Cela fait bien longtemps que le Conseil Economique et Social (CES) aurait dû consulter l'excellent programme du Front National. Il semble en effet qu'il vient seulement de prendre connaissance du projet présidentiel de Jean-Marie Le Pen qui énonce : « En libérant le monde économique des contraintes absurdes d’un Etat qui n’a plus rien de providentiel, je donnerai parallèlement aux salariés la liberté de voir émerger des syndicats réellement représentatifs en supprimant le monopole-fromage des syndicats issus de la résistance ».
Dans une consultation à la demande du gouvernement, le Conseil Economique et Social vient ainsi d'émettre un avis prônant une réforme de la représentativité syndicale, qui, s'il est repris par le gouvernement, mettra fin au monopole des cinq grandes confédérations (CGT, CFDT, FO, CFTC et CGC) dans le secteur privé, qui prévaut depuis 1966. « Cette situation [de monopole imposé par la loi] qui pouvait avoir sa justification dans le contexte historique de l'après-guerre apparaît aujourd'hui largement obsolète » (AP, 29.11.06), juge avec perspicacité le Conseil, 40 ans après. Même si sa lepénisation est beaucoup trop superficielle pour redresser la France, on ne peut que se féliciter qu'après des dizaines d'années de non représentation du monde du travail, de paralysie des services publics, de régression économique, d'emplois fictifs et autres détournements de l'argent public à cause des syndicats totalitaires (voir notre article), le système UMPS soit subitement traversé par une lueur de bon sens et de courage. Mais il reste encore au Parlement (pas représentatif celui-là non plus) à convertir cet avis en acte...
Chômage, immigration, émeutes, insécurité, faillite de l'Etat, SIDA, monopole des syndicats, etc... Le Pen avait raison !
Source : veritesurlefn.org