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Créé le : 03/08/2006 16:39
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Sarkosy empêche la police de travailler

05/11/2006 11:44



Quand Sarkozy empêche la police
de faire son travail " pour ne pas faire de vagues " !

Une enquête sur un trafic de drogue devait donner lieu à une perquisition au domicile d'un dealer d'héroïne. Las, les gendarmes de Grenoble n'ont pas pu perquisitionner au domicile d'un trafiquant d'héroïne à Roubaix pour ne pas réveiller les cités sensibles à quelques jours seulement de la date anniversaire des émeutes dans les banlieues, le 27 octobre 2005. Sans doute pour ne pas risquer de déclencher de nouvelles violences urbaines.
Le 21 octobre, à Roubaix, la rue des Parvenus devenait une zone interdite aux officiers de police judiciaire sur ordre du préfet du Nord. Une zone où aucune opération de police n'était autorisée pour ne pas troubler l'ordre public.
Surtout ne pas intervenir dans ce quartier jugé sensible. Ces ordres, comme en atteste le procès-verbal dressé par les gendarmes de Grenoble, étaient clairs, ils ne leur ont pas permis d'aller plus loin.
L'enquête a été stoppée net.

Rappelons qu'un préfet obéit aux ordres du ministre de l'Intérieur.

Ce non-événement est à rapprocher de ce qui s'est passé à Savigny-le-Temple (Seine-et-Marne), le vendredi 28 octobre
Le patron des policiers de la Seine-et-Marne, Jean-Claude Menault, a relâché 70 personnes soupçonnées d'avoir participé à des affrontements armés entre bandes à Savigny-le-Temple et dégradé une quinzaine de voitures ! Trois personnes ont également été blessées par arme blanche au cours de ces événements ! Leurs armes : pistolets à balles en caoutchouc, flash-balls, sabres, battes de base-ball. La police les arrête puis les relâche : c'est comme ça que ses chefs croient rétablir l'ordre, en se couchant systématiquement devant les voyous pour acheter la paix sociale. C'est à cette aune qu'on doit mesurer la véritable politique de Nicolas SARKOZY…

Que peut-on en penser ?

Cette affaire trouble la police, les gendarmes et les magistrats.Ces derniers ont le sentiment d'être confrontés à un double langage de la part de Sarkozy.
Le candidat UMP à la présidentielle clame haut et fort que la lutte contre la délinquance est sa priorité. Mais dans le même temps, le ministre de l'Intérieur donne des consignes discrètes pour ne pas faire de vagues dans les cités.

Nous avons ici la preuve que Sarkozy est près à toutes les rodomontades, à toutes les manoeuvres possibles pour arriver à l'Elysée.
Il dira tout et son contraire ! Il fera tout et son contraire !


La méthode de Nicolas Sarkozy

Premier temps : il provoque les jeunes des cités (" racailles, karcher ") pour créer un climat de tension et d'émeutes. Ensuite il brasse du vent et s'agite beaucoup en clamant qu'on va voir ce qu'on va voir, que les mineurs qui brûlent des bus doivent être punis comme des majeurs. A ce nmoment, les français doivent se dire "Enfin un homme à poigne !"

MAIS...

Deuxième temps : il calme le jeu. En empêchant les forces de l'ordre d'agir là où pourtant elles seraient efficace, il montre à tous les jeunes délinquants des banlieues qu'il est près à faire des "gestes". Il fait passer le message : "Calmez-vous et je me calme, si vous exagérez, je recommence !". Espérant probablement un retour au calme à peu de frais. Le jour où il quittera le ministère de l'Intérieur, il pourra dire "Vous voyez, j'ai ramené le calme dans les banlieues !".

Le problème, c'est que c'est lui qui a créé ces désordres en octobre 2005. Désordres dont nous ne pouvons pas encore voir toutes les conséquences. A l'heure actuelle, les voyous des banlieues semblent vouloir instaurer un état de crise permanente en fêtant à leur manière l'anniversaire des émeutes de fin 2005 !

Et ce n'est pas en obtenant une paix sociale de quelques semaines que cela changera quoi que ce soit aux fléaux qui s'abattent sur notre pays et sa population.

Non vraiment, dites-le autour de vous, Sarkozy est un petit politicien qui utilise les moyens que lui donne l'Etat et un poste de ministre pour créer une situation insupportable pour tous les habitants des banlieues et au-delà, pour tous les Français !
Et dans le seul but de faire sa promotion personnelle pour se faire élire en 2007 !

Si vous connaissez des futurs électeurs de Sarkozy, expliquez-leur !
Dites-leur pourquoi notre pays court à la catastrophe avec un tel homme à sa tête !

source : http://www.fn06.net/ns_nopolice.html

 






Sur les prisons, la répression et l'immigration

03/11/2006 10:39



Marine Le Pen, estimant que «ça fait 30 ans qu’on aurait dû créer 100 000 places de prison», comme l’avait demandé Jean-Marie Le Pen en 2002, a déclaré mardi sur RFI qu’«il va falloir avoir une grande réflexion sur la prison pour différencier les types de prisons» et qu’«il va falloir créer des structures différentes en fonction des délits et de la situation es personnes qu’on entend mettre dedans». En matière de répression,

"c’est quand même marrant de voir que ce gouvernement considère que la répression fonctionne très bien sur les automobilistes, que la répression fonctionne très bien sur ceux qui fraudent le fisc, mais que la répression ne fonctionnerait pas sur les criminels".

Pour ce qui est de l’immigration-invasion la vice-présidente du FN a affirmé qu’

"il faut aussi couper les pompes aspirantes d’une immigration anarchique, massive, qui contribue à générer le terreau de la violence, des difficultés sociales et du chômage".








Parrainages : la nouvelle configuration

03/11/2006 10:34



Les parrainages datent de l'instauration de l'élection du président de la République au suffrage universel. Référendum d'octobre 1962 et loi organique du 6 novembre de la même année. Il s'agissait alors, de prévenir les candidatures fantaisistes par un filtrage : pour être admis à participer au premier tour, un candidat devait avoir la signature d'au moins 100 élus. Une formule qui résista à trois élections, pour être ensuite révisée.

La multiplication des postulants posant des problèmes d'organisation, le Conseil constitutionnel décida de proposer un filtrage plus strict. Une loi fut votée en juin 1976. Et c'est depuis cette date qu'il faut, pour être candidat, 500 signatures émanant d'au moins 30 départements ou territoires d'outre-mer, sans que plus du dixième de ces signatures, soit 50, proviennent d'un même département, les Français de l'étranger constituant, eux-même, un département fictif.

Résultat : en utilisant une règle à calcul, on comprendra que 43 000 élus peuvent aujourd'hui offrir une signature. Ce qui nous donne un maximum théorique de 86 candidats possibles dans la pire des configurations, c'est-à-dire, 500 signatures chacun, ce qui n'est jamais arrivé. En 2002, ils étaient 16 à franchir l'obstacle. Pour 2007, ils sont déjà 35 à prétendre au poste suprême, mais tous ne sont pas assurés de participer, même si le Conseil constitutionnel vient de prendre une décision qui devrait faciliter les choses pour certains d'entre eux. En effet, la liste des noms des élus signataires ne sera plus intégralement publiée comme c'était l'usage depuis 1988.

Retour au texte de loi. Seuls les 500 parrainages nécessaires le seront après tirage au sort, ce qui forcément, redonne un peu d'oxygène aux petits candidats et tout particulièrement à ceux qui ont du mal parce que la publicité autour de leur nom a un effet dissuasif, nous voulons parler de Jean-Marie Le Pen qui s'était plaint d'être empêché par le président de l'UMP, lequel aurait donné, selon lui, des consignes à ses élus afin de réduire le choix à droite.

L'application stricte du texte, l'abandon de l'usage en vigueur depuis 1988, a donc également un avantage pour le gouvernement. C'est qu'il gomme cette accusation, même si le jeu du tirage au sort pour être couché ou non sur la liste des parrainages publiés, ressemble à s'y méprendre à une sorte de roulette russe pour tous ceux qui signeront pour Jean-Marie Le Pen ou Philippe de Villiers avec l'espoir que leur geste reste secret.

Bien évidemment cela enlève de la transparence à notre organisation politique, mais nous pouvons nous demander si un parti qui a obtenu 17% des voix en 2002, et qui participe au débat démocratique, peut-être exclu sans péril de l'élection présidentielle. Pour Jean-Marie Le Pen, et pour d'autres, la réponse est non.
Source : RFI.fr





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