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Ségolène et la démocratie...
07/11/2006 08:25
Interrogée sur le risque que Jean-Marie Le Pen n’ait pas les 500 parrainages nécessaires à sa candidature, Ségolène Royal a répondu : « Ça ne me regarde pas ».
Cela regarde pourtant la démocratie, que l’un des deux candidats du second tour de la précédente élection présidentielle risque de ne pas pouvoir se présenter en raison d’une formalité administrative qui ne devrait pas le concerner.
La candidate à la candidature socialiste a ajouté que l’enjeu est de « faire en sorte que tous les Français se sentent partie prenante de la nation, que la crédibilité de l’action politique soit à nouveau installée pour des catégories qui se sentent abandonnées ».
La seule solution pour restaurer la crédibilité de l’action politique est que toutes les opinions puissent s’exprimer, que tous les candidats sérieux puissent se mesurer loyalement devant les électeurs, et que toutes les formations soient représentées dans les instances représentatives. Cela s’appelle la démocratie.
On n’ose penser que Ségolène Royal ait voulu dire que la démocratie, ça ne la regarde pas.
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Lettre au Président de la République
05/11/2006 12:07
La vérité en marche Par Emile Zona (autochtone européen ) Seconde lettre au Président de la République
Monsieur le Président,
Il y a un an, je vous adressais, par le biais d’Internet, une lettre qui fit le tour des sites de notre beau pays et de ses belles régions. Intitulée « Je m’accuse », elle faisait écho à l’état du pays, à l’aveuglement des politiques et au doux sentiment des autochtones d’être moins égaux que les autres dans leur propre contrée. Un an après, je reprends ma plume car, Monsieur le Président, rien n’a changé !
Avant-hier, au cœur d’une cité, on commémorait la mort, regrettable s’il en est, de 2 « jeunes » qui fuyant la police décédèrent accidentellement dans un transformateur. Cet évènement avait mis alors le feu à toute une communauté. Chanteurs rappés et élus se sont ainsi retrouvés pour leur rendre hommage. et une stèle leur était dédiée comme on dédiait, dans la République d’autrefois, des statues aux grands hommes. Mais là, à ce moment personne ne pensa aux « français innocents » assassinés durant ces mêmes émeutes, aux policiers harcelés par des jeteurs de pierres, aux honnêtes citoyens pris en otage dans leur propre quartier.
Tout cela, Monsieur le Président, parce que cette République reste aveugle et impuissante, prisonnière des idées des Lumières, emmurée dans les pavés idéologiques de 1968. Personne non plus pour réclamer au Ministre de l’Intérieur qu’il fasse un peu le ménage dans ce que la nouvelle langue de bois a choisi de dénommer les “quartiers sensibles” comme il s’y était, à vos côtés, engagé. On utilise toujours plus d’extincteurs que de karchers … Les promesses n’engagent vraiment que ceux qui les reçoivent…
Quant à vous, n’entendez-vous pas la révolte qui gronde ? Monsieur le Président, les Français vous appellent, mais reste-t-il un abonné au numéro demandé. L’autre injustice flagrante, que ressent la jeunesse, est celle de se sentir vraiment discriminée. Je parle, Monsieur, de la Jeunesse de France, alsacienne, bretonne, niçoise, corse, occitane, de celles des régions de feu notre beau pays.
A en écouter certains, la vie ne serait difficile que dans les quartiers chauds. Ce simple fait légitimerait tout et même n’importe quoi ! Voilà pourquoi là-bas, certains jeunes font des voitures de sordides autodafés. Monsieur le Président, j’ai dans ma poche un briquet, celui avec lequel j’allume mes dernières cigarettes, celles du condamné ? Devrais-je à leur façon, l’utiliser autrement pour que vous m’écoutiez ?
La situation de l’emploi est pour nous autres autochtones, tout aussi difficile. N’en déplaise à ceux qui se disent « indigènes ». Ne parlons pas, non plus du logement, de la vie simplement. Pourtant nous n’avons ni grosses cylindrées, ni bijoux dorés, nous ne réclamons ni concerts gratuits, ni subventions supplémentaires mais simplement, décemment, le droit de vivre dans nos régions et pays. Quant au feu qui nous habite, il ne fait pas encore de nous des pyromanes.
Pour s’en sortir, certains d’entre nous ont créé des entreprises et là, belle surprise, le racket fiscal attend au coin de la rue. L’argent difficilement gagné repart ainsi vers les banlieues et l’impôt perçu part payer la casse. De cet état de fait, la jeunesse n’en veut plus. D’être discriminée pour être enracinée ici, elle paye le tribu alors que pour d’autres tout semble dû.
Monsieur le Président, je n’ai à me faire pardonner que d’être de ma région, Français autant qu’Européen, pourquoi ai-je l’impression d’être moins concerné par l’« Egalité » dont vous affirmez être le héraut? Tolérance, repentance, humiliation … La jeunesse n’en peut plus. C’est cette vérité qui avance aujourd’hui, une vérité que ni vous, ni ceux qui lorgnent votre place ne semblent vouloir entendre. Pourtant, Monsieur le Président, la vérité est en marche.
Je m’accuse toujours d’avoir cru aux discours « prometteurs » et vous Monsieur le Président, toujours rien à me dire ?
Emile Zona.
Source :site de jacques Vassieux http://jacques.vassieux.free.fr/modules/news/article.php?storyid=129
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L'alternative Le Pen
05/11/2006 11:51
Après L’Express et Le Parisien, c’est au tour de VSD et du Point de consacrer leur Une et un dossier au candidat Le Pen. Les deux hebdomadaires pointent à leur tour des sondages qui n’ont jamais placé si haut le président du FN à cinq mois d’une présidentielle. Le Point brosse un bref portrait de quelques figures emblématiques de « la galaxie Le Pen », et s’attarde sur la tranquille assurance d’un Jean-Marie Le Pen bien décidé à remporter la mère des batailles face « aux candidats d’un système » dont il constate que « le seul objectif est de survivre ». Jean-Marie Le Pen qui est conforté par une situation qui justifie ses analyses et ses avertissements, et qui se donne les moyens de gagner, est-il encore implicitement indiqué, avec l’annonce de la mise en place des Commissions d’action présidentielle (CAP) chargées de chiffrer et de décliner les propositions du programme. Des CAP placées sous la houlette de Thibaut de La Tocnaye qui confie : « nous voulons faire comprendre que nous avons un message dans le domaine social et économique : ce sera un programme de droite mais qui répond à des préoccupations de gauche ». A noter que Le Point évoque, témoignages à l’appui, « ces immigrés qui votent Le Pen », une réalité déjà ancienne…
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Source : Site du FN
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