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Compte-rendu du colloque sur l'automobile
05/10/2006 21:25
JEAN-MARIE LE PEN ET LE FRONT NATIONAL SE PENCHENT SUR LES PROBLEMES DE L'AUTOMOBILE
A l'occasion de l'Ouverture du Mondial de l'Automobile, le Conseil Scientifique du Front National a organisé ce 30 septembre, à l'initiative de Bruno Gollnisch, un colloque sur le thème « Quel avenir pour l'Automobile », qui a réuni environ deux cents participants Porte de Versailles. Diverses actions de communication, notamment dans le cadre de la campagne présidentielle ont été annoncées à l'issue de ce colloque, conclu par Jean-Marie Le Pen.
Sont intervenus les personnalités suivantes :
- Serge Laroze, Ingénieur de l'Aéronautique et Professeur à l'école Supérieure d'Aéronautique, a brossé un historique rapide des moyens de transports, jusqu'au véhicule personnel, sa démocratisation et sa diversification.
- Joëlle Melin, docteur en médecine, a étudié le contenu symbolique et l'influence de la voiture sur les comportements individuels et collectifs.
- Hugues Petit, Maître de Conférence à la Faculté de Droit de l'Université de Grenoble, a démontré que derrière le discours officiel et les politiques de restriction de l'automobile se cachait une idéologie socialiste par essence collectiviste et donc foncièrement hostile à l'automobile instrument de liberté.
- Martial Bild, Directeur du magazine Français d'Abord, Conseiller Régional de Paris a décrit l'autophobie paroxystique des municipalités de Paris et Lyon, dont le but n'est pas d'offrir plus de transports en commun aux Parisiens et aux Lyonnais, mais de chasser les automobilistes de ces villes, avec des résultats désastreux en termes économiques, sociaux, et même environnementaux.
- Marine Le Pen, Député européen, présidente du groupe FN au Conseil régional Ile de France, a dénoncé l'hypocrisie des Verts en démontrant que, loin de s'attaquer à ceux qui retardent les investissements dans les biocarburants, ce parti a focalisé sa haine sur les automobilistes, sans aucune logique vraiment écologique.
- Francis Rongier, fondateur du mouvement « Auto Défense », Délégué Général du club « Défense Permis », a démontré exemples à l'appui que le principal outil de répression des automobilistes, le permis à points, donnait lieu à de formidables injustices.
- Bruno Gollnisch, docteur en Droit, Député européen, reprenant les analyses des juges Gaillot et de Maillard, a brossé le tableau des dénis de droit et des abus administratifs auxquels la répression routière donnait lieu, jugés illégaux par le Médiateur de la République lui-même et contraires à la Convention Européenne des droits de l'Homme, sans remise en cause par les autorités.
- Eric Pinel, ancien député européen, Président de France Ecologie Environnement, a évoqué les problèmes écologiques posés par l'automobile et analysé les avantages et les inconvénients des biocarburants.
- Thibaut de La Tocnaye, Ingénieur Centralien et Chef d'entreprise, a brossé le tableau du poids économique du secteur de l'automobile, fleuron aujourd'hui menacé de l'industrie française.
- Monique Dacharry, Professeur émérite des Université, spécialiste de géographie des transports, a rappelé que l'automobile était un moyen de transport indispensable, car complémentaire en réalité de tous les autres.
- André Pertuzio, Consultant pétrolier international a expliqué que les ressources pétrolières étaient loin d'être épuisées, même si leurs coûts d'exploitation étaient appelés à augmenter et prédit que la fin de l'utilisation des hydrocarbures ne serait pas tant due à l'épuisement des ressources qu'aux évolutions technologiques.
- Jean-Marie Cordes, Ingénieur des Arts et Métiers, responsable des formations « moteurs » à l'Ecole Nationale Supérieure du Pétrole et des Moteurs (ENSPM), après avoir souligné les formidables progrès déjà réalisés par les industries automobiles et pétrolières, a fait un tour d'horizon des technologies qui permettront, dans un avenir plus ou moins lointain, de rouler plus propre en consommant moins, voire plus du tout, de pétrole.
Jean-Marie LE PEN a clôturé ce colloque en rappelant son attachement à la liberté, dont l'automobile est à la fois un symbole et un instrument. Il a appelé à un soutien public de la recherche de nouveaux carburants, de nouvelles motorisations, d'amélioration de la qualité des infrastructures routières et de la sécurité des véhicules, et à de réelles politiques de transports au service du public. Il a réclamé la fin de la persécution fiscale et pseudo-sécuritaire des automobilistes par un Etat en pleine déliquescence, impuissant à faire respecter l'ordre et la loi sur des parties entières du territoire. Compte- rendu
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Ségolène royale dépouille les valeurs de la France
03/10/2006 17:59
Ségolène Royal ne sait pas ce qu'elle dit et finit donc par se contredire. Elle veut tellement, comme d'autres, jouer sur les terres du FN, qu'elle cumule paradoxes et racolages en tout genre. Jugez plutôt :
Vendredi, son premier grand discours de campagne prononcé à Vitrolles, ville reconquise par le PS en 2002 après quatre années de gestion par les époux Mégret, a été rythmé par le mot "nation", qu'elle ne veut ni "frileuse" ni "apeurée" mais porteuse d'un "projet collectif et solidaire" et d'un "devoir d'invention".
"Quand on demande aux Français ce qui pour eux symbolise la France ce qui vient en premier ce ne sont ni les frontières, ni la langue, c'est le drapeau tricolore et la sécurité sociale, c'est-à-dire l'emblème de la République et les outils de la solidarité. Voilà ce qui cimente en premier lieu l'appartenance commune!", a-t-elle lancé aux 2.000 militants venus l'écouter se lancer dans la course à l'investiture.
Extrait de Boursier.com
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Qu'est-ce que la nation sinon un pays avec des frontières et une langue, Mme Royal ?!
Que représente le drapeau tricolore sinon ? Que signifie la République si elle n'est pas française ?
Ce n'est pas parce que les Français jugent importante la sécurité sociale, que la France ne se réduit qu'à cet outil (crée par de Gaulle, d'ailleurs...)
Sinon, l'on se demande quelle est cette "appartenance commune" que vous réservez aux Français ! Quelles valeurs resterait-il ?
Non, la nation n'est pas un grand fourre-tout dans lequel on nivelle le niveau des Français par le bas, vers l'égalitarisme universel tout en leur demandant de savoir parler anglais pour communiquer avec nos voisins et de renier leur langue.
Mme Royal n'hésite peut-être pas à utiliser à tout va le mot "nation" mais voudrait lui enlever toute substance. La nation de gauche n'est pas la même que celle du front national; c'est une France multiculturaliste, prônant les droits de l'hommisme, une France mondialisée et apatride. Bref, ce n'est plus la France et dans quelques années on se demandera que représente finalement le drapeau tricolore !
Les mots de son discours sonnent creux et n'ont aucune réalité tangible. En gros, que veut faire la gauche qu'elle n'a pas déjà fait pendant vingt ans, à notre grand dam !
Car Mme Royal, cette "crise de la démocratie" nous la devons à la gauche comme à la droite. Alors ne vous plaignez pas d'une situation que vous avez provoquée !
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Les chiffres du chômage
01/10/2006 09:11
Communiqué de Presse de Jean-Marie LE PEN du 29/09/06
Les combines permettant de faire baisser statistiquement le chômage ont marqué le pas au mois d’août. Le gouvernement a bien sûr une explication à ce mauvais coup du sort : ce sont des « raisons conjoncturelles » qui expliquent l’arrêt de la baisse du chômage, affirment le Premier ministre et le ministre de l’Emploi, évoquant notamment l’arrivée des jeunes sur le marché du travail. Mais les chiffres dont on parle ne sont pas les chiffres bruts, ce sont les chiffres « corrigés des variations saisonnières » : les « raisons conjoncturelles » qui se reproduisent chaque année, comme l’arrivée de jeunes sur le marché du travail à la fin de l’été, sont déjà prises en compte dans la courbe statistique, elles ne peuvent pas influer sur le résultat d’un mois donné. L’explication par les « raisons conjoncturelles », c’est donc du pipeau.
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