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Le Pen se voit au second tout
19/03/2007 11:07
Sur ses terres bretonnes, Jean-Marie Le Pen s'est dit samedi persuadé d'être présent au second tour. La troisième place de Bayrou dans les sondages ? "Le fruit d'une connivence sondagio-médiatique". Le candidat du FN a ironisé sur la proposition de Sarkozy de créer un ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale. "Il ne faut pas s'affoler et dire tout et n'importe quoi", a-t-il martelé.
Campagne en terre natale
Après s'être échiné à rassembler les parrainages requis, Jean-Marie Le Pen a officiellement lancé la dernière phase de sa campagne. Chose faite samedi (17 mars) dans son village natal de La-Trinité-sur-Mer, dans le Morbihan, où il a égratigné ses adversaires et donné sa définition d'un chef de l'Etat.
Le président de la République "n'est pas un fonctionnaire élu pour cinq ans" mais "l'incarnation de la Nation française, l'incarnation du peuple français", a-t-il lancé devant la presse sur une terrasse du jardin familial, entouré de son épouse Jany, de sa fille Marine et d'une vingtaine de fidèles.
"Sarkozy dit tout et n'importe quoi"
Balayant d'une phrase l'héritage du président Jacques Chirac, dont "les mandats invertébrés ne laisseront aucune trace", le président du Front national s'en est pris à Nicolas Sarkozy, qui "semble avoir découvert trente ans après (lui) qu'il faut s'occuper de l'immigration". Ironisant sur la proposition du candidat de l'UMP de créer un ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale, il l'a mis en garde : "Il ne faut pas dire tout et n'importe quoi pour capter quelques voix supplémentaire".
Reprenant son thème favori de l'immigration et des "bouleversements culturels, économiques, civils" que celle-ci aurait entraîné, il s'est défendu de tout racisme ou xénophobie. Il promet, en cas d'élection, un "recensement démographique sérieux" car on ne connaît pas selon lui le nombre exact d'habitants en France, pas plus qu'on ne sait "d'où sont venus les 25 millions de personnes supplémentaires" entre 1945 et aujourd'hui pour atteindre 65 millions d'habitants.
"Je serai au second tour"
Sa deuxième cible : Ségolène Royal. Jean-Marie Le Pen a qualifié la démocratie participative défendue par la candidate socialiste de "vieille lune autogestionnaire". Il a aussi réservé quelques flèches à François Bayrou, qualifié "d'espèce de Don Quichotte" qui a fait "le choix de l'immobilisme". Car "Bayrou découvre trente ans après moi l'hégémonie de l'UMP et du PS et s'improvise en homme neuf et immaculé", a-t-il fait mine de s'étonner. Avant de prévenir que la politique du président de l'UDF serait "strictement la même" que celle des gouvernements auxquels il a participé par le passé.
Un candidat de l'UDF qu'il ne voit pas comme un obstacle pour lui barrer la route du second tour. "J'ai la conviction profonde que la position de Bayrou à la troisième place est le fruit d'une connivence sondagio-médiatique", a lancé le leader du FN.
Retour aux sources
Avant ce discours, Jean-Marie Le Pen s'est rendu à pied au monument aux morts de la commune, où quelques anciens d'Afrique du Nord bardés de médailles se tenaient au garde-à-vous, pour y déposer une gerbe de fleurs. Il a expliqué qu'il avait "jugé essentiel de venir dans sa ville natale, tout près de (ses) racines" car, selon lui, un futur président de la République doit "montrer qui il est, d'où il vient, avant de dire où il va".
Après un déjeuner dans un restaurant local, le leader frontiste s'est rendu dans le village voisin de Locmariaquer où ont vécu ses grands-parents maternels pour parachever cette journée. Une journée en forme de retour aux sources pour l'homme de 78 ans.
source : rtl2007
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Le Pen au Conseil constitutionnel
15/03/2007 19:18
Venu déposer ses parrainages, Jean-Marie Le Pen a fait un plus vite, annonçant en coup de vent qu'il donnait sa signature à Nicolas Dupont-Aignan. Accueilli par de nombreux journalistes et entouré de sa garde rapprochée, quelques militants, frontistes et anti-frontistes, ont profité de l'événement pour se faire entendre.
Pendant que la lourde escorte du président du Front national écarte les journalistes, Jean-Marie Le Pen répond distraitement : « Ca a été très dur. Plus dur qu'en 2002 ! » Résultat de la récolte : 535 paraphes d'élus locaux.
Une fois refermées les lourdes portes du Conseil constitutionnel, on ne perçoit du dépôt en lui-même que le profil de Marine Le Pen en pleine discussion. Arrivée par une autre porte dans l'enceinte de l'établissement, quelques militants l'ont acclamé : « Vive Marine ! »
A peine ressorti, le désormais candidat officiel est de nouveau assailli de caméras et de micros auxquels il déclare qu'en tant que député européen, il donne sa signature à Nicolas Dupont-Aignan, le candidat gaulliste de Debout la République.
Un proche de Jean-Marie Le Pen prépare la sortie : le chauffeur a déjà garé la voiture pour pouvoir repartir immédiatement. Impatient, il écoute le président du FN remercier « ceux qui lui ont permis d'obtenir les 500 parrainages », sans citer Nicolas Sarkozy, avant d'appeler les élus à parrainer tous les candidats.
De quelques prises de bec sur les côtés, l'opposition entre militants et manifestants anti-FN devient frontale. Exaspéré par les chants de « et F comme fasciste et N comme nazi », un sympathisant lepéniste s'énerve : « bande de communistes ! » Un jeune, en réponse, lui brandit sa carte d'identité, alors qu'une autre lève plus haut son autocollant d'une organisation anarchiste tandis que le coeur chante plus fort encore. Micros et caméras affluent de toute part. La voiture de Jean-Marie Le Pen est déjà loin.
source : Mariane2007
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J.M Le Pen a trouvé étonnante la montée de Bayrou dans les sondages
12/03/2007 17:25
"(Cette montée) me paraît étonnante, mais elle doit masquer des transferts de voix qui ne me concernent pas puisqu'en même temps je continue de monter", a estimé le président du Front national lors d'un point avec la presse avant de tenir une réunion publique à Lyon.
La candidat de l'UDF est désormais au coude-à-coude dans les sondages avec la candidate socialiste Ségolène Royal, derrière Nicolas Sarkozy, président de l'UMP.
"On sait que Monsieur Bayrou n'est ni droite, ni gauche. Quand moi je disais ça on disait : 'C'est Doriot'" a ajouté Jean-Marie Le Pen, en référence au fondateur du Parti populaire français.
" Mais monsieur Bayrou n'a pas de problème, il a un brevet républicain, a-t-il ironisé. "Par conséquent, il peut tout se permettre (...) Il fait le grand écart. Il faut faire attention de ne pas déchirer son pantalon dans ce cas-là".
Jean-Marie Le Pen a ensuite prononcé un discours pendant plus d'une heure, devant près de 3.000 personnes, rappelant plusieurs points de son programme concernant la famille, l'école, la défense ou encore le travail.
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