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Sarkosy et le "paquet institutionnel"
19/03/2007 20:10
lundi 19 mars 2007 Sarkozy et le « paquet institutionnel »
Communiqué de Jean-Marie Le Pen
Nicolas Sarkozy réaffirme que s’il était président de la République il ne soumettrait pas au peuple français le nouveau projet de Constitution européenne.
Son principal argument est que le nouveau texte reprendrait seulement la première partie de l’ancien, à savoir « le paquet institutionnel qui n’est contesté par personne ».
Or c’est d’abord à cause de ce « paquet institutionnel », qui transforme l’Union européenne en super-Etat supranational, que Jean-Marie LE PEN et le Front National, et quelques autres, ont appelé à voter non.
Et c’est bien la perte de contrôle de la politique nationale, y compris économique et sociale, que 55% des citoyens a contestée et refusée.
Les Français doivent savoir que pour dire non au nouveau texte européiste et antinational qu’on nous prépare, ils doivent déjà impérativement dire non à Sarkozy lors du scrutin présidentiel.
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L'identité nationale
19/03/2007 11:17
Dans le jardin de sa maison natale, en Bretagne, Jean-Marie Le Pen a délivré sa leçon d'identité
"La nation, ce n'est pas simplement une envie d'être ensemble, c'est aussi un sentiment d'appartenance, d'intérêt commun, de risque partagé. La nationalité, ça s'hérite ou ça se mérite, [auquel cas il doit y avoir] un échange de volonté, un peu comme dans le mariage".
"que veut-il [N. Sarkozy] faire exactement [avec ce ministère de l'immigration et de l'identité nationale ?] S'agit-il de donner le droit de vote aux immigrés ?, de promouvoir une immigration choisie ?, de régulariser les clandestins ?, de favoriser la construction de mosquées et la formation d'imams ?"
Le président de la République "n'est pas un fonctionnaire élu pour cinq ans" mais "l'incarnation de la Nation française, l'incarnation du peuple français".
source : chrétienneté.fr
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Le Pen se voit au second tout
19/03/2007 11:07
Sur ses terres bretonnes, Jean-Marie Le Pen s'est dit samedi persuadé d'être présent au second tour. La troisième place de Bayrou dans les sondages ? "Le fruit d'une connivence sondagio-médiatique". Le candidat du FN a ironisé sur la proposition de Sarkozy de créer un ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale. "Il ne faut pas s'affoler et dire tout et n'importe quoi", a-t-il martelé.
Campagne en terre natale
Après s'être échiné à rassembler les parrainages requis, Jean-Marie Le Pen a officiellement lancé la dernière phase de sa campagne. Chose faite samedi (17 mars) dans son village natal de La-Trinité-sur-Mer, dans le Morbihan, où il a égratigné ses adversaires et donné sa définition d'un chef de l'Etat.
Le président de la République "n'est pas un fonctionnaire élu pour cinq ans" mais "l'incarnation de la Nation française, l'incarnation du peuple français", a-t-il lancé devant la presse sur une terrasse du jardin familial, entouré de son épouse Jany, de sa fille Marine et d'une vingtaine de fidèles.
"Sarkozy dit tout et n'importe quoi"
Balayant d'une phrase l'héritage du président Jacques Chirac, dont "les mandats invertébrés ne laisseront aucune trace", le président du Front national s'en est pris à Nicolas Sarkozy, qui "semble avoir découvert trente ans après (lui) qu'il faut s'occuper de l'immigration". Ironisant sur la proposition du candidat de l'UMP de créer un ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale, il l'a mis en garde : "Il ne faut pas dire tout et n'importe quoi pour capter quelques voix supplémentaire".
Reprenant son thème favori de l'immigration et des "bouleversements culturels, économiques, civils" que celle-ci aurait entraîné, il s'est défendu de tout racisme ou xénophobie. Il promet, en cas d'élection, un "recensement démographique sérieux" car on ne connaît pas selon lui le nombre exact d'habitants en France, pas plus qu'on ne sait "d'où sont venus les 25 millions de personnes supplémentaires" entre 1945 et aujourd'hui pour atteindre 65 millions d'habitants.
"Je serai au second tour"
Sa deuxième cible : Ségolène Royal. Jean-Marie Le Pen a qualifié la démocratie participative défendue par la candidate socialiste de "vieille lune autogestionnaire". Il a aussi réservé quelques flèches à François Bayrou, qualifié "d'espèce de Don Quichotte" qui a fait "le choix de l'immobilisme". Car "Bayrou découvre trente ans après moi l'hégémonie de l'UMP et du PS et s'improvise en homme neuf et immaculé", a-t-il fait mine de s'étonner. Avant de prévenir que la politique du président de l'UDF serait "strictement la même" que celle des gouvernements auxquels il a participé par le passé.
Un candidat de l'UDF qu'il ne voit pas comme un obstacle pour lui barrer la route du second tour. "J'ai la conviction profonde que la position de Bayrou à la troisième place est le fruit d'une connivence sondagio-médiatique", a lancé le leader du FN.
Retour aux sources
Avant ce discours, Jean-Marie Le Pen s'est rendu à pied au monument aux morts de la commune, où quelques anciens d'Afrique du Nord bardés de médailles se tenaient au garde-à-vous, pour y déposer une gerbe de fleurs. Il a expliqué qu'il avait "jugé essentiel de venir dans sa ville natale, tout près de (ses) racines" car, selon lui, un futur président de la République doit "montrer qui il est, d'où il vient, avant de dire où il va".
Après un déjeuner dans un restaurant local, le leader frontiste s'est rendu dans le village voisin de Locmariaquer où ont vécu ses grands-parents maternels pour parachever cette journée. Une journée en forme de retour aux sources pour l'homme de 78 ans.
source : rtl2007
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