amarine

VIP-Blog de amarine

amarine
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

624 articles publiés
33 commentaires postés
1 visiteur aujourd'hui
Créé le : 03/08/2006 16:39
Modifié : 17/01/2012 21:22

(0 ans)
Origine :
Contact
Favori
Faire connaître ce blog
Newsletter de ce blog

 Septembre  2025 
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
01020304050607
08091011121314
15161718192021
22232425262728
29300102030405


| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |

[ multimédias ] [ Marine Le Pen ] [ Jean-Marie Le Pen ] [ Sujets divers ] [ Mes reflexions ] [ Les communiqués ] [ citations ]

La France a besoin du Front national

07/05/2007 18:07



PLUS QUE JAMAIS,
LA FRANCE A BESOIN DU FRONT NATIONAL

Depuis des mois Nicolas Sarkozy a donné la sensation aux Français qu'il reprenait les thèmes de Jean-Marie Le Pen.

Et les Français, craignant le retour de la gauche plurielle, ont jugé plus utile de porter ces idées au pouvoir en choisissant le candidat du système :
pourquoi pas ?

À l'évidence il s'agit là d'une victoire idéologique pour le Front National.


Mais sommes-nous bien certains, qu'une fois Président de la République, Nicolas Sarkozy pourra tenir ses engagements sur l'emploi, sur la fiscalité, sur l'identité nationale, sur l'immigration, sur la souveraineté, sur l'insécurité, sur l'éducation, sur la formation.
Rien n'est moins sûr !
D'une part, parce qu'il est au pouvoir depuis des années, et qu'il n'a rien fait en ce sens, et, d'autre part, parce qu'une majorité de députés UMP-UDF à l'Assemblée Nationale pourrait ne pas le suivre afin de préserver leurs propres intérêts particuliers et leurs réélections, comme ils le font à chaque fois.

Le nouveau Président de la République a donc besoin à la fois d'être rappelé à ses engagements et d'être surveillé pour appliquer les quelques éléments qu'il a repris de cette politique de renouveau national indispensable à l'avenir de notre Pays.
Qui, mieux que les candidats du Front national, peut garantir ce double objectif : exiger et surveiller.
Puisqu'ils défendent ces thèmes, ces idées, ce programme de renouveau national depuis plus de trente ans, seuls des députés FN peuvent tenir cette mission sans contrepartie et sans compromission, dans l'intérêt unique de l'avenir de la France.

AVEC DES DÉPUTÉS FN,

POUR QU'ILS TIENNENT LEURS PROMESSES !

Jacques VASSIEUX,
Secrétaire départemental de la Savoie,
Conseiller régional Rhône-Alpes

NDLR : dont nous partageons pleinement l'avis.






Sarkozy ne prendra pas de risque

06/05/2007 13:37



Sarkozy sera un président comme un autre

Si Nicolas Sarkozy devient président de la République, la France ne sera pas la proie des flammes. L’apocalypse ne fondra pas sur elle, les banlieues resteront calmes et tout le monde vaquera bien tranquillement à ses occupations. Car Nicolas Sarkozy, qui aime le pouvoir, à envie d’y rester. Et gouverner la France, ce n’est pas chauffer le palais omnisports de Bercy.

Le 7 mai, si Nicolas Sarkozy est élu, une majorité d’électeurs sera déçue. Passons sur les supporters de Ségolène dont on peut comprendre l’amertume si elle ne devient pas la première femme chef de l’Etat de notre pays. Parlons plutôt de ceux qui auront donné leur voix à Nicolas Sarkozy. Pourquoi donc seraient-ils déçus, ceux-là, puisque leur champion aura remporté la victoire suprême ?

Parce qu’un grand nombre d’entre eux aura élu un président qui ne tiendra pas ses promesses. Durant toute sa campagne Nicolas Sarkozy a agité les bras comme un sémaphore pour envoyer des messages aux électeurs du Front national. « Identité nationale », « prédétermination des pédophiles », « héritage de Mai 68 qu’il faut liquider » sont des signaux faciles à reconnaître par le moins politisé des électeurs. Avec ce chiffon rouge, ce leurre, il excite ses adversaires politiques et s’amuse de les voir tomber dans ce grossier panneau. Panneau dans lequel tombe du même coup la frange la plus réactionnaire de son électorat, qui s’imagine, ainsi que les ultralibéraux, que leur candidat va appliquer son programme à la lettre. Eux seuls, ainsi que la gauche, le croient. Ça fait du monde.

Certes, une fois élu et une fois les législatives pliées, Sarkozy s’appliquera à voter quelques lois symboliques qui ne plairont pas à tout le monde. Mais comment va t-il concilier la chèvre et le chou ? Comment appliquer une politique nationaliste et ultralibérale ? Les nationalistes sont contre l’Europe. Sarkozy n’est pas contre. Les nationalistes sont contre l’immigration. Sarkozy parle d’immigration choisie. Les nationalistes détestent les Etats-Unis, pas lui. Les réactionnaires veulent toujours plus de flics, mais Sarkozy n’a pas les moyens d’en mettre un derrière chaque citoyen. S’il veut gouverner la France d’une poigne de fer, il court le risque de blesser les modérés de son propre camp qui ne souffrent pas le désordre d’où qu’il vienne. Ni l’injustice (si elle est trop flagrante). Ces électeurs-là (constitués pour une part de bayrouistes) ne voudront pas d’une guerre civile. Parmi les parents d’élèves qui se sont mobilisés contre l’expulsion d’enfants étrangers l’an passé, il y avait des sympathisants UMP.

Un sondage Ifop paru dans Métro le 2 mai indique que 86% des Français souhaitent que le prochain gouvernement respecte la parité hommes-femmes, que 54% d’entre eux voient DSK en Premier ministre, suivi de Borloo (49%) et Kouchner (48%). Fillon ne vient qu’en septième position, à 26%... C’est un peu contradictoire avec ce que semble défendre le candidat de la droite. Il est vrai que les Français n’en sont pas à une contradiction près.

Une fois élu, Sarkozy sera juste un peu plus nationaliste et libéral que s’il était un président de gauche. C’est tout. Parce qu’il sera un peu plus président, donc pragmatique, que candidat, et qu’il ne veut pas avoir à gérer des banlieues qui brûlent et un mouvement social très dur. Il en aura un avant-goût, de toute façon, pas besoin donc qu’il en rajoute. Car pour parvenir au pouvoir il a semé la tempête. Sauf à méconnaître totalement l’histoire de ce pays, il aura intérêt à ne pas trop le brusquer. Les extrêmes ici sont volatiles comme de l’alcool à brûler. Une France sous tension ruinerait son projet. Il sera toujours temps de penser avec nostalgie à Mai 68. Ce qui adviendrait alors serait bien pire.

Différencier les honnêtes gens de la racaille, la province de Paris, ceux qui se lèvent tôt des assistés, etc. est un jeu qui devra se terminer le 6 mai à 20h01. Au lendemain des élections, Sarkozy va se retrouver devant une opposition plus soudée que jamais. Elle peut lui dire merci, c’est lui qui l’a reconstruite. Très vite il va lui falloir gouverner un peuple qui, pour moitié, lui est farouchement hostile et qui, pour moitié, sera déçue, car elle ne se retrouvera pas dans les actions de son nouveau chef qui sera devenu un président de la République comme n’importe quel autre.

Source : AgoraVox





Interview exclusif de Dieudonné

05/05/2007 11:42



Bonjour Dieudonné, alors, comment on peut soutenir à la fois Le Pen et Bové ?

Je n’ai pas soutenu la candidature de Jean-Marie Le Pen. J’ai effectivement sympathisé avec sa femme, qui est venue au Cameroun et nous a aidé dans cette lutte contre ce génocide Pygmée. Le seul lien que je peux avoir, effectivement, avec la famille Le Pen, c’est sur cette cause particulière. J’ai appelé à voter Bové. Comme j’appelle aujourd’hui à voter Royal, pour faire barrage à Sarkozy.

- Mais le fait d’être allé aux BBR, d’avoir rencontré Jany Le Pen au Cameroun, c’est quand même une façon de soutenir indirectement Jean-Marie Le Pen. Donc les gens peuvent interpréter que, au minimum tu le dédiabolises, et même éventuellement que tu l’aides à avoir des suffrages ! C’est en ce sens là qu’on peut interpréter que c’est un soutien. Donc comment tu gères cette question ?

Bon, l’aider à avoir des suffrages... Je sais pas si on peut avancer ce genre d’argument, étant donné la situation dans laquelle il se trouve aujourd’hui... Non, je suis pour un rapprochement, pour une grande réconciliation, un grand dialogue. Je pense que le dialogue entre l’extrême-droite et l’extrême-gauche est nécessaire. Il permettra de redonner aux débats politiques une vitalité et une pétillance. Je pense de plus qu’on diabolise les extrêmes, alors que ce sont eux qui justement ouvrent le champs de la réflexion de manière beaucoup plus large ! J’aimerais pouvoir discuter avec les extrêmes, et les entendre discuter entre-eux. J’aurais préféré un "Le Pen - Bové", au "Sarko - Royal" qui nous est imposé. Au moins, on aurait eu un choix...

- Et est-ce qu’à l’inverse, le contenu du résultat du premier tour, et la grande chute de Le Pen... Est-ce que finalement... Enfin, on pourrait se demander si tu l’as pas fait exprès pour nuire au Front National ? Quelle est ton idée de cette "contribution" ?

Est-ce que j’ai nuit au Front National ? Non, je ne pense pas. J’ai voulu comprendre. On m’avait montré du doigt ce parti, comme l’axe du mal. J’ai grandi avec ce schéma politique où l’extrême-droite était l’épouvantail. C’était l’ennemi numéro 1 des français d’origine africaine. J’ai été bercé dans cette doctrine jusqu’à ce que ma curiosité et mon sens critique me poussent à vouloir en savoir plus. J’ai voulu les connaitre. Dans une gymnastique supposée impossible, j’ai voulu ouvrir le dialogue et permettre une confrontation entre points de vue opposés. Ce rapprochement a demandé un effort mutuel considérable, tant dans mon environnement que dans celui de la famille Le Pen. Et en cela, je salue le courage et l’ouverture d’esprit dont ils ont fait preuve. Les extrêmes ne me font pas peur. Je me sens extrême aujourd’hui, dans mon attachement à la liberté d’expression, à la justice, et dans l’ouverture.

- On sent chez toi une forme de respect pour Monsieur Le Pen...

Beaucoup ne le respectent pas. Et lui apporter du respect vous rend irrespectable. A 78 ans, cet homme et sa famille portent tout le fardeau de l’ignominie. C’est injuste, car il n’a en réalité jamais représenté aucun danger. J’ai longtemps fait partie de la meute d’abrutis irrespectueux, je m’en excuse encore aujourd’hui. Et je confirme : Je le respecte.

- D’après toi, pourquoi est-ce que tu n’as pas été bien accueilli par l’équipe Bové ?

Alors, l’équipe Bové... Je pense qu’ils se sont refermés sur eux-même, comme une palourde. Ils se sont enfermés dans une posture sectaire de politicards à l’ancienne. José pouvait porter les espoirs d’une nouvelle gauche, à la Chavez, mais il s’est laissé endormir par la douce berceuse de la gauche libérale. Il n’est plus aujourd’hui qu’un alibi écolo-altermondialiste du néolibéralisme bobo. Il vient d’ailleurs d’être nommé chargé de mission par Ségolène Royal. Cruelle désillusion. Mais je ne lui en veux pas, car on ne peut pas imposer à un homme d’avoir du courage. En ces temps de disette, il a trouvé un boulot, tant mieux pour lui.

- Que s’est-il passé réellement au stade Charléty où tu allais annoncer ton soutien à Ségolène Royal ? Des médias parlent d’incident. A en croire les photos, tout semble s’être bien passé pourtant ?

Oui effectivement, c’était une après-midi bonenfant, le soleil était au rendez-vous, il y avait là une foule de gens, des citoyens anti-Sarko à la jeunesse socialiste. J’ai écouté un peu de musique, et j’ai foulé l’herbe grasse du stade pendant une bonne demi-heure, en serrant quelques mains. On m’a signalé par téléphone que la chaine BFM TV, qui retransmettait l’évènement en direct, attirait l’attention sur ma présence d’une manière alarmiste vers 18 heures trente, puis un peu plus tard que Ruth Elkrief, la coquine, interpellait publiquement à l’antenne le porte-parole Arnaud Montebourg à mon sujet ! Je ne sais pas s’il y a eu un rapport de cause à effet, mais j’ai noté quelques réactions hostiles, quelques tentatives de semer le trouble, tout d’abord marginales, puis c’est un groupe d’une quinzaine de personnes, qui semblaient investies d’une mission, qui s’est soudainement manifesté et a tenté, heureusement en vain, de faire réagir une foule qui était en fait plus préoccupée de ce qu’il se passait sur la scène que dans le public. Peu avant 19 heures j’ai jugé préférable de ne pas poursuivre ce petit jeu stupide et risqué, et comme toutes les portes publiques étaient fermées, j’ai demandé à des policiers d’être autorisé à sortir par une porte latérale. Certains n’ont noté que ce passage final croustillant, voilà tout.

- Pourquoi appeler à voter Royal ?

Je pense qu’il faut absolument aujourd’hui s’opposer au projet que porte Nicolas Sarkozy, car je juge ce projet raciste et élitiste, comme l’a très bien dit Lilian Thuram. En votant Royal, je ne vote pas pour le Parti Socialiste, que je continuerai à dénoncer pour son embourgeoisement. Sarkozy représente un danger pour la France, mais aussi pour le monde. En suivant comme un caniche son maître Bush, il risque de nous mettre dans une situation dangeureuse. Non, Monsieur Sarkozy, nous n’irons pas faire la guerre en Iran ! Sarkozy est l’homme qui, comme Georges Bush l’a fait pour les Etats-Unis, va entraîner la France dans une impasse. Avec un Sarkozy président, il sera dangeureux d’être français à l’étranger. Les seules destinations tranquilles pour le touriste français seront les Etats-Unis et Israël. Royal au pouvoir, n’apportera, j’en suis sûr, aucun progrès dans la société française, et poursuivra le processus de pourrissement du système, mais cela nous préservera au moins d’une guerre avec le monde musulman.

- Merci Dieudonné

De rien l’OGRES

*
Cette interview est libre à la recopie (CopID : copie libre non marchande). Les sites marchands sont simplement priés de bien vouloir signaler le site source et le "(CopID) lesogres.info"

SOURCE : http://lesogres.info/article.php3?id_article=3208






Début | Page précédente | 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 | Page suivante | Fin
[ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact amarine ]

© VIP Blog - Signaler un abus