|
| Accueil |
Créer un blog |
Accès membres |
Tous les blogs |
Meetic 3 jours gratuit |
Meetic Affinity 3 jours gratuit |
Rainbow's Lips |
Badoo |
[ multimédias ] [ Marine Le Pen ] [ Jean-Marie Le Pen ] [ Sujets divers ] [ Mes reflexions ] [ Les communiqués ] [ citations ]
|
|
|
|
Pour une immigration zéro
30/09/2006 11:36
Le président du Front national Jean-Marie Le Pen a réaffirmé mardi lors d'une visite en Auvergne que "l'immigration" serait "l'un des axes principaux de la campagne électorale" qu'il allait mener, plaidant pour une "immigration zéro" et réservant au passage quelques piques à Nicolas Sarkozy. Interrogé sur l'accord signé à Dakar par le ministre de l'Intérieur sur "l'immigration concertée", Jean-Marie Le Pen a déclaré: "je n'y crois pas du tout. Je crois que ce qu'il faut maintenant, c'est une immigration zéro, en tous cas pour tout ce qui touche l'immigration qui vient de l'extérieur de l'Europe, et même de l'Europe". "Il faut changer les lois d'accès à la nationalité. La nationalité française doit être refusée à ceux qui ont été clandestins", a-t-il dit lors d'une conférence de presse à Pérignat-lès-Sarliève (Puy-de-Dôme). Le président du FN a par ailleurs reproché au ministre de l'Intérieur de parler "des problèmes français comme s'il en était un observateur extérieur. Il y a des choses qui se passent et il dit 'il va falloir faire la rupture'. Mais, Monsieur le ministre, permettez-moi de vous faire remarquer que vous êtes ministre, vous êtes au pouvoir. Alors vous nous dites ce que vous ferez lorsque vous serez au pouvoir. C'est aléatoire", a-t-il lancé. "Il est moins sûr qu'un jour vous soyez président de la République qu'aujourd'hui vous soyez ministre de l'Intérieur. Or ministre de l'Intérieur, vous pouvez faire des choses, vous ne les avez pas faites". Jean-Marie Le Pen a également regretté que la socialiste "Ségolène (Royal) et Sarko soient promus médiatiquement de façon presque éhontée". "Tout est bonne occasion de parler de l'un ou de l'autre, à l'exclusion des autres", a-t-il dénoncé
| |
|
|
|
|
|
|
|
J.M Le Pen dénonce les magistrats idéologues et le manque de policiers
25/09/2006 11:11
"Je ne crois pas à la justice de mon pays", a déclaré dimanche Jean-Marie Le Pen, qui s'en est pris à "l'ensemble du système judiciaire français issu de l'Ecole nationale de la magistrature", selon lui "fabrique d'idéologues beaucoup plus que de magistrats". "J'attaque le système judiciaire français que je crois insuffisant quant à ses effectifs", a dit le président du Front national lors du Grand rendez-vous sur Europe 1. "Il est dérisoire de penser que nous avons les mêmes effectifs de magistrats qu'au XVIIIe siècle, il y a deux cents ans", a-t-il ajouté. Quant à la police, "le moins qu'on puisse dire, c'est qu'elle n'est pas assez nombreuse" pour lutter contre une insécurité qui "s'aggrave", selon Jean-Marie Le Pen qui juge la police également mal utilisée. "Trop de policiers dans les rues de Paris font la chasse aux automobilistes pour ramasser de l'argent pour le ministre des Finances", a-t-il dénoncé. "Ils devraient plutôt être dans les banlieues où leur présence est demandée et souhaitée". Le président du FN a déploré le développement en France d'une nouvelle forme de "violence gratuite, sans raison", impunie. "Comme il n'y a pas assez de places de prison, on ne peut pas mettre les gens en prison, il ne sert à rien de les condamner", a-t-il analysé. Il a tenu ces propos après la polémique suscitée par les déclarations de Nicolas Sarkozy. Le président Jacques Chirac a rappelé vendredi sa "très grande exigence quant au respect de l'indépendance des magistrats" dans un communiqué après avoir reçu le premier président de la Cour de cassation Guy Canivet. Mercredi, lors d'un déplacement à la préfecture de Bobigny, le ministre de l'Intérieur avait réagi au cri d'alarme du préfet de Seine-Saint-Denis Jean-François Cordet sur une recrudescence de la délinquance, en critiquant les magistrats de Bobigny, accusés d'une "forme de démission". Ces propos avaient provoqué un tollé dans la magistrature. Dans un communiqué, Guy Canivet, notamment avait dénoncé jeudi "une nouvelle atteinte à l'indépendance de la Justice".
source : NouvelObs.com
| |
|
|
|
|
|
|
|
Le symbolisme de Valmy
21/09/2006 21:06
Jean-Marie Le Pen est d'humeur «guillerette». «Je me sens rajeunir.» Autoproclamé pourfendeur du système, le leader d'extrême droite s'apprête à prononcer un discours, comme n'importe quel homme politique, au pied du moulin de Valmy (Marne). Là même où le 20 septembre 1792, l'armée révolutionnaire mit en déroute l'armée prussienne, provoquant dans la foulée l'avènement de la république.
Barrages. Sauf que Le Pen n'est pas tout à fait un homme politique comme les autres. Et qu'il est attendu. Dès la sortie de l'autoroute, la gendarmerie procède à un contrôle des véhicules immatriculés hors du département, un second barrage filtre les entrées du village de Valmy et un troisième surveille l'accès direct au moulin. Un escadron de gendarmes mobiles a pris position sur la colline. Une présence massive des forces de l'ordre pour faire face à une trentaine de contre-manifestants du Mouvement des jeunes socialistes (MJS) qui agitent mollement drapeaux européens et calicots. Les militants frontistes des départements voisins, n'ont pas fait non plus le déplacement en masse. Ils sont une petite centaine à scander «Le Pen président» pour couvrir les cris des manifestants anti-FN. En revanche, tout l'état-major du parti a décidé de participer à l'excursion historique organisée par la vice-présidente du FN, Marine Le Pen. «Les soldats qui se sont battus à Valmy au cri de "vive la nation" symbolisent pour nous la réconciliation de la république et de la nation, du patriotisme» , explique-t-elle. Même Bruno Gollnisch, numéro 2 du mouvement, pourtant peu favorable à ce déplacement ( Libération d'hier) n'entend pas «laisser ce symbole d'une victoire française à nos adversaires. Valmy, c'est aussi le rejet d'une invasion étrangère» .
«Valmy est une vraie victoire qui remit une France vacillante, menacée divisée sur le chemin de la grandeur», déclare Le Pen, au pied du moulin. Et de prédire un même destin à la nation s'il parvient «à présider demain par les voies démocratiques et ce malgré les coups bas du système. Nos électeurs sont les dignes héritiers des combattants de 1792» . «En vérité, je vous le dis, dans sept mois, c'est-à-dire demain, il s'agira de vaincre ou de périr, de se relever ou de se soumettre», poursuit-il.
«Intérim». Puis Le Pen qui se pose en «seul défenseur de l'indépendance nationale» tape à bras raccourcis sur Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy, rebaptisés pour l'occasion «Sargolène et Sékozy» : «Chez elle, c'est simple, des idées, y en a pas et Sarkozy l'Américain, louvoie.» Il se persuade d'ailleurs que «la madone des magazines people et des bobos» n'est là que pour assurer «l'intérim» et «nous donner envie de l'austère et peu désirable Jospin» avec qui il rêve de se trouver en finale. Il a également lancé un appel «aux Français d'origine étrangère à communier sur nos valeurs. Tous unis, vrais gaulois ou céfrans !»
source : libération
| |
|
|
|
|