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Besoin d'immigration ?
04/08/2006 13:13
Les chiffres de l’immigration selon Michel Godet, économiste, professeur au conservatoire national des arts et métiers :
Ces chiffres, dit-il, sont fiables mais pas officiels car ils sont tenus dans le flou le plus total (volontairement ou involontairement).
Il y a plus d’immigrés qui arrivent en Europe aujourd’hui qu’aux Etats-Unis (1,7 Millions).
Il y a les visas longue durée (VLD) 215 OOO entrées par an en France (chiffre qui a doublé depuis 1994 selon l’INED).
Les visas courte durée : par ex. 65 000 étudiants viennent en France par an mais repartent-ils vraiment dans leur pays d’origine à l’issue de leurs études ? Sinon, cela signifie que l'on pille la ressource de ces pays là.
La France est le premier pays au monde pour la demande d’asile : 65000 demandes par an. On en régularise 20 000 par an ; il en reste donc 40 000 qui s’évaporent dans la nature. Et comme par hasard, tous les ans les préfets régularisent 30 000 clandestins qui sont parmi le stock car, il faut savoir qu’au bout de dix ans de clandestinité en France, vous êtes régularisés et pouvez sortir du bois.
Si l'on a besoin d’immigrés c’est à cause du manque de formation ciblée et de la démographie française en chute libre et ce serait pour occuper des emplois d’assistants aux personnes agées et métiers du bâtiment, de sage-femme et d'infirmière, par ex. Il y aurait personne capable de le faire en France, soit-disant, alors que nous comptons 3 millions de chômeurs !
Nous constatons aussi un chômage des sur diplômés. Il y a trop de diplômés, inadaptés à la demande des entreprises et donc inemployables.
15% des jeunes sont en échec scolaire dans les ZUP où l'on a concentré les handicaps. Ces jeunes sont en grande majorité non francophones, et donc inemployables aussi.
Et puis, quels seront les innovations de demain qui vont définir les besoins d’emplois de demain ? On ne sait pas. Donc, quels immigrés pour demain ?
Pourquoi les bras et les têtes de demain ne peuvent pas être Français ? Car, cela voudrait dire, refondre notre éducation et notre enseignement, et être nous-mêmes créateurs d’emplois et d’entreprises. Comme on ne peut pas ou veut pas le faire, on préfère subir une immigration.
Quand il y 8 personnes qui immigrent en France, une seule le fait pour un contrat de travail. Le reste, soit par le droit d'asile, soit pour le regroupement familial. Ces deux derniers types d'immigration sont donc nécessairement subies pour la France. Car elle va devoir les financer (logement, CMU, RMI, éducation, etc…). Et comme ces personnes ne parlent pas français et inadaptées à nos besoins de travail, on peut penser que ce n'est pas demain la veille qu'ils rapporteront de la richesse à la France.
On dit souvent que les Français ne veulent pas travailler à certains postes. Mais arrêtons de rêver ! La réalité c'est que les jeunes Français ne sont pas ou plus formés à ces postes depuis des années ! C'est de là que vient la pénurie.
Donc, arrêtons de créer trop de surdiplômés et adaptons la formation aux besoins réels en France. Cela nous permettrait de ne pas faire appel à de la main d'oeuvre extérieure. Mais cela voudrait dire deux choses : dégraisser le mammouth et faire une politique familiale de natalité. Et là, personne n'a le courage de le faire, à part le FN.Cela voudrait dire aussi redonner à la France son pouvoir de décision.
Ainsi, ce n'est pas que la France manque d'immigrés, mais de Français formés de manière pragmatique. Et les gens au chômage depuis trop longtemps ne sont plus adaptés aux besoins nouveaux.
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La terre des Le Pen
04/08/2006 13:09
Assistons nous à cause des scandales de la vie politique actuelle à la mise en procès de la monarchie républicaine qui peinait déjà à garantir la stabilité et le prestiges de nos institutions ?
En dépit des avertissements et des alertes, personne ne veut comprendre les rapports du peuple avec les problèmes de l'immigration. On se met un mouchoir devant les yeux et on prétend à "un sentiment d'insécurité".
Pourquoi ? De peur de tomber dans le fief de Le Pen ? Et à cause de cela, ne pas reconnaître que cela pose un réel problème ?!
Je dis que, pour l'instant, seul Le Pen regarde en face les problèmes liés à l'immigration massive et incontrôlée et propose des solutions concrètes. Les autres se contentent de jongler, de crier plus fort qu'ils ne font, d'avancer de trois pas et de reculer de quatre.
Or le sort des immigrés en France n'est le problème ni plus de la gauche, que de la droite, mais celui de la France en tant que nation. Du moins, pour ceux qui la considèrent encore comme une nation et qui lui prête le droit de se gouverner elle-même. C'est donc le souci de l'équilibre économique et social qui devrait conduire nos décisions.
L'erreur des responsables politiques a été de vouloir entendre derrière les propos des Le Pen des considérations racistes. Ainsi ont-ils empoisonnés le débat en créant un faux débat qui a écarté d'un revers de main les vrais problèmes pendant trop longtemps.
Cette croyance (encouragée parfois par la fougue verbale de J.M. Le Pen) a rendu tout le monde obsédé à l'idée de partager un temps soit peu les idées de Mr Le Pen, même s'il lui arrive de constater que le soleil se lève à l'est et se couche à l'ouest.
Du coup, beaucoup de citoyens (même les mieux placés) prennent pour raciste le souhait légitime de voir les immigrés aimer la France - ce que certains font - ou d'aller voir ailleurs.
Ainsi le slogan " La France aime là ou quitte là" a été repris par beaucoup de personnes, même par des immigrés convaincus, mais dès qu'il est formulé par Le Pen il devient une injure. Or quoi de plus normal d'exprimer le fait que la France mérite d'être aimée si on la choisit comme pays d'accueil.
Par nature (et par manque de temps pour le FN) un slogan se doit d'être bref et explicite, au risque de choquer les plus hargneux.
Ce slogan ne m'indigne pas et pour autant je ne suis ni raciste ni fasciste; mais j'ai la France dans mon coeur et j'entends qu'on la préserve de toute dérive anti-républicaine. J'entends aussi qu'elle reste souveraine et qu'elle se donne les moyens de remonter la pente.
Et ce n'est pas en traitant de racistes ou de fascistes ceux qui approuvent cette phrase que certains dirigeants comprendront les réactions de leurs concitoyens.
Et pour finir un dessin de Konk qui en dit plus que tous les mots :

Voir la politique du FN en matière d'immigration :
http://www.frontnational.com/doc_id_immigration.php
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Guy Drut : recours de Marine Le Pen
04/08/2006 13:05
La vice-présidente du FN annonce un "recours pour excès de pouvoir" auprès du Conseil d'Etat, visant à "l'annulation" du décret de Jacques Chirac.
La vice-présidente du Front National Marine Le Pen a fait connaître mercredi 31 mai son intention de déposer devant le Conseil d'Etat un recours pour "excès de pouvoir" visant le décret présidentiel amnistiant Guy Drut. L'amnistie individuelle par décret du président de la République, au profit de Guy Drut afin qu'il puisse réintégrer le CIO, a soulevé la polémique, provoquant même l'embarras au sein de la majorité.
"En relation avec les élections"
La fille du dirigeant du FN, eurodéputée, juge qu'elle est fondée à agir en sa qualité de contribuable francilienne et de conseillère régionale d'Ile-de-France, estime que le décret d'amnistie du 22 mai dernier viole la loi du 6 août 2002. Celle-ci stipule que sont amnistiés les délits "en relation avec les élections de toute nature, à l'exception de ceux qui sont en relation avec le financement direct ou indirect de campagnes électorales ou de partis politiques". Or, juge-t-elle, "l'infraction commise par M. Drut est en relation directe avec le financement d'un parti politique".
Le député UMP de Seine-et-Marne avait été condamné en octobre dernier à 15 mois de prison avec sursis et 50.000 euros d'amende pour "recel d'abus de biens sociaux" dans le cadre de l'affaire des marchés des lycées d'Ile-de-France où il avait bénéficé d'un emploi fictif.
"Erreur d'appréciation"
Marine Le Pen invoque aussi une violation de l'article 14 de la même loi de 2002, qui exclut l'amnistie pour des délits d'abus de biens sociaux, jugeant "évident" que les infractions de recel d'abus de biens sociaux sont elles aussi exclues du bénéfice de l'amnistie. Enfin, elle estime que ce décret "est illégal comme résultant d'une erreur manifeste d'appréciation". L'Elysée a motivé cette mesure d'amnistie comme pouvant permettre à Guy Drut de retrouver son poste de membre du CIO afin y défendre les intérêts de la France. Or, Marine Le Pen "ne voit pas ce qu'a apporté M. Drut à la France" au sein du CIO, rappelant l'échec en juillet dernier de la candidature de Paris à l'organisation des Jeux olympiques de 2012. (AP)
Informations tirées du Nouvel Obs.
A savoir :
Le champion olympique Guy Drut avait été condamné en octobre dernier à 15 mois de prison avec sursis et 50 000 euros d'amende dans l'affaire des marchés publics d'Ile-de-France. Il a très récemment bénéficié « d'une mesure d'amnistie individuelle » décidée par le président de la République.
C'est sa qualité de médaillé olympique à Montréal en 1976 au 110 m haies qui vaut à l'actuel député UMP de Seine-et-Marne l'effacement de sa condamnation. La loi d'amnistie de 2002 a rebattu les règles de cette pratique républicaine. Elle a donné au chef de l'Etat la possibilité d'amnistier des personnes ayant rendu des services à la nation dans les domaines des arts, des lettres et du sport.
Quatre ans plus tard, cette amnistie devrait permettre au champion de retrouver son siège au sein du Comité international olympique. Le député UMP et ancien ministre des Sports avait été suspendu provisoirement de tous ses droits, prérogatives et fonctions attachés à sa qualité de membre du CIO le 9 décembre dernier par la commission exécutive.
A 54 ans, Guy Drut avait été poursuivi pour un emploi fictif dans l'affaire des marchés publics d'Ile-de-France. Cette affaire, dans laquelle 47 prévenus avaient comparu, était la plus grosse affaire de financement illicite des partis politiques. Le RPR, le PS et l'UDF notamment étaient soupçonnés de percevoir des pourcentages sur les marchés publics passés pour la construction d'établissements publics, notamment des lycées. Le député de Seine-et-Marne était accusé d'avoir perçu, de juin 1990 à février 1993, quelque 118 000 euros d'une société de BTP, Sicra, pour un emploi fictif. [D'après le Figaro]
Dans le cadre de cette affaire, le FN a mis en place une pétition à renvoyer à St-Cloud :
http://www.frontnational.com/petitiondrut.pdf
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