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Marine le Pen sur iTélé

05/02/2007 17:49



le 04 février 2007

http://www.frontnational.com/videos/marine-i-matin-040207.wmv






la même campagne qu'en 2002

05/02/2007 17:34



Jean-Marie Le Pen assure que la campagne est "exactement la répétition" de celle de 2002

 

Le candidat du Front national à la présidentielle Jean-Marie Le Pen a jugé dimanche que la campagne présidentielle actuelle est "exactement la répétition" de celle de 2002, se disant convaincu de faire cette fois "au-delà de 20%".

Invité du Grand Rendez-vous Europe-1/TV5Monde/Le Parisien/Aujourd'hui en France, le président du Front national a dit ne pas croire, "si j'en juge les sondages que j'ai sous les yeux", que François Bayrou incarne le troisième homme de la campagne.

"Cela étant, il a une présence médiatique qui est beaucoup plus importante que la mienne", a-t-il dénoncé. François Bayrou "fait partie du système même s'il fait semblant d'en être l'adversaire", a tonné le leader frontiste. "Il en est de même de ses deux principaux concurrents qui occupent l'espace médiatique maintenant depuis neuf mois de façon pratiquement continue".

Notant que les intentions de vote dont il est actuellement crédité sont "le double" de celles des sondages de 2002, il s'est dit convaincu de faire "nettement mieux que ce qu'on m'accorde officiellement" avec "au-delà de 20%" au premier tour.

Il a dit notamment avoir "confiance dans le vote des banlieues". "Je sais que les trublions ou les voyous ne constituent qu'une minorité", a-t-il expliqué. "Mais il y a 97% des gens qui habitent la banlieue qui sont les premières victimes de la situation des banlieues ou des troubles qui sont provoqués".

Présent pour la 5e fois dans la course à l'Elysée, Jean-Marie Le Pen a jugé que "c'est exactement la répétition de ce qui s'est passé en 2002". "C'était moins choquant à l'époque, parce que les deux personnages institués en quelque sorte pour le deuxième tour (...) c'était le Président de la République et le Premier ministre".

"Là, c'est le ministre de l'Intérieur et une nouvelle candidate que j'avais d'ailleurs prévu depuis quelques années", a-t-il noté, ajoutant que "l'expérience" prouve que l'un des deux candidats de tête dans les sondages "n'est jamais au second tour".

Il a une nouvelle fois émis l'hypothèse d'une "irruption de Jacques Chirac" dans la présidentielle qui "ne dépend peut-être pas de lui, mais de la politique internationale qui serait la seule chance qu'il aurait de se réintroduire dans le débat".

Le candidat FN s'est dit victime d'une diabolisation. "Cette crainte n'est justifiée ni par mes propositions, ni par mon passé. Personne ne m'a vu tenter de renverser la République".

"Le fond de la crainte, chez ceux qui tirent les ficelles, c'est que l'on change le système, un système qui est assez confortable", a conclu Jean-Marie Le Pen.

A la question de savoir si Marine Le Pen aurait moins de difficultés à réunir les 500 parrainages d'élu, dont il affirme ne toujours pas disposer, le président du Front national a répondu "sans doute, mais ma cuisinière aussi".

source : nouvelobs






La chasse aux signatures avec une fourchette à escargot

03/02/2007 14:50



"Les signatures, il faut aller les chercher avec une fourchette à escargot"

 
« LES SIGNATURES, il faut aller les chercher avec une fourchette à escargot. » Fernand Le Rachinel en parle en homme d'expérience : il est au FN le champion ès parrainages. Depuis 1981, sur les quatre campagnes précédentes, il en a rapporté plus de 110 à lui tout seul. Performance qui lui a valu d'être désigné par Jean-Marie Le Pen responsable de la cellule signatures. Ce qui ne l'empêche pas d'aller sur le terrain presque tous les jours depuis trois semaines, comme un certain nombre d'autres cadres du FN.
 
Une première sélection a été faite au « paquebot », le siège du FN à Paris, par « phoning » : des milliers de maires ont été appelés au téléphone dans toute la France, pour distinguer ceux qui sont définitivement fermés à toute idée de parrainage et ceux qui peuvent être approchés. Muni d'une carte sur laquelle une cinquantaine de villages de la Manche sont marqués d'un point rouge, le député européen applique une méthode à lui : il va voir les maires chez eux sans prendre rendez-vous. « Je préfère ça au rendez-vous pris par téléphone, explique-t-il : si c'est non au téléphone, c'est fermé, il n'y a plus moyen d'y revenir. » Pour lui, l'efficacité, en signatures, est aussi une affaire de contact, « une question de convivialité ».
 
Départ dans la brume matinale. Mise en fonction du GPS, la providence des chercheurs de parrainages. Cap sur une petite commune où Le Rachinel a « fait » un bon score aux dernières régionales. Arrivée au village. Le Rachinel s'enquiert de la maison du maire. Il n'y a personne. Peut-être est-il à la mairie ? Pas question d'y aller. « Il y a souvent du monde, le secrétaire de mairie est là, le maire n'a pas sa liberté de parole. » Le Rachinel retournera le lendemain soir voir le maire chez lui.
 
« J'aurais trop d'ennuis »
 
Nouveau départ. Quinze kilomètres pour aller chez un autre édile. Nouvelle demande au voisinage. Maire agriculteur, absent de chez lui. Le Rachinel entame une troisième expédition, arrive dans un troisième village, tombe par hasard sur la maison du maire : il n'est pas là. Quatrième tentative, quatrième échec. Renseignement pris, l'explication s'impose : tous les maires du canton sont réunis autour du président de Région pour une affaire d'intérêt local. La méthode de la visite à l'improviste a ses avantages et ses inconvénients.
 
En plein milieu de la matinée, après quatre déplacements pour rien, il faut donc changer de canton. Le Rachinel fait 45 kilomètres pour rejoindre le sud du département et se dirige vers un village dont le maire, selon les renseignements, est « assez ouvert ». « Sa femme est d'accord pour qu'il signe. Le problème, c'est son fils, un fonctionnaire, qui s'y oppose. » Le Rachinel se donne « une chance sur deux ». Arrivée à la maison de l'édile. Nouvelle mauvaise surprise : le garage est ouvert et vide, la porte de la maison fermée. On repassera en fin de matinée.
 
L'élu FN jette alors son dévolu sur un maire qui lui a été décrit comme « très indépendant d'esprit, assez original ». Il en conclut qu'il « pourrait signer ». Arrivée chez cet agriculteur. Sa femme va le chercher alors qu'il s'affaire au fourrage. Enfin Le Rachinel va voir un maire. Le ciel s'est dégagé, la campagne est lumineuse : voilà le maire qui arrive, en bottes, rubicond, l'air jovial, l'oeil malicieux. Le député européen récite son couplet sur la démocratie : « Je viens vous embêter, vous savez pourquoi... Signer pour Jean-Marie Le Pen, ce n'est pas le soutenir, c'est simplement estimer qu'un candidat qui rassemble 15 % ou 20 % des voix doit pouvoir se présenter. »
 
Refus du maire : il connaît « Fernand », il a une « bonne idée de lui », mais il est « apolitique », il ne signe « pour personne ». Même s'il manquait une seule signature à Jean-Marie Le Pen ? « Même dans ce cas, c'est non. » Le ton est ferme. L'envoyé de Le Pen n'insiste pas.
 
Retour dans le village précédent, où il était déjà venu trois fois. Le maire est chez lui. Sa femme vient ouvrir. Ils déjeunent. Accueil aimable devant la table de salle à manger. Le maire : « J'ai réfléchi, c'est non. J'aurais trop d'ennuis. Je refuse pour tout le monde. Hier, les gens de Besancenot sont venus. » « Et s'il manque un parrainage à Le Pen ? », demande Le Rachinel. Le maire paraît hésitant. Le Rachinel se retire. « On les a dérangés, c'est pas bon », conclut-il, décidé à renouveler la tentative plus tard.
 
Le député européen a fait 230 kilomètres, visité six villages, rencontré deux maires sans obtenir une signature. « Ce n'est pas du temps complètement perdu, estime-t-il : j'ai repéré les maisons de trois maires absents où je retournerai. » Et d'assurer qu'il aura une ou deux signatures dans la semaine. Il n'empêche qu'à cinq semaines de la date limite de dépôt des formulaires de parrainages au Conseil constitutionnel, il avoue n'être pas sûr que Jean-Marie Le Pen franchisse l'obstacle.

Source : Le figaro.fr





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