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Quand Le Pen voulait rejoindre les FFI
15/04/2007 12:24
Article de L'Express, 29.03.07
 Commentaire :
Comme d'habitude, lorsque les journalistes sont contraints de reconnaître des qualités de Jean-Marie Le Pen, ils se torturent les méninges pour y ajouter des critiques mesquines et souvent infondées. En l'occurence, on ne voit pas pourquoi Jean-Marie Le Pen aurait eu de l'aversion pour les FFI, qui ont motivé leur refus par la valeur de sa jeune vie, aux yeux de sa mère veuve qui plus est. Si la demande d'engagement auprès des FFI de Jean-Marie Le Pen est un fait parfaitement objectif, les digressions psychanalytiques de Raymond Casas sont tout à fait arbitraires, d'autant qu'il ne connaît pas Jean-Marie Le Pen, ni personnellement, ni par le psy que Le Pen ne consulte pas.
Extrait du Comité national 2007 de soutien à Jean-Marie Le Pen
Colonel (h.) Henry ALBY (Haute-Garonne), président (h.) des Officiers de réserve de Haute-Garonne, IHEDN, officier de la Légion d'honneur, Croix de Guerre 1939-1945, 2 blessures, Bronze Star (USA), Valeur militaire, commandeur du Ouissam Alaouite (Maroc).
M. Jean BLANCHOT (Yvelines), expert-comptable (h.), commissaire aux comptes (h.), expert comptable judiciaire (h.), président d'honneur de l'Union professionnelle des Sociétés fiduciaires, chevalier de l'ordre national du Mérite, Croix de guerre 1939-1945, officier des Palmes académiques.
Mme Hervé de BLIGNIÈRES (Ille-et-Vilaine), veuve du Colonel Hervé de Blignières (ancien commandant du 1er REC, major de l'Ecole supérieure de guerre, plusieurs fois blessé et 7 fois évadé, officier de la Légion d'honneur, Croix de guerre 1939-1945 et des T.O.E).
M. René BORRICAND (Bouches-du-Rhône), homme de Lettres, éditeur, président fondateur de l'Association "Connaissance de la Provence", ancien de la Première Armée française en Allemagne, Valeur militaire, chevalier du Mérite agricole, officier de l'ordre national des Arts et Lettres, 6 fois lauréat de l'Institut de France.
M. Joseph BOULIC (Finistère), évadé de France, pilote des Forces aériennes françaises libres, pilote de ligne pendant 30 ans, père de 6 enfants.
M. Claude BRABANT (Cher), ancien combattant, réfractaire au STO, évadé de France (1943), agriculteur-éleveur, maire (h.) d'Annoix (30 ans), père de 7 enfants, chevalier du Mérite agricole.
Colonel (e.r.) Maurice CATALAN (Charente-Maritime), certificat national d'appartenance aux FFI, père de 6 enfants, chevalier de la Légion d'honneur, officier de l'ordre national du Mérite, croix de guerre des T.O.E., croix du combattant volontaire et diverses décorations étrangères.
Capitaine de Vaisseau (h.) Pierre CHESNAIS (Var), commandeur de la Légion d'honneur (6 citations), croix de guerre 1939-1945 et T.O.E., croix de la valeur militaire, croix du combattant volontaire de la Résistance, médaille de la Résistance, médaille des services volontaires dans la France libre.
M. Edouard FONTANA (Val-de-Marne), président de Chambre (h.) à la Cour d'appel de Paris, Croix du combattant volontaire de la Résistance, médaille de la France libre.
M. Paul GARD (Bouches-du-Rhône), magistrat (h.), chevalier de l'ordre national du Mérite, 1939-1945 et Algérie, président d'honneur de l'Association des oeuvres sociales et régionalistes de Château-Goubert et de l'Association Cap Saint Jacques d'aide aux réfugiés du sud-est asiatique.
M. Gilbert GARNIER (Alpes-Maritimes), résistant FFI dans l'O.R.A. au Corps Franc Pommiès, interné et déporté-résistant, évadé, chevalier de la Légion d'honneur, Médaille militaire, croix de guerre 1939-1945, médaille de la Résistance, médaille de Déporté-Résistant, médaille des Evadés.
M. Robert JACOB dit LUZIE (Corse), officier (e.r.), officier de la Légion d'honneur, commandeur de l'ordre national du Mérite, Médaille militaire, croix de guerre (10 citations).
M. René LAPÔTRE (Val-de-Marne), directeur commercial (e.r.), ancien du débarquement du 15 août 1944, Médaille militaire, Croix de Guerre 39-45 avec citation.
M. Francis MASSART (Gironde), combattant volontaire de la Résistance, interné-résistant, évadé, Croix de Guerre 1939-1945, chevalier des Palmes académiques.
Docteur Marcel PIACENTINI (Corse), médecin en chef (e.r.) du service de santé des Armées, chevalier de la Légion d'honneur, commandeur de l'ordre national du Mérite, combattant volontaire de la Résistance, médaille d'honneur du Service de Santé des Armées.
Docteur Jean-Jacques PLAT (Tarn), ancien combattant de la France Libre, chevalier de la Légion d'honneur, Médaille militaire, croix de guerre française et néerlandaise, médaille des évadés, croix du combattant volontaire de la Résistance, médaille du combattant.
Colonel (h.) Jacques RAVANELLO (Lot-et-Garonne), commandeur de la Légion d'honneur, Croix de Guerre 1939-1945 et des T.O.E., croix de la valeur militaire.
Mme Jacques ROBICHEZ (Paris), née Jeanne GÉRARD, agrégée de l'Université, croix des engagés volontaires, croix du combattant, médaille d'Italie (1943-1944).
M. Albert ROSSET (Ardèche), combattant volontaire 1944, conseiller d'Académie à l'Education nationale, conseiller régional Rhône-Alpes, secrétaire du Cercle national des Combattants Rhône-Alpes.
Lt Colonel (e.r.) André SAUBION (Haute-Garonne), officier de la Légionv d'honneur, croix de guerre 39-45 et des TOE, croix de la valeur militaire, médaille de la Résistance, croix du combattant volontaire et de volontaire de la Résistance.
Commandant (e.r.) Henry SOULHOL (Paris), historien, commandeur de la Légion d'honneur, croix de guerre des T.O.E. (3 citations), valeur militaire (6 citations), chevalier des Palmes académiques. engagé volontaire de la Résistance
Lt Colonel (h.) Marcel TIBERGHIEN (Nord), ancien de Jeunesse et Montagne (centre-école promo Weygand, maquis Renaud (Thollon) et CR6), puis Rhin et Danube, conseiller municipal, officier de l'ordre national du Mérite, Croix de Guerre 1939-1945.
M. Michel TINANT (Ardennes), ancien membre des réseaux francobelges des Forces françaises combattantes 1942-1944 et du mouvement "Libé-Nord" en 1944, Médaille militaire, médaille de la Résistance, médaille de la Résistance belge, croix du Combattant volontaire de la résistance, croix de la Valeur militaire.
IN MEMORIAM
Le Comité national de Soutien à Jean-Marie Le Pen conserve vivante la mémoire de ses membres qui ont apporté leur caution morale jusqu’à leur dernier souffle, et notamment de :
M. Yves AUBINEAU, ancien élève de l’Ecole normale supérieure, agrégé de mathématiques, officiers aux Forces françaises libres, médaille de la Résistance.
Mlle Rolande BIRGY, ancienne de la JOC (1928), membre du Sillon catholique (1930), de la CFTC (1929) et du MRP (1945), résistante (Réseau Valette d'Osia), croix du Combattant volontaire de la résistance, Yad-Waschem (titre de "Juste" décerné par l'Etat d'Israël, en 1884), membre de SOS Tout Petits.
Colonel Hervé de BLIGNIERES, ancien commandant du 1er REC, major de l’Ecole supérieure de guerre, plusieurs fois blessé et 7 fois évadé, officier de la Légion d’honneur, Croix de guerre 1939-1945 et des T.O.E.
M. Michel de CAMARET, ambassadeur de France, député au Parlement européen, Compagnon de la Libération.
Mlle Jeanne GAVOUYÈRE, Infirmière à la Croix-Rouge, chevalier de la Légion d’honneur, Croix de guerre Indochine à l’ordre de la division.
M. Augustin JORDAN, ancien ambassadeur, commandeur de la Légion d'honneur, Compagnon de la Libération.
Général Louis MARTIN, FFI, Croix de guerre 39-45, Croix de guerre TOE, grand officier de la Légion d’honneur.
Professeur Jacques ROBICHEZ, professeur (h.) à la Sorbonne, chevalier de la Légion d'honneur, officier de l'ordre national du Mérite, croix de guerre 1939-1945.
M. Jean-Marie VALLIER, ancien résistant, réfractaire au STO, maire (h.), ancien conseiller général de Haute-Loire.
Docteur Pierre WEBER, médecin e.r., docteur en médecine, lauréat de l'Académie de médecine, ancien maire de Nancy, conseiller général (h.) de Nancy (de 1945 à 1970), membre honoraire du Parlement (1958 à 1978), ancien membre du Conseil de l'Europe, médaille de la Résistance.
M. Antoine YSQUIERDO, commandeur de la Légion d'honneur, croix de guerre 1939-1945 et des T.O.E., valeur militaire, 14 citations.
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Vérité sur l'incident de Thizy
15/04/2007 12:20
vendredi 13 avril 2007 Vérité sur l’incident de Thizy
Communiqué de presse de Bruno Gollnisch
Hier, vers 14 heures 30, une caravane du Front National conduite par M. Geoffroy Daquin, candidat à l’élection législative sur la 8ème circonscription, a été violemment prise à partie par une bande ethnique. Le comportement perturbateur des membres de cette bande est réprouvé de la population locale, y compris d’une partie de la population d’origine immigrée.
Alors que, retardé, j’aurais du moi-même me trouver sur place, un véritable guet-apens a été tendu dans une rue de Thizy, comme la caravane circulait dans le bourg, à la demande d’une équipe de télévision de Canal+, ce qui suffit à exclure de toute évidence, sauf pour quelques imbéciles ou quelques malveillants, la possibilité que M. Daquin et ses amis aient pris l’initiative de l’agression.
Les deux camionnettes ont été bloquées dans une rue, l’un des meneurs ayant, sans doute avec un coup de poing américain, brisé une vitre, ce qui a conduit le conducteur à se défendre dans l’attente de l’arrivée de la gendarmerie, appelée par les militants du Front National, ce qui là encore démontre leur bonne foi.
Les gendarmes n’ont fait semble-t-il aucune interpellation dans la bande des agresseurs, parce qu’ils étaient dans l’impossibilité physique de le faire, ce qui laisse toute latitude à ces derniers de concocter ensemble une version des faits mirobolante qu’ils affirmeront, n’en doutons pas, avec effronterie, selon les techniques éprouvées.
En revanche, les gendarmes ont prié les militants du Front National de se rendre à la gendarmerie pour déposer, ce que ceux-ci ont fait très volontiers, respectueux des lois, de l’autorité, et sûrs de leur bon droit. Ce sont eux, naturellement, de ce fait, qui ont été gardés à vue, très au-delà de ce qui était nécessaire à la manifestation de la vérité.
J’apporte mon total soutien aux citoyens courageux et exemplaires qui accompagnaient M. Daquin. Je les approuve de s’être défendus. Je réclame la libération immédiate des deux militants encore gardés à vue. Je dépose plainte au nom du Front National pour entrave à la liberté d’expression, plainte qui s’ajoutera à celles déjà déposées pour guet-apens, coups et blessures, menaces de mort, violence en réunion, dégradation de biens privés,
La caravane de M. Daquin reprendra dans la 8ème circonscription du Rhône son circuit dès demain. Dans le souci de ménager le travail des forces de l’ordre, elle évitera provisoirement, les secteurs que ceux-ci ont indiqué comme étant « à risque », ce qui en dit long sur la dégradation de la situation dans cette région rurale naguère paisible.
J’attends de la puissance publique qu’elle condamne sévèrement ceux qui, par la violence délibérée, empêchent la libre circulation des opinions, particulièrement nécessaire en période électorale. Et qu’elle ne confonde pas les agressés avec les agresseurs.
Je me réserve de venir à Thizy accompagné de M. Daquin dans la suite des campagnes présidentielle et législative.
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Le FN ne veut pas d'une "aumône"
15/04/2007 12:03
Le FN ne veut pas d'une «aumône»
Il prône la proportionnelle, mais n'entend pas être acheté par l'UMP.
Si Brice Hortefeux voulait ramener le FN à de meilleurs sentiments à l'égard de Nicolas Sarkozy via la proportionnelle aux législatives, c'est raté. Loin d'accueillir cette annonce avec joie, le FN la rejette. «Nous réclamons depuis des années la proportionnelle intégrale. Pas une aumône, pas un pourboire», s'énerve Bruno Gollnisch, le numéro deux du parti d'extrême droite, qui revendique «juste une place conforme à [leur] poids dans la vie politique française».
«Cynisme». En 1986, grâce à la proportionnelle instituée par François Mitterrand pour affaiblir la droite républicaine, le FN avait fait son entrée à l'Assemblée nationale avec 35 députés. Mais depuis 1988, avec le retour au scrutin majoritaire, le parti de Le Pen est absent des bancs du palais Bourbon. Pour les responsables frontistes, l'évocation de la proportionnelle par un proche de Sarkozy équivaut «à une promesse électorale de bas étage». «Il cherche à adresser un clin d'oeil à nos électeurs et à ceux de la gauche radicale», se fâche le député européen Carl Lang. Pour le FN, il ne s'agit là que d'une simple manifestation de «l'opportunisme» du président de l'UMP. «La proposition de Brice Hortefeux traduit simplement un immense mépris et un immense cynisme à l'égard des électeurs du Front national, considérés comme des parias. Ces gens-là ont l'habitude d'acheter les gens», poursuit Marine Le Pen.
Triangulaires. Privée du renfort de l'UDF de François Bayrou, l'UMP pourrait être tentée de trouver un renfort et quelques supplétifs parlementaires du côté du FN. «Si c'est là le but, alors ils vont être méchamment déçus. Il n'est pas question pour nous de jouer les Gianfranco Fini [ancien leader néofasciste, fondateur d'Alliance nationale et allié avec Silvio Berlusconi en Italie, ndlr] de la droite française ou ce qu'a été le PCF pour le PS», tranche Marine Le Pen. Le FN prend d'autant plus haut la proposition de Brice Hortefeux qu'il pense réaliser un très bon score aux législatives et décrocher quelques députés. «Pour la première fois, depuis trente ans, il n'y aura pas de candidatures uniques de la droite. Nos concurrents vont s'émietter», prédit même Bruno Gollnisch. Le délégué général du FN considère alors que les candidats frontistes pourraient remporter la victoire dans le cadre de triangulaires face à l'UMP et à l'UDF.
source : libération.fr
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