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J.M Le Pen menace de porter plainte !
25/02/2007 16:57
Présidentielle : Jean-Marie le Pen menace de porter plainte !
Faut-il y voir un signe d'une difficulté à réunir les 500 signatures nécessaires pour se présenter à la présidentielle ? Pas impossible vu le "coup de gueule" que vient de pousser Jean-Marie Le Pen en marge de la convention présidentielle de son parti qui se déroule ce samedi à Lille
Sans le dire ouvertement Jean-Marie le Pen, président du Front National et candidat à l'élection présidentielle, semble avoir du mal à réunir les fameuses 500 signatures nécessaires pour se présenter à l'Elysée. Il vient d'ailleurs de menacer de porter plainte concernant les pressions que recevraient certains élus s'ils apportaient leur soutien au candidat du Front National.
Il a ainsi déclaré "Un certain nombre de maires reçoivent des coups de téléphone pour les inciter à ne pas signer, et ce dans de nombreux départements. Nous allons faire une enquête et porter plainte, il y a des moyens d’investigation qui permettent de remonter les appels"
Rappelons que la chasse aux signatures est officiellement ouverte depuis le jeudi 22 Février et que les élus ont jusqu'au 16 mars 18 heures pour renvoyer leur formulaire au Conseil Constitutionnel. Ils sont 47 000 élus (maires, députés, sénateurs, conseillers généraux, régionaux...) habilités à pouvoir parrainner tel ou tel candidat.
Jean-Marie le Pen qui a dénoncé une manipulation n'a toutefois communiqué aucun chiffre sur le nombre de parrainages qu'il aurait pour le moment. Il a toutefois déclaré que les électeurs, s'il venaient à être privé de présidentielle, seraient s'en souvenir aux moments des législatives... "
source : télé news
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Le Pen pour que la France retrouve sa souveraineté en Europe
23/02/2007 17:04
Le Pen pour que la France retrouve sa souveraineté en Europe
S'il était élu, le président du Front National renégocierait avec Bruxelles pour que la France retrouve sa souveraineté. Très critique envers Washington, il estime cependant qu'un échec américain en Irak serait "dramatique" pour l'Occident.
"Je suis le seul candidat à la présidence de la république française !" Premier invité de l'Association de la presse diplomatique française (APDF), qui compte convier aussi les trois autres principaux candidats à la présidentielle (Nicolas Sarkozy, François Bayrou et Ségolène Royal, le président du Front National a d'emblée cherché, ce jeudi, à se démarquer de ses concurrents, estimant qu'ils n'étaient que candidats à la direction "de la province française" au sein d'une Europe dans laquelle toute souveraineté nationale a été abandonnée.
Pour autant, même s'il reconnaît que, jeune député, il avait voté en 1957 contre le Traité de Rome, il affirme qu'il est aujourd'hui pour une "Europe des nations", de "Brest à Vladivostok", c'est-à-dire englobant des pays comme l'Ukraine, la Moldavie ou la Russie, dont les peuples "ont en commun beaucoup de choses" avec les Européens.
Jean-Marie Le Pen estime en outre qu'il n'est pas nécessaire de revenir sur le rejet du projet de traité constitutionnel européen de 2005 - "on a déjà voté !" - mais qu'il ne faut pas "renoncer a priori aux coopérations militaires européennes" existantes. Pour asseoir les ambitions françaises dans ce domaine, il se prononce sans hésitation pour un deuxième porte-avions : cela irait "mieux si on le construisait, mais on pourrait à la limite l'acheter", juge-t-il.
Concernant l'euro, le leader du Front National ne souhaite pas "tirer sur les ambulances". Dans l'attente de son programme détaillé qui devrait être publié ce dimanche, il reconnaît qu'il serait difficile de "sortir" de l'Union européenne. En revanche, il veut, s'il accède au pouvoir, "entrer tout de suite en négociation avec les autorités européennes" pour que la France retrouve sa souveraineté, notamment dans le domaine migratoire, à l'image de ce que le Royaume-Uni ou le Danemark ont obtenu par le passé dans d'autres domaines.
Très critique sur les régularisations massives d'immigrés espagnoles ou italiennes comme sur le concept d'immigration choisie cher à Nicolas Sarkozy, Jean-Marie Le Pen se dit aussi pour un "protectionnisme éclairé" en matière économique, ce qui, selon lui, ne correspond pas à une "ligne Maginot à nos frontières". Pour autant, il ne détaille pas comment il envisage, ainsi qu'il l'a déclaré à plusieurs reprises, instaurer des taxes à l'importation sur les produits étrangers.
Très dubitatif sur une politique de co-développement, notamment avec les pays africains - "avec quel argent ?"-, le président du Front National estime que la France pourrait retirer ses troupes disposées dans différents points chauds du globe. "Après tout, on peut vivre sans avoir cette forme d'influence..." Quant à l'Algérie, il ne se prononce pas contre un traité entre Paris et Alger : "pourquoi pas, mais pas avec Bouteflika !"
Sur le dossier sensible du nucléaire iranien, il se demande ouvertement "qu'est-ce qui pourrait interdire, en droit, à l'Iran de se doter de l'arme atomique ?", cette arme restant selon lui "une arme de non emploi", et relativise les déclarations belliqueuses "homériques" de Téhéran contre Israël.
Se déclarant "assez slavophile" et estimant que Vladimir Poutine constitue une "chance que les Russes ont eue", il plaide pour une "coopération plus étroite avec la Russie". Avec les Américains, il ne ménage pas ses critiques sur leur intervention en Irak. Mais, reconnaît-il, leur échec prévisible à Bagdad serait "dramatique pour eux et pour nous" et cette "perte de prestige de l'Occident aura des conséquences incalculables". Un pessimisme applicable à la situation libanaise, pour laquelle Jean-Marie Le Pen se déclare "choqué de l'opération d'Israël contre le Hezbollah" l'été dernier, qui a selon lui jeté un certain nombre de chrétiens dans le camp musulman.
source : La tribune.fr
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Chirac a demandé le soutien de Le Pen en 1988, affirme Pasqua
22/02/2007 19:53
Chirac a demandé le soutien de Le Pen en 1988, affirme Pasqua
L'ancien ministre Charles Pasqua a affirmé jeudi sur RTL que Jacques Chirac avait demandé le soutien de Jean-Marie Le Pen entre les deux tours de l'élection présidentielle de 1988, remportée par le socialiste François Mitterrand.
"Je lui ai demandé s'il souhaitait rencontrer Le Pen, il m'a dit oui, j'ai donc arrangé cette rencontre (...) Je les ai présentés, ils se sont serré la main, je les ai laissés parler et ensuite j'ai raccompagné Le Pen jusqu'à la sortie", a-t-il raconté à propos du président du Front national.
"Jacques Chirac était venu demander à Le Pen son soutien pour le deuxième tour, Le Pen a donné un soutien très relatif", a ajouté Charles Pasqua. "En tous les cas, il avait demandé ses voix à Le Pen, c'est clair".
Contrairement à ce que laisse entendre Jacques Chirac dans le livre de Pierre Péan "L'inconnu de l'Elysée", le chef de l'Etat n'a pas rencontré Jean-Marie Le Pen par hasard, a rapporté Charles Pasqua : "Non, il est venu en sachant ce qu'il allait faire. Ce qu'ils se sont dit, je n'en sais rien".
Dans ce même livre, Jacques Chirac déclare que Charles Pasqua lui "a cassé les oreilles pendant des années pour qu'(il) rencontre Jean-Marie Le Pen et qu'(il s)'entende avec lui".
"C'est à l'occasion des élections présidentielles de 1988 qu'entre les deux tours, je lui ai dit qu'il était souhaitable qu'il le rencontre, ce qu'il a fait", a rectifié Charles Pasqua sur RTL.
Jean-Marie Le Pen a confirmé à Reuters qu'une rencontre avec Jacques Chirac avait eu lieu, mais que le dialogue avait tourné court.
"Il (Chirac) m'a dit qu'il n'était disposé à faire aucune concession à notre programme (celui du FN)", a raconté Jean-Marie Le Pen, en ajoutant qu'un quelconque accord entre les deux hommes était alors impossible.
"Je crois qu'il (Chirac) était déjà à ce moment-là décidé à faire passer Mitterrand", a ajouté le président du FN.
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