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Persona non grata
28/10/2006 14:27
JERUSALEM (Reuters) - Israël refuse de recevoir une délégation du Parlement européen en raison de la présence en son sein de Marine Le Pen, fille du président du Front national, fait savoir le ministère des Affaires étrangères.
"L'un des membres de la délégation appartient à un parti politique qui, malheureusement, est à la fois raciste et négationniste", a déclaré un porte-parole.
"C'est la raison pour laquelle nous ne pouvons pas recevoir la délégation dans sa composition actuelle", a-t-il ajouté.
A Bruxelles, un porte-parole du parlement européen a invoqué un "problème technique" susceptible de compromettre le succès du déplacement des eurodéputés. Mais une source parlementaire a confirmé que l'annulation de ce voyage venait du refus des autorités israéliennes.
La vice-présidente du Front national devait faire partie d'une tournée d'un groupe d'eurodéputés au Liban, en Israël et dans les territoires palestiniens du 28 octobre au 4 novembre.
La délégation conduite par le chrétien-démocrate allemand Elmar Brok devait notamment être reçue par le Premier ministre israélien Ehoud Olmert.
"Marine Le Pen a reçu une lettre" du Parlement européen expliquant le refus des autorités israéliennes, a précisé un porte-parole du Front national.
Le 20 octobre, Marine Le Pen, membre du Parlement européen depuis 2004, avait déclaré à Reuters que ce voyage devait être l'occasion de "lever un certain nombre de malentendus". Elle avait ajouté ne pas avoir d'hostilité particulière envers l'Etat hébreu.
Jean-Marie Le Pen a été condamné par la justice française pour avoir qualifié les chambres à gaz de "point de détail" de l'histoire de la Seconde guerre mondiale.
Source : boursier.com
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Les jury citoyens, quelle farce !
26/10/2006 19:10
Ségolène Royal a choisi la même tactique que Nicolas Sarkozy : lancer des idées choc (ou de simples petites phrases bien frappantes) autour desquelles chacun doit prendre position, ce qui permet d’être en permanence au centre du débat politique. Le grand débat de ces jours-ci est donc la question des ” jurys citoyens “, autrement dit de jurys populaires tirés au sort et dont la mission serait d’évaluer et de surveiller le travail des élus, de vérifier qu’ils appliquent leurs promesses, etc. Il s’agit d’une idée qui s’inscrit dans les thèmes de la prétendue ” démocratie participative “, que l’on appelait naguère ” populaire “, ou soviétique. Car les soviets n’étaient rien d’autre que des ” jurys citoyens “, et comme par hasard la ” démocratie participative ” est une tarte à la crème de l’extrême gauche. Le fait que le mot citoyen soit utilisé comme adjectif montre que l’on est dans la subversion de la citoyenneté (comme pour les ” votations citoyennes ” sur le droit de vote des immigrés, les ” attitudes citoyennes ” qui sont antinationales, le ” soutien citoyen ” aux clandestins, etc.). Selon Ségolène Royal, l’institution de ” jurys citoyens ” serait susceptible de rendre la démocratie beaucoup plus vivante, de combattre la désaffection des Français pour la politique, d’en finir avec le fait que des ” pans entiers de la société se sentent exclus du débat public “, et donc, et surtout, d’éviter de ” revivre le 21 avril 2002 “. Mais, comme le remarque Jean-Marie Le Pen dans un communiqué, ” ce n’est pas en court-circuitant la démocratie représentative par des “jurys citoyens, autrement dit des soviets, que l’on peut réhabiliter la politique. Si des “pans entiers de la société se sentent exclus du débat public“, c’est parce que la caste UMPS exclut ces citoyens de toute représentation politique, et rend ainsi le débat public impossible. ” Le remède ségolénien est pire que le mal. Il dévalue la démocratie au lieu de la réhabiliter. ” Le remède démocratique à la crise de la démocratie n’est pas dans une politique de soviets, dont on a déjà vu à quoi elle aboutit, mais dans l’ouverture loyale des instances représentatives de la République à tous les courants d’opinion, par l’instauration de scrutins à la proportionnelle intégrale “, souligne Jean-Marie Le Pen. En effet, pour que les ” pans entiers de la société ” qui ne se sentent pas représentés par leurs élus aient le sentiment de l’être, il suffit qu’ils soient… représentés. Autrement dit, que les instances représentatives soient ouvertes à tous les courants d’opinion. Ce n’est pas une obscure fatalité qui ” exclut ” de nombreux citoyens de toute représentation politique, c’est une politique électorale voulue et mise en œuvre par la classe politique à laquelle appartient Ségolène Royal, et qu’elle ne veut pas modifier. Le projet ségolénien est donc de maintenir la caste au pouvoir et de lui adjoindre des soviets qui devront jouer le rôle de faire valoir et seront les organes des lobbies qui crient le plus fort. En rejetant encore plus loin les ” exclus ” qui le seront alors doublement. Le remède est au contraire que les instances représentatives deviennent vraiment représentatives, au lieu d’être confisquées par des partis monopolistiques et d’exclure d’emblée 40 % des citoyens. Cela suppose aussi de n’exclure personne du débat. Et s’il y a un véritable débat, et non le dialogue convenu entre les gens du sérail, les citoyens s’y intéresseront, ils retrouveront le chemin des urnes. Alors que les ” jurys citoyens ” ne feraient qu’aggraver l’abstention, en brouillant définitivement le visage de la démocratie.
Source : national-hebdo
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Se débarrasser d'un système à bout de souffle
26/10/2006 19:03
La parole est tout de même donnée à quelques cadres du Front National. « 2002 a montré qu’il était possible [pour Jean-Marie Le Pen de se qualifier pour le second tour de la Présidentielle] ». « Le coup est tout à fait renouvelable, à condition de franchir le barrage des parrainages », observe ainsi Michel Guiniot, Secrétaire national aux fédérations qui, avec Dominique Martin, secrétaire départemental de Haute-Savoie, s’occupe de la coordination de la collecte des signatures sous la houlette de Fernand Le Rachinel. Dominique Martin qui affirme pour sa part que « l'accès au second tour est arithmétiquement acquis » sachant que « dix millions de personnes ont déjà voté une fois Le Pen » et pour peu que la droite nationale réussisse « à convaincre » le « réservoir des 30 % d'abstentionnistes ». « Les Français en ont marre et, s'il se traduit dans les urnes, le rejet de la classe politique devrait nous profiter », relève encore Jean-François Touzé, Secrétaire national aux élus. « Il y a sur l'immigration une prise de conscience des Français qui veulent se réapproprier leur propre pays. Avec cette présidentielle, ils ont la possibilité de se débarrasser d'un système où plus rien n'est debout », juge Marine Le Pen, directrice stratégique de la campagne
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