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L'intimidation contre les maires qui avaient parrainé Le Pen en 2002
12/09/2006 19:07
Soixante-deux pour cent des parrains de Jean-Marie Le Pen en 2002 n'y reviendront pas. Pour la plupart, leur signature a été trop lourde de conséquences tant sur un plan personnel que professionnel. [...]
Des menaces personnelles C'est la première raison invoquée par les élus pour expliquer leur refus. Ils sont 21 à évoquer cette raison. Intimidations verbales, agressions physiques, jusqu'à des menaces de mort pour un maire de Seine-et-Marne, les représailles ont été nombreuses depuis que leur nom a été associé au FN. « Le feu de hangar deux jours après la parution du nom des parrains dans l'Est républicain, vous croyez que c'est un hasard ? Moi, non. Je n'ai pas choisi qui je parrainerai pour 2007, mais certainement pas Le Pen », assure Jean-René Gillot, maire de Vy-lès-Filain (Haute-Saône). « On a menacé de brûler ma ferme », raconte aussi Michel Petitcolas, maire d'Houdreville (Meurthe-et-Moselle). [...]
Des représailles sur la commune « Les subventions sont bloquées depuis cinq ans. Alors cette fois, Le Pen, c'est non, assure Ernest Van Elsen, maire de Noyers-Auzécourt (Meuse). C'est trop mal vu. » Jean-Guy Naury, le maire de Montbavin (Aisne), décrit un climat délétère avec ses voisins de la communauté des communes. « Les élus ont exercé des pressions extrêmes et menacé de ne plus verser de subventions. [...] »
Source : Le Parisien du 11/09/06
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La démission de Bordeaux, illégale ?
11/09/2006 20:51
8 septembre 2006
Le conseil municipal de Bordeaux a démissionné afin d'organiser le retour d'Alain Juppé. Yves Daoudal rapporte que cette décision est illégale :
"La majorité du conseil municipal de Bordeaux a démissionné le 28 août, rendant ainsi nécessaire l’organisation d’élections anticipées, et les médias ont annoncé cela comme s’il s’agissait du jeu normal de la démocratie. Or le but est uniquement de permettre à Alain Juppé de retrouver immédiatement son fauteuil de maire, sans attendre les élections municipales qui auront lieu en 2008. [...]
Jacques Colombier, chef de file du FN à Bordeaux et conseiller municipal, a introduit un recours pour excès de pouvoir auprès du tribunal administratif. Car le procédé est "non seulement immoral politiquement, il est illégal juridiquement". Le recours vise l’arrêté préfectoral, qui a fixé les dates des 8 et 15 octobre, et rend par conséquent les élections effectives. Or, souligne Jacques Colombier, "la loi dit que la démission d’un tiers du conseil municipal provoque une nouvelle élection, en cas de paralysie de la gestion municipale, en raison de dysfonctionnements, de défiance de la majorité, d’empêchement du maire de gérer sa commune, pour des raisons d’éloignement par exemple". Or aucun de ces cas ne correspond à la situation bordelaise.
Hier, le tribunal administratif a indiqué que le recours de Jacques Colombier était recevable, et qu’il passerait en audience le 26 septembre. C’est une importante victoire du Front national, et grâce au Front national une victoire de la morale politique."
source : chrétienté.info
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Communiqué de J.M. Le Pen du 8 sept 2006
11/09/2006 20:09
Date : vendredi 08 septembre 2006
Nicolas Sarkozy veut faire pire que la Constitution européenne : il propose un « mini-traité » qui ferait « sauter le verrou » du vote à l’unanimité au conseil européen. Même dans le projet de Constitution rejeté par les Français, il restait des domaines où le vote requérait l’unanimité, où les nations avaient donc le droit de veto, dernier vestige de leur souveraineté.
Munie d’un président stable, d’un ministre des Affaires étrangères, et d’un système de vote majoritaire, l’Union européenne de Nicolas Sarkozy n’a pas besoin d’un président de la République française.
Si le ministre de l’Intérieur postule au titre de gouverneur d’une province de l’Euroland, qu’il le dise clairement, et qu’il laisse libre le champ de la campagne présidentielle à ceux qui souhaitent s’occuper de l’avenir d’une France digne de son histoire. Car aucun chef d’Etat n’a le droit de spolier les générations futures de leur héritage, dont la souveraineté est le bien le plus précieux.
Les Français garderont le droit de dire non. Y compris à Sarkozy.
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