|
| Accueil |
Créer un blog |
Accès membres |
Tous les blogs |
Meetic 3 jours gratuit |
Meetic Affinity 3 jours gratuit |
Rainbow's Lips |
Badoo |
[ multimédias ] [ Marine Le Pen ] [ Jean-Marie Le Pen ] [ Sujets divers ] [ Mes reflexions ] [ Les communiqués ] [ citations ]
|
|
|
|
IL ne craint pas la comparaison avec Sarkosy
19/09/2006 17:50
PARIS (AP) -- "Je n'ai pas peur de la comparaison de Nicolas Sarkozy, même quand il feint d'imiter le programme que je défends", a déclaré lundi le président du Front national Jean-Marie Le Pen, invité à réagir à l'annonce de 6.924 régularisations sur les 30.000 dossiers déposés dans le cadre de la circulaire du 13 juin. Nicolas Sarkozy "s'efforce de faire croire qu'il est en mesure d'assurer la solution" de ce "problème central" qu'est l'immigration, "or je signale que ce ministre-candidat nous dit ce qu'il va faire quand il sera président de la République, mais il est déjà un homme du pouvoir", a observé Jean-Marie Le Pen, invité de l'émission "Le franc parler" sur France-inter et iâTélé. "Qu'est-ce qu'il attend et qu'est-ce qu'il a attendu depuis des années pour faire la politique salvatrice dont, paraît-il, il s'est rendu compte qu'elle était nécessaire?", s'est interrogé le président du Front national, pour qui la solution est de "ramener tout le monde au pays". "Le terrorime a un avantage, c'est que sa violence se voit, ses actions sont douloureuses, elles font mal", a-t-il déclaré. "Nous sommes menacés, nous, par une invasion par capillarité qui est presque insensible, qu'on ne ressent pas, mais dont les conséquences seront les mêmes: au lieu que la servitude nous soit imposée par la force des armes ou par la force des bombes, elle nous sera imposée par la force du nombre", a-t-il dit. AP
| |
|
|
|
|
|
|
|
La Bombe Le Pen
15/09/2006 19:34
« Élysée 2007 : La Bombe Le Pen » : telle est la une de l’hebdomadaire L’Express publié jeudi arborant une photo du candidat national, tout sourire. Pour l’anecdote, faut-il y voir un signe du trouble qui gagne l’Établissement, le dossier de six pages réalisé par Romain Rosso consacré au porte-parole de la France française figure in extenso à deux endroits différents de ce magazine ! Pipolisation de l’information politique oblige, M Rosso ne manque pas de s‘attarder sur le look du candidat Le Pen et de dénicher un ou deux témoignages de frontistes anonymes contestant telle ou telle orientation ou décision de leur Président. La parole est aussi donnée à quelques sentencieux politologues ressortant en boucle toujours leurs même vieilles analyses. Cela fait partie du jeu. Pour autant, L’Express explique assez honnêtement à ses lecteurs pourquoi Jean-Marie Le Pen sera une nouvelle fois un élément clé de la présidentielle de 2007, s’attarde sur le travail fourni par les responsables frontistes pour faire gagner en efficacité, en crédibilité le Mouvement national. Est ainsi évoquée la prochaine mise en place des Comités d’action présidentielle (CAP) « couvrant les prérogatives des principaux ministères », et qui proposeront des mesures concrètes qui « seront budgétées ». Bref, les efforts de la droite nationale pour « montrer l’intérêt politique et économique qu’il y a voter Le Pen », indique Louis Aliot. Or, la « bombe Le Pen » a toutes les chances de réaliser un score canon, puisque jamais « (il) n’a été aussi haut dans les sondages sept mois avant le scrutin : entre 10 et 15% des intentions de vote, soit de 3 à 8 points de plus qu’il y a cinq ans », relève le journaliste de L’Express. Un Jean-Marie Le Pen qui part au combat, explique l’intéressé, sans esprit de recul : « si je subissais un échec, je ne me sentirais pas frustré ou déshonoré. Le résultat, au regard des galaxies, qu’est-ce que cela pèsera dans la débâcle des chances françaises ? Alors si je peux être un des éléments de la réaction populaire et nationale, tant mieux », indique-t-il. Directrice stratégique de la campagne, Marine Le Pen note pour sa part que « si Sarkozy et Royal incarnent la nouveauté et le changement, Le Pen aussi, parce que ses idées n’ont jamais été appliquées ».
| |
|
|
|
|
|
|
|
J.M. Le Pen raille Sarkosy
11/09/2006 20:05
Jean-Marie Le Pen raille Sarkozy
 NOUVELOBS.COM | 04.09.06 | 09:26
 Dans son discours de clôture de l'université d'été du FN, le frontiste a vivement critiqué la politique du numéro un de l'UMP, mais aussi Nicolas Sarkozy.
| |
 Jean-Marie Le Pen (AP) |
J ean-Marie Le Pen a réservé dimanche 3 septembre ses piques les plus acérées aux deux chouchous des sondages, Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal, qualifiés de "bulles médiatiques". Le président du Front national a raillé la politique de "rupture" prônée par le président de l'UMP et présenté l'élue socialiste comme "la madone des cabinets ministériels". Dans son discours de clôture de l'université d'été du FN à Saint-Martin-de-Crau (Bouches-du-Rhône), le chef de file de l'extrême droite s'en est surtout pris à Nicolas Sarkozy. "C'est lui qui ose venir nous dire aujourd'hui: 'je suis partisan de la rupture'. Alors, écoutez monsieur, dans la situation où vous êtes, il y a deux solutions: si vous êtes vraiment radical, vous devez vous tirer un balle dans la tête, et si vous êtes croyant, vous devez revêtir la bure et vous retirer dans une abbaye pour prier longuement sur les pêchés que vous ne cessez de commettre", a lancé M. Le Pen à l'attention du ministre de l'Intérieur.
Grande marche verte
Appelant les électeurs à préférer l"'option franche, loyale, résolue" qu'il défend depuis toujours, le leader frontiste a prédit qu'il se retrouverait au second tour de la présidentielle en 2007, comme en 2002, et que ce ne serait pas le cas de M. Sarkozy et de Mme Royal dont "depuis six mois nous sommes bassinés matin, midi, soir". "Je suis convaincu que ni l'un ni l'autre ne seront au second tour", a-t-il assuré. Dans un beau lapsus, M. Le Pen a parlé de Mme Royal comme de "Mme Sarkozy", avant de se reprendre, puis l'a réduite à un "gadget" utilisé par le Parti socialiste "pour se permettre de ne pas avoir de programme". Le président du FN a également pris pour cible la Commission européenne, accusée de brader l'agriculture européenne sur l'autel de la mondialisation, et a annoncé à cette occasion le lancement d'une "grande marche verte du Front national, de villes en villages, de départements en régions, des terres du Sud aux marches de Lorraine". Et d'ajouter que cette "caravane présidentielle au label France va partir dès cet automne pour vous soulever, ou vous mobiliser, et quand an printemps 2007 elle arrivera avec vous, rassemblée, alors paysans vous serez sauvés".
Immigration "planétaire"
Protégé du chaud soleil camargais par une casquette, Jean-Marie Le Pen s'est également exprimé longuement sur son principal cheval de bataille, l'immigration. Il a critiqué la régularisation des parents d'élèves clandestins, "probablement 10.000", décidée par Nicolas Sarkozy. Et d'affirmer: "l'immigration n'est plus seulement nord-africaine, elle est planétaire, on vient en France de tous les pays du monde". Pour lui, "dans tous ces pays, la jeunesse sans travail, sans espoir, n'en a qu'un seul, c'est venir en France gagner, sans travailler, cent fois plus qu'ils ont pu gagner en travaillant". Après avoir dénoncé la situation économique "désastreuse" de la France et notamment les délocalisations, le patron du FN a parlé de son âge pour dire qu'il ne se sentait pas trop vieux à 78 ans pour se présenter une nouvelle fois à la présidentielle: "Je ne suis pas en chariot, je ne suis pas en béquilles..."
Source : le nouvel observateur
| |
|
|
|
|