Le Pen "galère"
pour ses 500 signatures
Le leader du FN juge que la proposition du gouvernement d'allonger d'une semaine le temps de collecte des signatures "arrange un peu les choses".

Jean-Marie Le Pen
Jean-Marie Le Pen "galère" pour recueillir les 500 parrainages nécessaires pour se présenter à l'élection présidentielle. C'est ce qu'a déclaré dimanche 21 janvier le président du FN, en marge d'un déjeuner de sympathisants à Saint-Denis.
"Je galère, c'est très difficile. Il y a beaucoup de candidats, dont la plupart n'iront pas jusqu'au bout, qui ont demandé et obtenu des signatures", a-t-il déclaré devant la presse.
Le leader frontiste a jugé que la proposition du gouvernement d'allonger d'une semaine le temps de collecte des signatures "arrangeait un peu les choses", même si le geste était "dérisoire" par rapport à la mesure qu'il aurait fallu prendre selon lui : supprimer la publicité des parrainages.
"Mais ils ne l'ont pas fait, pourquoi? parce qu'il s'agit d'un levier d'action" sur les candidats pour la "bande des quatre", ceux "qui sont assurés de trouver les 500 signatures", a-t-il dit.
Jean-Marie Le Pen a révélé que Bruno Mégret, qui s'est rallié à sa candidature, lui avait pour l'instant apporté 7 parrainages supplémentaires.
"C'est peu", a-t-il reconnu, "mais c'est mieux que rien", a-t-il ajouté.
Interrogé sur ses rapports avec son ex-lieutenant, qui se plaint d'être tenu à l'écart de la campagne du FN, M. Le Pen a déclaré qu'il "était convenu que chacun fasse sa propre campagne".
"On essaie de créer un troisième homme"
Jean-Marie Le Pen a précisé qu'il ne "croyait pas" par exemple que Bruno Mégret viendrait à la convention présidentielle organisée par le FN à Lille les 23 et 24 février.
Enfin, au lendemain d'un meeting de Philippe de Villiers à Paris, Jean-Marie Le Pen a estimé que ce dernier faisait un début de campagne "assez médiocre".
"Si M. de Villiers se considère comme un patriote, il aurait intérêt" à rejoindre l'"union patriotique" autour du président du FN, "plutôt que de rester dans cette situation ambiguë qui risque de faire croire que le vicomte est un baron", a-t-il dit.
Jean-Marie Le Pen ne "croit pas" que l'animateur Nicolas Hulot, qui doit annoncer sa décision lundi, sera finalement candidat à la présidentielle.
Il a dénoncé comme une "petite manœuvre" le sondage qui pour la première fois cette semaine a donné François Bayrou devant lui-même à la présidentielle.
"On essaie de créer un troisième homme qui ne soit pas" M. Le Pen, a-t-il dit. "Ca serait terrible pour un certain nombre de gens que Le Pen soit le troisième homme, ça obligerait à l'inviter sur les médias avec les deux autres concurrents", a-t-il dit.
source : nouvelobs.com

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