétitionne pour Redeker, on poursuit Le Pen. On se mobilise en faveur de Redeker, on se félicite de la condamnation de Le Pen. La liberté d’expression dont parlent les pétitionnaires est celle qui s’exerce à l‘intérieur du système politique, juridique et intellectuel de la pensée unique. Ce système est verrouillé par un arsenal législatif qui définit les sujets sur lesquels il est interdit de discuter, et par un arsenal politico-médiatique qui interdit de libre parole ceux que le système rejette en dehors de son cercle. Ce système a aboli le délit de blasphème, qui rendait intouchable la sphère du sacré, et a rétabli le délit de blasphème pour des sujets qui n’ont rien de sacré, ou contre des personnes dont on décrète qu’elles blasphèment quand elles parlent de sujets que le système leur interdit d’évoquer. Les pétitionnaires ne défendent pas la liberté d’expression, ils font partie de la troupe des nouveaux inquisiteurs.
Source: http://www.national-hebdo.com
| |
|
|
|
|
|
|
|
Compte-rendu du colloque sur l'automobile
05/10/2006 21:25
JEAN-MARIE LE PEN ET LE FRONT NATIONAL SE PENCHENT SUR LES PROBLEMES DE L'AUTOMOBILE
A l'occasion de l'Ouverture du Mondial de l'Automobile, le Conseil Scientifique du Front National a organisé ce 30 septembre, à l'initiative de Bruno Gollnisch, un colloque sur le thème « Quel avenir pour l'Automobile », qui a réuni environ deux cents participants Porte de Versailles. Diverses actions de communication, notamment dans le cadre de la campagne présidentielle ont été annoncées à l'issue de ce colloque, conclu par Jean-Marie Le Pen.
Sont intervenus les personnalités suivantes :
- Serge Laroze, Ingénieur de l'Aéronautique et Professeur à l'école Supérieure d'Aéronautique, a brossé un historique rapide des moyens de transports, jusqu'au véhicule personnel, sa démocratisation et sa diversification.
- Joëlle Melin, docteur en médecine, a étudié le contenu symbolique et l'influence de la voiture sur les comportements individuels et collectifs.
- Hugues Petit, Maître de Conférence à la Faculté de Droit de l'Université de Grenoble, a démontré que derrière le discours officiel et les politiques de restriction de l'automobile se cachait une idéologie socialiste par essence collectiviste et donc foncièrement hostile à l'automobile instrument de liberté.
- Martial Bild, Directeur du magazine Français d'Abord, Conseiller Régional de Paris a décrit l'autophobie paroxystique des municipalités de Paris et Lyon, dont le but n'est pas d'offrir plus de transports en commun aux Parisiens et aux Lyonnais, mais de chasser les automobilistes de ces villes, avec des résultats désastreux en termes économiques, sociaux, et même environnementaux.
- Marine Le Pen, Député européen, présidente du groupe FN au Conseil régional Ile de France, a dénoncé l'hypocrisie des Verts en démontrant que, loin de s'attaquer à ceux qui retardent les investissements dans les biocarburants, ce parti a focalisé sa haine sur les automobilistes, sans aucune logique vraiment écologique.
- Francis Rongier, fondateur du mouvement « Auto Défense », Délégué Général du club « Défense Permis », a démontré exemples à l'appui que le principal outil de répression des automobilistes, le permis à points, donnait lieu à de formidables injustices.
- Bruno Gollnisch, docteur en Droit, Député européen, reprenant les analyses des juges Gaillot et de Maillard, a brossé le tableau des dénis de droit et des abus administratifs auxquels la répression routière donnait lieu, jugés illégaux par le Médiateur de la République lui-même et contraires à la Convention Européenne des droits de l'Homme, sans remise en cause par les autorités.
- Eric Pinel, ancien député européen, Président de France Ecologie Environnement, a évoqué les problèmes écologiques posés par l'automobile et analysé les avantages et les inconvénients des biocarburants.
- Thibaut de La Tocnaye, Ingénieur Centralien et Chef d'entreprise, a brossé le tableau du poids économique du secteur de l'automobile, fleuron aujourd'hui menacé de l'industrie française.
- Monique Dacharry, Professeur émérite des Université, spécialiste de géographie des transports, a rappelé que l'automobile était un moyen de transport indispensable, car complémentaire en réalité de tous les autres.
- André Pertuzio, Consultant pétrolier international a expliqué que les ressources pétrolières étaient loin d'être épuisées, même si leurs coûts d'exploitation étaient appelés à augmenter et prédit que la fin de l'utilisation des hydrocarbures ne serait pas tant due à l'épuisement des ressources qu'aux évolutions technologiques.
- Jean-Marie Cordes, Ingénieur des Arts et Métiers, responsable des formations « moteurs » à l'Ecole Nationale Supérieure du Pétrole et des Moteurs (ENSPM), après avoir souligné les formidables progrès déjà réalisés par les industries automobiles et pétrolières, a fait un tour d'horizon des technologies qui permettront, dans un avenir plus ou moins lointain, de rouler plus propre en consommant moins, voire plus du tout, de pétrole.
Jean-Marie LE PEN a clôturé ce colloque en rappelant son attachement à la liberté, dont l'automobile est à la fois un symbole et un instrument. Il a appelé à un soutien public de la recherche de nouveaux carburants, de nouvelles motorisations, d'amélioration de la qualité des infrastructures routières et de la sécurité des véhicules, et à de réelles politiques de transports au service du public. Il a réclamé la fin de la persécution fiscale et pseudo-sécuritaire des automobilistes par un Etat en pleine déliquescence, impuissant à faire respecter l'ordre et la loi sur des parties entières du territoire. Compte- rendu
| |
|
|
|
|