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Créé le : 03/08/2006 16:39
Modifié : 17/01/2012 21:22

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Comment ne plus penser la France !

13/08/2006 12:11

Comment ne plus penser la France !


L'Education est trop gauchiste. Parents réagissez !


A partir de la rentrée de septembre 2006, les programmes de STG (Sciences et technologies de la Gestion) vont remplacer l’ancien programme de la série STT (« Tertiaire »).

En avril-mai 2006, des stages par académie ont permis aux inspecteurs de communiquer à quelques professeurs relais « l’esprit » du nouveau programme.

Traditionnellement, au lycée, les programmes de géographie fonctionnent par échelle :
-en secondes, l’échelle est plutôt globale, avec des études de cas locaux ;
-en Terminales, l’échelle est également mondiale ;
-c’est donc en Premières et en Premières seulement, que le lycéen peut raisonner à l’échelle française (et européenne).

Le nouveau programme de Premières STG semble au départ se conformer à cette pratique, si l’on regarde le Bulletin Officiel n°7 de septembre 2005 :
I./ Les territoires européens
II./Peuplement, réseaux et mobilités en France
III./ Dynamiques de localisation des activités en France

Le stage accompli par les professeurs a cependant confirmé explicitement ce qui transparaît dans les « commentaires » accompagnant les titres des chapitres : le niveau de raisonnement voulu par les concepteurs du programme ne s’applique plus à l’échelle nationale. Autrement dit, la notion même de France est vidée de son contenu ; pire : l’intelligence de l’élève désormais ne raisonnera plus selon un cadre national, mais travaillera quasiment en permanence à l’échelle locale, régionale ou européenne. La France ne semble plus un concept pertinent pour comprendre des phénomènes que l’on veut désormais concevoir exclusivement « transnationaux » ou locaux. Exit la France comme cadre de conceptualisation. Or un des objectifs explicites du programme est "d'insérer le citoyen -l'élève- dans la Cité". Chercher l'erreur

Selon les aveux de certains inspecteurs, ce programme a pour but de faire penser les élèves à des échelles autres que celle nationale ; l’école joue ici son rôle totalitaire de mise en conditionnement du futur « citoyen du monde » ; l’élève n’aura même plus les outils ou notions géographiques pour penser son pays ; or il faut savoir que les filières STG réunissent de nombreuses populations fraîchement immigrées qu’il s’agit d’intégrer. Ainsi accentue-t-on la déconstruction progressive de notre pays, en enlevant son concept géographique même de l’esprit de nos enfants ou des enfants d’étrangers, qui, en STG, n’auront « pensé la France » que 6 heures dans toute leur vie de lycéen.
Quoi de mieux, pour supprimer la France, non seulement de la dénigrer (on pense au thème de l’esclavage que la loi Taubira veut appuyer dans les programmes d’histoire, ou encore de ce premier manuel d’histoire franco-allemand sorti en 2006) mais surtout de n’en plus parler du tout, pour donner des cadres de pensée à nos enfants qui ignorent de plus en plus leur propre pays.

Rappelons nous de 1984 de Georges Orwell dans lequel le novlangue consistait à oter des mots du dictionnaire afin que n'ayant plus le concept les hommes ne puissent plus le penser!






Encore une agression !

12/08/2006 13:04



Encore un militant
du Front National agressé !



Après l'agression au couteau de Jean-Paul Frison-Roche, conseiller municipal FN en Haute-Savoie, le samedi 5 août dernier par un "jeune", c'est dans les Hauts de Seine que Nicolas F, militant sérieux et responsable, s'est fait attaqué par un individu.

C'est lors d'une opération de collage d'affiches à Issy-les Moulinaux que notre équipe de colleurs, dans la nuit du lundi 7 au mardi 8 août, vers 1h du matin, a été dérangée dans son travail par un lâche individu qui s'est attaqué à Nicolas F. par surprise. Celui-ci a tenté de se défendre avec son balai mais l'autre a eu le temps de lui asséner quelques coups sur la tête ! Bilan pour notre militant, un traumatisme crânien.
Après une visite-éclair à l'hôpital, Nicolas a pu rentrer immédiatement chez lui et
se porte bien aujourd'hui.

Une plainte en bonne et due forme a été déposée.


Depuis le début de la campagne présidentielle, on sent que le président Jean-Marie Le Pen sera très probablement au second tour en 2007. Et peut-être même premier du premier tour !
On comprend donc que ça puisse en exaspérer certains et même être l'explication des agressions dont sont victimes nos militants.

Cela dit,
rien ne peut excuser ni justifier la violence de nos agresseurs.

Nos meilleurs voeux à Nicolas, lequel en est sorti renforcé dans son désir de militer encore et toujours pour le Front National !

source : http://www.fn92.net/agressionNicolasIssy.php






François Hollande contre le Front national

10/08/2006 12:16




Un mauvais vaudeville (2005)

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François Hollande aurait bien besoin de prendre des vacances. Convié le 27 juin dernier par le Premier ministre à faire le bilan du référendum, le premier secrétaire du PS a décliné l’invitation sous le prétexte que le Front national, avait rendez-vous le même jour à Matignon. Cette indignation soudaine est d’autant plus risible que Dominique de Villepin ne peut être soupçonné de complaisance à l’égard de l’extrême droite. François Hollande feint surtout d’oublier que le FN a des élus au Parlement européen : il est donc logique que dans une consultation sur l’avenir de l’Europe, tous les partis représentés à Strasbourg soient invités. François Hollande a expliqué son geste dans une conférence de presse : « cette invitation, cette rupture [par rapport aux règles pratiquées depuis dix ans] ne peuvent être interprétées que comme une banalisation de l’extrême droite, de ses dirigeants et de ses thèses. » L’argument est faible : François Hollande feint là encore d’oublier que le FN n’a pas attendu 2005 pour être banalisé. Voilà plus de vingt ans maintenant que le Front National fait partie du paysage politique français. A qui la faute ? De lutte contre le Front National, le PS s’est principalement contenté de pratiquer l’indignation sélective avec le succès que l’on sait : le FN est aujourd’hui bien implanté dans l’hexagone et représente au niveau national environ 15% des électeurs dont une partie importante votait autrefois pour le PS ou le PC, le FN est depuis plusieurs années déjà, le premier parti ouvrier. Au lieu de crier au loup, François Hollande ferait mieux de se demander pourquoi cet électorat populaire s’est détourné de la gauche ou plutôt pourquoi le PS une fois au pouvoir a abandonné les cités et les banlieues.

A écouter François Hollande s’expliquer sur ce « boycott républicain », on a beaucoup de mal à croire qu’il soit sincèrement choqué de voir Carl Lang et Jean-Claude Martinez franchir le seuil de Matignon tout comme on a du mal à croire « la colère » de Marie-George Buffet qui a cependant fait le déplacement. Quelques semaines auparavant, ces mêmes leaders politiques de gauche débattaient sereinement avec Jean-Marie Le Pen et sa fille Marine sur les plateaux de télévision à propos du même sujet : l’Europe. Lors de la soirée électorale du 29 mai, aucun leader de gauche ne s’est senti indisposé par Marine Le Pen ou ne s’est même indigné de sa présence à leurs côtés. On a aussi du mal à croire que les électeurs de gauche soient dupes de ces petites manœuvres politiciennes. Agiter le chiffon rouge du FN comme le fait François Hollande ne fera pas gagner une voix au PS, ni d’ailleurs au PC en 2007. Si le 21 avril est resté en travers de la gorge de François Hollande, il devrait s’en prendre à ses amis qui ont gouverné de 1997 à 2002 et ont négligé la montée de l’insécurité : Jean-Pierre Chevènement alors ministre de l’Intérieur du gouvernement Jospin avait été épinglé par son propre camp pour avoir parlé en 1998 des « sauvageons » à propos des mineurs délinquants ! L’expression avait alors été considérée comme un dérapage... Pendant que les élites parisiennes stigmatisaient la « lepénisation des esprits », l’électorat de gauche qui vit dans les quartiers difficiles, en a tiré les conséquences. Le PS avait déjà à l’époque perdu tout contact avec la France réelle. En 2005, c’est toujours l’angélisme rousseauiste qui prévaut en matière d’immigration et de délinquance.

Si le Front National est un parti raciste, xénophobe et antisémite comme l’affirme à intervalles réguliers la gauche, alors pourquoi celle-ci a introduit la proportionnelle aux législatives de 1986 et a ainsi fait délibérément entrer plusieurs élus FN à l’Assemblée nationale ? Pourquoi ne pas avoir au contraire fait interdire le Front National ? Le PS en avait tout le loisir sous François Mitterrand : il lui aurait suffit de s’appuyer sur la loi du 10 janvier 1936 utilisée par l’UMP pour dissoudre des groupuscules d’extrême droite comme Unité Radicale en 2002 et Elsass Korps en 2005. Cette loi mise à jour à plusieurs reprises depuis, stipule que «  seront dissous par décret rendu par le président de la République en conseil des ministres, toutes les associations ou groupements de fait qui, soit provoqueraient à la discrimination, à la haine ou à la violence envers une personne ou un groupe de personnes, à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, soit propageraient des idées ou théories tendant à justifier ou encourager cette discrimination, cette haine ou cette violence ». Le PS ne pouvait évidemment pas faire interdire le FN parce que ce parti lui était très utile pour gêner la droite : si la manœuvre électorale a échoué en 1986, elle a parfaitement fonctionné aux régionales de 1998 puisque plusieurs régions se sont retrouvées dirigées par la gauche alors que la droite était arrivée en tête mais manquait d’une majorité pour gouverner.

Eclaboussé par plusieurs scandales politiques, le PS a aussi besoin du FN pour se refaire une virginité morale : dire du mal du Front National ne coûte rien et lui donne bonne consicence. Elle entretient le fantasme du retour de la « bête immonde » des années Vichy, un péril dont elle serait le seul et unique rempart. La gauche voit la main de l’extrême droite partout : de l’attentat de la rue Copernic en 1980 aux profanations de cimetières juifs, attaques contre des synagogues et des personnes depuis le début des années 2000... La réalité, c’est que « l’extrême droite agitée » ne pèse pas lourd : selon un raport des Renseignements Généraux (RG) remis au mois de Janvier 2005 à Dominique de Villepin, les groupuscules d’extrême droite ne rassemblent qu’entre 2500 et 3500 militants et sympathisants dont une petite partie a une démarche violente : sur 188 actions violentes à caractère antisémite recensées en 2004 par le ministère de l'Intérieur, 13 (soit 7%) sont imputables à des activistes d'extrême droite. Quant au FN, Jean-Marie Le Pen et des cadres comme Bruno Gollnisch récemment, ont toujours été poursuivis pour des propos jugés racistes, antisémites ou révisionnistes, et ils ont été à plusieurs reprises condamnés. Le Pen a même été inéligible de 1997 à 2000 et privé de ces mandats électifs pour avoir mollesté une élue PS. Si malgré les attaques et les poursuites judiciaires dont il fait régulièrement l’objet depuis l’affaire du « point de détail » de 1987, le FN enregistre toujours de bons scores, ses adversaires ou soi-disant adversaires devraient revoir leur méthode de l’indignation sélective. Après s’être brûlée le 21 avril 2002, la gauche devrait cesser de jouer avec le feu et elle devrait s’interdire de faire du cynisme, une arme politique.

François Hollande et ses amis devraient se demander si ceux qui font la meilleure publicité au FN, ne sont pas les partis de gouvernement, de droite comme de gauche. Car c’est bien l’échec de leurs politiques qui a conduit à la montée des extrêmes et a vu 30% des électeurs se détourner d’eux en 2002. Le FN ne fait que profiter depuis plus de vingt ans des erreurs commises par la droite et la gauche en matière économique et sociale. Il faut espérer que François Hollande s’en souviendra lorsque le PS rédigera son programme pour 2007.

florence guernalec

www.crackersandco.com






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