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Marine le Pen déplore l'alliance avec Bruno Mégret

05/09/2006 00:01



Même Marine Le Pen ne voit pas d'un bon oeil une alliance avec le leader du MNR, jugé trop exigeant compte tenu de son poids politique.

 
L'UNION PATRIOTIQUE continue d'agiter les esprits au Front national. À l'université d'été des élus du FN, qui s'est ouverte hier à Avignon, les résistances sont apparues fortes à cette union, surtout si elle doit se réduire, comme cela semble devoir être le cas, à un accord avec le MNR de Bruno Mégret. D'autant plus forte que celui-ci a, le week-end précédent lors de son université d'été, donné sa vision des choses dans des termes qui ont visiblement agacé plus d'un dirigeant du FN. Mégret avait notamment revendiqué une part active dans la campagne présidentielle et plaidé pour une «force fédératrice, puissante et nouvelle qui rassemblerait les partisans du MNR et ceux du FN». Il demanderait aussi un nombre important – une centaine – de circonscriptions aux législatives.
 
«Les déclarations de Bruno Mégret ont été à l'encontre de ses intérêts», affirmait hier Jean-François Touzé, conseiller de Jean-Marie Le Pen, qui invite chacun à «éviter les déclarations et à laisser faire Le Pen». Encore Jean-François Touzé est-il a priori favorable à un accord avec Bruno Mégret, ce qui n'est pas le cas d'autres responsables au FN. Marine Le Pen ne voit visiblement pas d'un bon oeil l'éventuel retour de l'ancien délégué général dans les parages du FN. «Je suis prête en tant que militante à faire des sacrifices», disait-elle hier «mais je ne pense pas qu'il y ait plus d'avantages que d'inconvénients à faire l'union dans ces conditions». «Je ne vois pas ce que Bruno Mégret se propose de nous apporter, à part sa brillante intelligence», ironisait la vice-présidente du FN, selon qui le président du MNR ne peut même pas être utile pour la recherche des parrainages.
 
Négociations discrètes
 
Louis Aliot, le secrétaire général du FN, se montrait encore plus réticent : «Je fais une différence entre l'Union patriotique ouverte à diverses formations dont le MPF, à des personnalités et à des associations, et un accord électoral avec Mégret qui anéantirait l'Union patriotique.» Quant à Olivier Martinelli, le directeur du cabinet de Jean-Marie Le Pen, le plus ardent partisan de l'Union patriotique, il reconnaissait hier qu'il fallait «que chacun modère ses ambitions», «sinon, il n'y aura pas d'accord». Jean-Marie Le Pen a d'ailleurs estimé pour sa part que les déclarations de Bruno Mégret relevaient du «rêve».
 
La solution qui pourrait peut-être contenter les uns et les autres serait que l'accord ne comporte dans un premier temps que le soutien de Bruno Mégret à la candidature de Jean-Marie Le Pen, un arrangement pour les législatives qui laisserait un certain nombre de circonscriptions au MNR devant être négocié plus tard. Sauf que Bruno Mégret a menacé au début de l'été de se présenter à l'élection présidentielle s'il n'y avait pas auparavant d'accord sur les législatives. Les obstacles ne sont pas encore levés. Mais comme il semble bien que Jean-Marie Le Pen et Bruno Mégret soient tous les deux désireux d'aboutir, on peut penser que des négociations discrètes feront avancer les choses plus efficacement que les conditions posées pour épater la galerie.
 
Quant au reste, l'ambiance, lors de cette université d'été des élus, est à la mise en commun des énergies dans la bonne humeur affichée. Les querelles, les rancoeurs et les rivalités sont remises à plus tard. À huit mois de l'élection présidentielle, l'ensemble du FN veut se montrer tendu vers une perspective : une nouvelle progression de Jean-Marie Le Pen à l'élection présidentielle. Celui-ci caresse l'espoir d'un deuxième tour qui le verrait affronter le candidat socialiste. Le rêve inabouti de 2002 qui se réaliserait enfin.
 
Un rêve que Jean-Claude Martinez croit réalisable, si deux conditions, tout à fait plausibles selon lui, se réalisent : que Dominique de Villepin soit candidat à côté de Nicolas Sarkozy et que Laurent Fabius le soit en plus du candidat désigné par le PS. À cela s'ajoute, selon le député européen, le «contexte général», «crise des banlieues, CPE, toute une série de micro-éléments sociologiques» qui formeraient une «constellation favorable» à Jean-Marie Le Pen.
 
Source : Le Figaro.fr





Marine à la Journée des patriotes du 03 septembre 06

04/09/2006 20:11

Marine à la Journée des patriotes du 03 septembre 06


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J.M. Le Pen confiant face aux "vedettes américaines"

02/09/2006 19:48



AVIGNON (Vaucluse) (Reuters) - Jouant la force tranquille face au ballet des présidentiables, Jean-Marie Le Pen se dit convaincu de pouvoir troubler la course à l'Elysée en 2007 et d'accéder au second tour, comme en 2002.

Le président du Front national, qui a effectué sa rentrée politique vendredi lors de l'université d'été des élus FN à Avignon, mise sur le "formidable mécontentement" des Français et les divisions de ses adversaires PS et UMP.

"Les Français en ont ras-le-bol, aucun des problèmes de fond du pays n'a été réglé: immigration, délinquance, situation économique et sociale", dit Bruno Gollnisch, numéro 2 du FN, à Reuters.

"Surtout, ils ne se sentent plus maîtres de leur destin. Je suis sûr qu'ils vont essayer, cette fois, quelqu'un qui tient parole et qui n'est pas lié au système", ajoute le délégué général.

Les politologues ne croient guère pour l'instant aux chances de Jean-Marie Le Pen, qui aura 80 ans en 2007, de rééditer le "séisme" de 2002, qui l'avait vu se qualifier pour le second tour aux dépens du socialiste Lionel Jospin.

La plupart jugent que l'avance dans les sondages du président de l'UMP Nicolas Sarkozy et de Ségolène Royal ou d'un autre présidentiable socialiste ne lui laissent pas le même espace.

Mais Jean-Marie Le Pen a répété tout au long de la semaine qu'il se voyait affrontant au second tour non pas Ségolène Royal mais Lionel Jospin, qui obtiendra selon lui l'investiture du PS. Un scénario idéal pour le dirigeant d'extrême droite.

De même, la candidature de Nicolas Sarkozy sera, selon lui, plombée par un autre ténor de l'UMP, "Jacques Chirac, Dominique de Villepin ou peut-être même Alain Juppé".

"LEPENISATION DES ESPRITS"

Sarkozy et Royal "sont des vedettes américaines qui occupent le devant de la scène, puisque l'on parle de spectacle, pendant que le public n'est pas assis", a-t-il insisté sur plusieurs médias.

L'état-major du FN note également que Jean-Marie Le Pen est crédité de 13% à 15% dans les sondages, contre 8% à 9% il y a cinq ans, et huit mois avant le scrutin. Il avait ensuite progressé régulièrement.

Jean-Marie Le Pen lui-même se sent porté par une "lepénisation des esprits", selon son expression, estimant notamment que Nicolas Sarkozy crédibilise ses positions sur l'immigration. En outre, la crise au Proche-Orient joue en sa faveur, ajoute-t-il.

Autre motif de satisfaction, son rival souverainiste Philippe de Villiers, "petit sous-marin de l'UMP", ne décolle pas dans les sondages.

Enfin, sa main tendue à son ex-lieutenant "félon" Bruno Mégret - bien qu'elle tarde à se concrétiser par une "union des patriotes" en vue des législatives - renforce l'idée d'une dynamique au-delà du FN.

"Non seulement je vois Jean-Marie Le Pen au second tour, mais je pense qu'il fera mieux qu'en 2002", insiste Bruno Gollnisch.

Les 150 élus régionaux réunis jusqu'à samedi soir à Avignon doivent débattre de sujets liés à leur expérience sur le terrain, des "dérives institutionnelles de la Ve République" aux contrats de projet Etat-région, en passant par la désintégration territoriale.

Dimanche, Jean-Marie Le Pen s'adressera à ses troupes lors d'un discours à l'occasion de la fête régionale des Tricolores, dans une manade de Camargue, à Saint-Martin-de-Crau.

Source : Boursier.com






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