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2007, rien n'est joué
24/10/2006 17:49
L’émission « C dans l’air » sur France 5 était consacrée lundi aux « perturbateurs de la présidentielle 2007 » dont « le scénario est loin d’être écrit ». Roland Cayrol, de l’institut CSA, a prévenu que « plus de la moitié des Français n’ont pas fait leur choix », et que beaucoup des sondés sont exaspérés par l’omniprésence de Nicolas Sarkozy et de Ségolène Royal qui sont imposés comme les candidats du second tour. Un sujet a été consacré à Jean-Marie Le Pen, dont la candidature, en tant que « perturbateur en chef », a été la plus longuement commentée, reportage mettant l’accent sur la volonté du Mouvement national de se doter d’un programme crédible pour apparaître « comme un parti de proposition et pas uniquement de protestation ». Interrogé depuis ses bureaux de Montretout, le porte-parole de la France française a donné sa définition du Français : « un Français c’est un citoyen de la République française qui a la conscience d’être dans un pays qui lui appartient, qu’il doit transmettre et pour lequel il doit être prêt à tous les sacrifices ». Interrogé sur son changement d’image, plus apaisée, le président du Front National a affirmé qu’il n’avait pas changé : « je cours moins vite mais je cours plus longtemps et je frappe toujours aussi fort ! ». Depuis le siège national de Saint-Cloud, Martial Bild, Délégué général adjoint du FN, a rappelé, entouré par les militants bénévoles, que la droite nationale était en campagne depuis six mois : « On avance, on convainc pendant que les autres se chamaillent » ; « la tortue FN » qui, « comme dans la fable de La Fontaine », coiffera au poteau les lièvres de l’Etablissement. « Nous sommes des paysans de la politique, on trace notre sillon et on essaye de faire en sorte que notre sillon soit droit, et on accroche notre charrue aux étoiles ! », a renchéri Marine Le Pen, directrice stratégique de la campagne.
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Imposture anti-nationale
24/10/2006 17:46
Conseiller Régional Front National de Provence-Alpes-Côte d’Azur, Stéphane Durbec a réagi le 17 octobre à la désignation de l’exécutif de PACA par les neuf Etats membres de l’Union Européenne bordant la Méditerranée, pour assurer jusqu’en 2013 la gestion des crédits européens destinés à financer la coopération entre les régions méditerranéennes. Or, a relevé l’élu frontiste, « les fonds structurels » sont « une imposture économique » pour les régions françaises puisque notre pays, deuxième contributeur au budget européen, reçoit de moins en moins de Bruxelles, 8 % aujourd’hui contre 10,2 % en 1989. Cet argent distribué n’est pas celui de Bruxelles, mais celui des contribuables français ! » Et ces fonds structurels servent une idéologie contraire aux intérêts de la France : « l’euro-régionalisme », visant à « dissoudre encore un peu plus les souverainetés nationales ». « Le Front national est le seul à promouvoir une politique de rupture complète avec cette Europe de Bruxelles et propose les seules solutions de bon sens et de courage capables de redresser la situation et de répondre aux attentes des Français », note encore Stéphane Durbec.
Source : site du FN
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Défense de l'identité de la France
24/10/2006 17:36
Défendre l’identité de la France, ses valeurs et ses principes valait encore peu l’anathème, la diabolisation, l’accusation d’être à la solde du Front national! Or, depuis peu, on ne compte pas le nombre d’éditorialistes qui se sont appropriés cette thématique, sans parler des principaux leaders politiques! Qui ne s’inquiète plus de la mise en liquidation de la République et de la dissolution de la France? Honnie hier, cette thématique est aujourd’hui chérie! Comment l’expliquer?
Dernier éditorial en date du 6 octobre intitulé ‘’Hommage à la catin’’, publié sur le site du quotidien Le Figaro, qui abonde dans ce sens :
" On doit à la démocratie d’opinion d’avoir fait redécouvrir la nation aux politiques, qui en étaient à louer l’Europe sans frontières ni passé. Depuis le 29 mai 2005, Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal ne jurent plus que par elle. Aussi est-il déconcertant que les deux candidats, apparemment les plus à l’écoute des citoyens, n’aient pas eu un mot pour dénoncer, avec l’affaire Redeker, l’offensive contre l’esprit français et ses insolences. À quoi bon en appeler à la patrie, si c’est pour se montrer indifférent à sa culture ?
Les Français sont davantage attachés à la préservation de leur identité que nombre de leurs dirigeants, disposés à laisser filer certains fondamentaux de la République pour tenter de calmer des nouveaux venus refusant de se fondre. Ce rappel implicite aux racines judéo-chrétiennes, qui n’interdit pas l’ouverture aux autres, est un acte de survie. Or, se laisse voir chez les candidats une gêne à défendre un héritage dont Voltaire n’est pas le moindre. Toujours ces cadeaux au Front national.’’
Sans oublier un récent discours de Nicolas Sarkozy très centré sur la défense de la nation et de la République, aux accents gaulliens, ni les approches à pas prudents mais bien réels de Ségolène Royal. Bref, tout le monde s’y met !
Incroyable, comment cette idée se répand maintenant, combien on la trouve dans les éditoriaux qui la passaient sous silence auparavant. Pourtant, elle relevait il y a encore peu du "politiquement incorrect".
Honnie hier, cette thématique est aujourd’hui chérie par tous.
Pourquoi avoir attendu si longtemps ?
Est-ce la réalité qui rattrape les esprits ? Faut-il l’attribuer à un réflexe de survie face à UNE menace plus palpable ?
En ce qui me concerne, j’attire l’attention, j’alerte même sur ce délaissement depuis 200& ; Et je parle bien de "délaissement", autrement dit un vide qui a profité au Front national. Cependant, à l’époque, au mieux je passais pour un dangereux déséquilibré psychologique, au pire - mais c’est une tradition dans le débat en France, pourtant patrie du siècle des Lumières, donc de la libre pensée - pour un fasciste.
Défendre l’identité de son pays, le respect de ses valeurs et de ses principes : la France est le seul pays au monde où cette posture vous vaut d’être insulté, ostracisé, et condamné sans appel par la bien-pensance à l’œuvre dans notre pays. C’est une inquisition qui ne porte pas son nom mais qui n’en est pas moins terrifiante. Heureusement que le bûcher n’existe plus !
En ce domaine, la France marche sur la tête. Quand se décidera-t-elle à renouer un minimum avec la Raison, loin de la folie, à honorer ses grands esprits et donc à ne plus insulter son histoire ? Mais il y a de quoi être sceptique, car les métastases sont nombreuses. Le mal est profond et bien enraciné. Et je ne vois toujours pas de remèdes ni de médecins à la hauteur de la situation, d’autant qu’en la matière, nos responsables naviguent entre résignation et lâcheté. Il y a longtemps que le courage les a quittés sur ces sujets.
La France a perdu (vendu ?) son âme. Ce qui faisait rêver le monde s’éteint doucement mais sûrement. La flamme vacille ! Ce n’est pas être réactionnaire ni faire preuve d’un patriotisme aveugle ou encore d’un ethnocentrisme arrogant, comme aiment à le dire les adeptes de la bien-pensance, et j’en passe. Il suffit de voyager, de rencontrer des personnes aux quatre coins du notre chère planète, qui ont visité notre magnifique pays, pour se rendre compte que l’image sublimée de la France jaunit. La déception est sur les visages. Ou il suffit tout simplement de discuter avec nos chers compatriotes installés hors de l’hexagone : l’amertume est tangible, ce n’est pas un produit de l’imagination.
L’identité de la France s’est altérée, et à une vitesse, il y a dix ans encore, inimaginable. Par identité, il faut entendre une matrice de valeurs, de principes mais aussi une culture fruit d’un héritage historique, social et religieux multiséculaire, ainsi qu’un art de vivre spécifique. Pourquoi serait-il honteux de dénoncer cette perte d’identité ? De s’en inquiéter ? Quand une personnalité souffre de troubles, subit une altération de son individualité, le (premier) réflexe n’est-il pas de la soigner, d’atténuer sa souffrance et de l’aider à se retrouver ? Pourquoi en irait-il autrement pour les pays ? En l’occurrence pour la France ? En quoi agir de la sorte serait-il scandaleux ? En effet, la richesse de notre civilisation n’est-elle pas sa diversité ? Donc, affirmer l’identité de chaque pays, c’est résister au rouleau compresseur de l’uniformisation, appelée aussi standardisation, car ce n’est pas la vocation de ce monde à l’essence plurielle. C’est donc préserver cette richesse de culture, de tradition, d’arts, etc., qui donne toute la saveur au voyage !
Encore faut-il formuler le bon diagnostic et prescrire les bons remèdes. Etablir le bon diagnostic exige du courage, reconnaître les faits tels qu’ils sont et non tels qu’on voudrait qu’ils fussent, une ouverture d’esprit, soit ne pas le réduire à sa plus simple expression, soit à un problème d’immigration, de religion et de race, comme beaucoup le font sans scrupule et à des seules fins démagogiques, donc électorales. En effet, quand on parle d’identité, beaucoup voient rouge car ils soupçonnent illico une mise en cause déguisée de l’islam, de la communauté musulmane par exemple. En raison d’une prétendue incompatibilité ! Or, il est important de rappeler que les débordements sont le fait d’une ultraminorité, dont seul l’écho dans le monde médiatique amplifie le phénomène. La vaste majorité ne pose aucun souci, d’où une approche simplificatrice. C’est bien souvent un faux procès qui aboutit à cacher à la fois la couardise de nos responsables politiques, l’échec de leur politique dite d’intégration, et leur manque d’idées neuves face à une situation en constante dégradation et qui leur échappe.
C’est, en effet, faire l’impasse sur une acculturation à l’œuvre de plus grande ampleur, de longue date et aux effets bien réels : l’américanisation de notre mode de vie. Américanisation qui intervient dans tous les domaines : alimentation (fast-food justement renommée malbouffe, et son corollaire l’obésité), cinéma (les productions outre-Atlantique règnent en maîtres au box-office), la langue (intrusion croissante de mots anglais), la télévision (invasion des séries sans compter la déferlante de la télé-réalité), la ségrégation spatiale (création de ghettos) et son pendant ethnique (communautarisation), l’insécurité (violence gratuite en hausse et affrontement des gangs), etc. Etonnant de voir comment ce phénomène ne prête plus à discussion, alors qu’il participe à cette confusion identitaire, voire à la destruction partielle de l’identité.
Pour bien aborder ce défi nouveau, il faut, d’une part, ne plus se mentir ou se voiler la face sur une réalité sans rapport avec une époque qui n’existe plus et qu’il est vain de vouloir réanimer. C’est aussi inutile que de s’acharner à faire revivre un cadavre. D’autre part, il faut traiter de ce sujet en termes de vision, de volonté, d’engagement et d’attachement. Donc, il concerne chacun de nous.
On ne dénonce pas par plaisir, contrairement à ce qu’on entend. On ne joue pas les cassandres par plaisir. Cette inquiétude est le fruit d’un attachement réel à la France, la traduction d’un amour vrai pour notre pays. Assister à cette lente décomposition blesse. Pourtant, la fatalité n’existe pas. Mais si chacun avait assumé ses responsabilités et avait agi en conséquence, la France aurait pu se relever. Cela n’a pas été le cas.
Maintenant, la France ressemble à un bateau ivre ou fantôme. La dérive se poursuit. Jusqu’où ? C’est dommage, car le point de non-retour n’a pas été atteint. L’iceberg est en vue, indiscutablement, mais encore évitable à condition d’enclencher la manœuvre idoine pour se hisser à la hauteur de l’enjeu. L’espoir est donc encore présent. Mais pour combien de temps ? Car les signaux positifs de nos responsables politiques se font rares, en dépit de violents coups de semonce qui fragilisent notre démocratie, ce qui n’est pas sans rappeler un passé proche. C’est toute la tragédie de ce pays. Un pays légal complètement déconnecté de son pays réel, pourtant, aux énergies formidables et fort d’atouts uniques, mais livré à lui-même.
Mais le temps presse. L’iceberg se rapproche. Camus écrivait : "L’homme est responsable de ce qu’il est." Il en va de même pour notre pays. A la France de choisir ce qu’elle veut être, demain. Autrement dit, de choisir son destin. Mais ensuite, qu’elle ne se plaigne pas, qu’elle n’accuse pas un tiers, qu’elle n’invoque je ne sais quelle excuse comme à son habitude. Elle aura décidé, et la route sera tracée : soit droit dans l’iceberg, et ce sera la fin d’une histoire, soit à côté, et le génie français perdurera.
La France peut encore choisir mais... vite, car les compas s’affolent.
Source : AgoraVox
Mes commentaires :
C'est sûr que tout le monde parle de la nation, mais le FN en parle depuis plus longtemps que d'autres, lesquels, font semblant de se réveiller sur les grands principes alors qu'ils les avaient honnis pendant des décénies. C'est un signe purement électoral car l'on sait que gauche comme droite sont POUR le traité de la constitution européenne qui, après celui de Maastrich et des autres traités, signifie la dissolution de la France, en tant que Nation souveraine.
Seul le FN, et à sa tête J.M. Le Pen défend la nation souveraine et la construction d'une europe des nations et non d'une europe fédéraliste à la botte des Etats-Unis.
Le vrai successeur de De Gaulle, c'est bien J.M. Le Pen pour l'amour de la patrie et les propositions qui vont avec.
Car que dire, des propos de Sarkosy comparés à ses actes ? Ils sont à l'antipode. M. Sarkosy fait des effets d'annonce, mais que FAIT-il ? Que prône-t-il ? Hé bien, justement, une France sans âme, multi-ethnique, multiculturelle, avec en filigrane :
- le financement public des mosquées (et donc par le contribuable)
- le vote des immigrés et même des étrangers aux élections locales
- la reconnaissance par l'Etat de toutes les minorités et communautés même si cela déséquilibre l'ordre national et ses valeurs.
- L'immigration choisie qui est une immigration supplémentaire
- Le relogement des clandestins dans des hôtels payés par l'Etat...
J'en passe et des meilleures.
Ils semble donc que le constat soit le même mais pas les remèdes. Ces décisions là ne sont pas des remèdes à la protection de l'identité de la France et de la nation française ou de la République.
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