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J.M. Le Pen en appelle aux internautes
11/02/2007 11:14
Jean-Marie Le Pen en appelle aux internautes
Sur son site de campagne, le candidat FN demande aux internautes de démarcher les maires pour qu'ils lui apportent leur signature.
Dans le journal de bord vidéo de son site de campagne, le candidat FN à la présidentielle, Jean-Marie Le Pen, demande aux internautes, vendredi 9 février, de l'aider à recueillir des parrainages d'élus pour la présidentielle. "Je lance un appel à tous les internautes" pour que ceux-ci aillent demander aux maires qu'ils connaissent "de faire l'effort de m'apporter leur signature", déclare Jean-Marie Le Pen dans ce journal vidéo, au milieu de divers commentaires sur la campagne électorale. "J'en ai besoin pour être le candidat qui dit la vérité et qui veut faire savoir aux Français toutes les vérités qu'on leur cache", déclare Jean-Marie Le Pen. Suit une adresse électronique au siège de campagne de Jean-Marie Le Pen, où les internautes sont invités à laisser toute information utile. Jean-Marie Le Pen évoque régulièrement ses difficultés à recueillir les 500 parrainages nécessaires pour se présenter à l'élection présidentielle. D'après son entourage, le président du FN disposerait, au 9 février, d'environ 430-440 promesses de signatures.
source : nouvelobs.com
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Le Pen se montre confiant pour le 2ème tour
09/02/2007 18:16
Rien n'est impossible au deuxième tour". Le président du Front national Jean-Marie Le Pen, invité jeudi 8 février sur France 2, s'est montré confiant en ses chances de figurer au deuxième tour de l'élection présidentielle.
Il a ironisé sur ses adversaires politiques, estimant que Nicolas Sarkozy est plutôt "l'héritier d'Edouard Balladur" et que Jacques Chirac "pourrait encore être candidat, s'il y avait une grave crise internationale". Il a raillé la stratégie politique de Nicolas Sarkozy : "il essaie de labourer mon terrain mais c'est moi qui sème et c'est moi qui récolterai. Les gens préfèreront toujours l'original à la copie. Plus il en fait dans ce domaine-là, mieux je me porte."
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Un référendum sur l'avortement |
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Prié de dire s'il supprimerait l'avortement, autorisé en France depuis la loi Veil de 1975, s'il était élu, Jean-Marie Le Pen a répondu qu'il mettrait en place "d'abord pendant cinq ans une législation sociale en faveur des familles". "Ensuite, je ferai un référendum pour savoir ce que les Français pensent de la situation", a-t-il ajouté. Opposant de longue date à l'IVG, le président du FN a estimé qu'il fallait "encourager les mères, les femmes enceintes à garder leur enfant". - (Avec AFP)
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Il a estimé que Ségolène Royal "fait la campagne dont elle est capable". "Je ne suis pas sûr qu'elle resistera à la durée de la campagne", a-t-il ajouté. Jean-Marie Le Pen a dit ne pas s'inquiéter de la candidature de François Bayrou, le comparant à Jean-Pierre Chevènement en 2002. "La solidité de mon socle électoral est de 70 % et la sienne est de 32 % seulement", a-t-il analysé.
REVENIR SUR LES 35 HEURES
Le président du Front national a surtout dénoncé "la folle politique d'immigration". "Je suis francophile, pas xénophobe, c'est pour ça que je suis pour la préférence nationale", s'est-il défendu. "Vous ne devez pas en vouloir aux immigrés, vous devez en vouloir aux politiciens français", a-t-il encore expliqué. Accusé de jouer sur les peurs, il a répondu : "Quand nous ne serons plus majoritaires chez nous, nous serons esclaves. C'est une loi mécanique de l'histoire."
Jean-Marie Le Pen a également détaillé certaines de ses propositions. Selon lui, il y a une "hypertrophie du corps des fonctionnaires en France." Il s'est déclaré hostile aux "grèves scandaleuses" dans les transports, qui s'apparentent à de l'"égoïsme social".
"Il y a encore beaucoup trop d'impôts, les Français sont écrasés", a dénoncé le président du FN, estimant qu'il "faut diminuer la charge fiscale", notamment "l'impôt sur le travail, c'est à dire l'impôt sur le revenu". Il a également proposé de soustraire la résidence principale de l'Impôt de solidarité sur la fortune (ISF). Jean-Marie Le Pen s'est aussi enagagé à revenir sur les 35 heures et à "rétablir les droits de douane".
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Père-fille, un duo de choc !
06/02/2007 19:43
Dans cette dernière ligne droite de la campagne présidentielle, Jean-Marie Le Pen mise sur les médias télévisuels et radiophoniques pour promouvoir ses idées. Son agenda pour février ne prévoit pas moins de neuf grandes émissions. Sa fille, Marine Le Pen, directrice stratégique de la campagne, le suppléera dans huit autres. Sans compter les prestations ponctuelles de Bruno Gollnisch, le délégué général, ou de Jean-Claude Martinez, vice-président du FN, il est vrai moins prisées par les médias.
"Je fais beaucoup de choses. Je suis sur le terrain politique matin et soir, mais j'ai considéré qu'il vaut mieux 11 millions de téléspectateurs sur TF1 plutôt que 1 000 sympathisants à Romorantin (Loir-et-Cher)", explique M. Le Pen. "J'ai la portion congrue dans les radios et télévisions, j'essaie de la faire fructifier", insiste-t-il, en ne cachant pas qu'il espère beaucoup de la "dernière phase de campagne où l'équité et même l'égalité seront en vigueur dans les médias".
CINQ MEETINGS
Les déplacements de M. Le Pen, qui aura 79 ans en juin, ont été réduits. Ils se résument, en février, à une visite en Picardie et à un déjeuner-débat, à Nantes, consacré à l'écologie. M. Le Pen évoque pour justifier ce choix le peu de disponibilité de ses cadres "pris par la collecte des promesses de parrainages" indispensables pour valider sa candidature à l'Elysée. Dimanche 4 février sur Europe 1, il a déclaré "ramer" mais "approcher de Cythère doucement" avec "un peu plus" de "430-450" signatures.
Le principal événement de ce mois sera la convention présidentielle des 24 et 25 février, organisée à Lille. A l'origine, cette convention devait être un faire-valoir de l'Union patriotique voulue par M. Le Pen. Elle devait témoigner de sa capacité à rassembler "au-delà de son camp". Mais le peu de succès de cette main tendue aux "patriotes" a conduit la cellule de campagne à changer son fusil d'épaule et à consacrer ces journées au programme.
En effet seuls, jusqu'à présent, Bruno Mégret et son parti le Mouvement National Républicain (MNR), le Parti populiste créé par des dissidents du FN et du MNR et, côté personnalités, l'écrivain Alain Soral y ont adhéré. Un événement autour de cette Union aurait conduit à mettre sur le devant de la scène M. Mégret, le principal responsable de la scission du FN, en 1998, à qui Marine Le Pen a reproché, par le passé, d'être entouré d'"ethnicistes". Un exercice auquel s'oppose Mme Le Pen et Louis Aliot, secrétaire général du FN.
Plusieurs déplacements à l'étranger avaient été envisagés. L'idée a finalement été abandonnée. M. Aliot évoque le "peu d'intérêt des Français pour ce genre de déplacements". Un autre membre du bureau politique parle du peu d'enthousiasme des responsables politiques à rencontrer le chef de l'extrême droite française.
Cinq meetings ont toutefois été programmés d'ici au 22 avril. Le premier et le dernier auront lieu dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur (Marseille et Nice), région où M. Le Pen se présente régulièrement et qui procure au Front un de ses meilleurs scores.
source : lemonde.fr
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