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Le parti populiste soutiendra Le Pen en 2007
01/09/2006 19:31
31 août 2006
L'existence du Parti populiste provient d'une scission avec "le MNR quand il est apparu que le FN avait clairement gagné le duel électoral mené depuis 1999 et que toute prolongation devenait suicidaire pour notre camp." L'ambition de ce parti a ensuite été axé sur la réunification du 'camp national'.
Dans un entretien, Christian Perez (Président) et Franck Timmermans (Porte parole) apportent en ces termes leur soutien à Jean-Marie Le Pen :
"Le candidat du Front national est le seul capable de porter au plus haut les scores du camp national et parce que nous partageons avec lui l’essentiel de nos préoccupations et des solutions souhaitables pour notre Pays. J’ajouterai que c’est à l’évidence le seul candidat opposé au projet délirant de Constitution européenne susceptible d’accéder au second tour. [...] Or, Monsieur Barroso, Président de la Commission européenne, ne souhaiterait qu’une chose : que les deux candidats qualifiés pour le second tour soient tous les deux des partisans du OUI, et ce, afin de marginaliser ceux du NON et préparer tranquillement le vote de son projet devant un parlement français totalement acquis."
"Quand on commence à parler de vote utile en faveur d’une formation politique, c’est que la prise de pouvoir ne fait plus partie du domaine utopique. [...] Je dirais que le scrutin de 2002 a permis aux électeurs de se familiariser avec la perspective d’une victoire du FN, un jour ou l’autre, et c’est déjà un énorme tabou en moins à exorciser !"
"Nous avions posé 13 questions à Philippe de Villiers en septembre 2005, auxquelles il n’a pas jugé bon de répondre. Qu’importe, les réponses nous ont été apportées par son comportement et celui de son entourage. Nous avons connu, malheureusement, d’autres start up politiciennes de ce genre et nous savons que ce n’est qu’un feu de paille destiné à détourner les naïfs.[...] Le plus triste est de voir des camarades ralliés à cette entreprise de division, soit par haine primaire du FN, soit par calcul en lorgnant lamentablement vers les élections régionales."
"Nous avons eu le plaisir de rencontrer Jean-Marie Le Pen à 2 reprises et dans un climat de confiance total. La réconciliation est maintenant un fait, le Parti populiste soutiendra le FN dans la grande bataille de 2007."
source : chrétieneté
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Communiqué de presse du 29 août 2006
30/08/2006 00:19
Date : mardi 29 août 2006
L’homme interpellé à Sallanches, après avoir forcé plusieurs barrages de gendarmerie à proximité du lieu où se trouvait le Premier ministre, en était à son troisième vol de voiture de la journée, et s’était rendu coupable de divers troubles à l’ordre public ces derniers jours.
Cet homme est Cherif Bouchelaleg. C’est l’Algérien qui, sous le coup d’une expulsion après de multiples condamnations, avait ému Nicolas Sarkozy au point que le ministre de l’Intérieur avait alors supprimé la prétendue double peine.
Telle est la réalité de la politique de M. Sarkozy. Non seulement il n’agit pas contre l’immigration, mais en supprimant la double peine, il permet aux immigrés multirécidivistes de poursuivre leurs méfaits, jusqu’à mettre en danger jusqu’au Premier ministre lui-même.
C’est tout un symbole. Par sa politique irresponsable, Sarkozy met l’Etat, et la France, en péril.
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Le Pen plus que jamais présent
30/08/2006 00:12
Il est dans l’esprit de tous les candidats à la présidentielle. Il hante les commentateurs officiels. Il n’a guère besoin de faire parler de lui pour monter dans les sondages. Quatre ans après s’être hissé au second tour de la présidentielle, Jean-Marie Le Pen et le Front national restent plus que jamais incontournables. La situation internationale, le malaise persistant du pays, le chômage et le coût de la vie restent sans réponse, ouvrant un boulevard aux visions les plus brutalement simplistes. [1] L’absence consternante de vision, de consistance et de densité des coqueluches des sondages, Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal, ne peut que susciter un vote protestataire de grande ampleur. En effet, la logique médiatique, portée au binaire, favorise outre mesure les « grands » candidats [2], isolant d’emblée les candidats ayant le courage d’aborder les questions qui fâchent. Quant à Philippe de Villiers, son obsession anti-islamiste trouve peu d’écho dans l’électorat frontiste, non pas focalisé sur l’islam en particulier, mais sur l’immigration en général. Jean-Marie Le Pen compte les points, son seul souci restant l’obtention du nombre nécessaire de parrainages pour se présenter. Mais que Jean-Marie Le Pen soit finalement présent ou non à la présidentielle, ce que le phénomène lepéniste pointe du doigt restera bien d’actualité.
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[1] A cet égard, si les intentions de vote pour Jean-Marie Le Pen sont élevées à ce stade de la pré-campagne (environ 12 %), les intentions de vote en faveur de l’ultra-gauche sont d’environ 9 %, soit le score obtenu par les candidats trotskistes en 2002.
[2] Interrogé en 2002 à ce sujet par les auditeurs de RTL, le responsable du service politique, Richard Hartz, n’avait pas dit autrement. Au final les deux « grands candidats » étaient sous la barre des 20 % et l’un d’eux exclu du second tour.
Souce : revue républicaine
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