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Ce qu'ils vous réservent

16/04/2007 18:02



Sarkosy, la posture et l'imposture

 

A force de vouloir plaire à tout le monde et de communautariser son discours on en vient à mécontenter tout le monde. L’opportunisme est l’attribut de la dialectique sarkozienne.

En 5 ans, Sarkosy a dit tout et son contraire.

Il y a un décalage entre ce qu’il dit et les faits : "Je suis fier de mon bilan que nul ne peut contester »  répétait-il encore en mars dernier.

- La lutte contre l’insécurité qui l’avait porté au pouvoir en 2002 est pourtant l’un de ses principaux échecs. En 5 ans, les violences contre les personnes ont augmenté de 13,9%, la France a connu des émeutes comme nulle part ailleurs en Europe, et l’insécurité s’étend aux zones rurales. Pour la seule année 2005 ce sont près de 12 millions de crimes et délits qui ont été recensés par l’Observatoire national de la délinquance.

- Autre fiasco la lutte contre l’immigration clandestine pour laquelle il avait décrété la « tolérance 0 » à son arrivée. Dans les faits, on trouve une autre stratégie, celle de la régularisation en catimini. Pour ne prendre qu’un ex illustrant cette imposture : le 31/10/05, il publie une circulaire suspendant l’expulsion des parents d’enfants étrangers en situation irrégulière. Le 13 juin 06, une deuxième circulaire régularise 6924 clandestins. Sur les 26614 qui sont déboutés de leur demande, quelques dizaines seront finalement expulsés.

54 % des Français désavouent son bilan et pensent que le gouvernement ne lutte pas assez contre l’insécurité.

- Quand Sarkosy plaide pour la discrimination positive et rappelle que « La France est diverse et qu’il ne faut pas avoir peur de la diversité », une majorité de Français (51%) considèrent que l’immigration n’est pas une chance pour la France (sondage Ifop du 5 mars 07)

Il fait une politique de l’attrape-tout porteuse de confusion que ne peuvent ignorer les électeurs.

- Ainsi quand le candidat de l’UMP affirme le 12 mars 07 dans la presse, ‘je défends une identité française fondée sur un certain nombre de valeurs sur lesquelles je ne transigerai pas : la laïcité, l’égalité entre les homme et les femmes », il contredit ses actes de ministre de l’intérieur qui a crée en 2003 le Conseil français du culte musulman, dont la principale organisation réaffirme que « le Coran est notre Constitution, il régit notre vie ».

 

Finalement, Sarkosy a aussi une politique très à gauche puisque c’est lui qui a mis fin à la double peine et qui a confié une mission sur la diversité à Basile Boli, par exemple. Il ne se bat même pas contre la polygamie galopante en France !!

 

De plus, ses statistiques sont truquées et Sarkosy se rend complice de véritables mensonges éhontés.

 

 

 

 

 

 

 

 

1/ Il nous dit : « La délinquance générale a baissé de 9,4% depuis 2003. »

Or, les différentes institutions ne sont pas d’accord entre elles ! Par ex, pour 2006, le ministère de l’intérieur a parlé de 3,7 millions d’infractions alors que pour la même année l’enquête de victimisation de l’INSEE-OND aboutit elle, à 12,4 millions de crimes et délits.

Les gens lassés de l’inefficacité de la police, ne déclarent même plus la plupart des atteintes aux biens et aux personnes, et d’évidents trucages statistiques permettent de diminuer les chiffres « officiels ». Ainsi ne sont pas comptabilisés dans le comptage global les plaintes enregistrées en main courante, les contraventions (injures, menaces, violences légères) ainsi que les infractions routières, douanières et fiscales.

 

 

2/ Il nous dit « Le nombre de voitures brûlées lors de la dernière nuit du 31 décembre 2005 est inférieur à l’année précédente. »

D’après une enquête conduite par Europe 1 auprès des préfectures en date du 1er janvier 06, le nombre de voitures brûlées lors de la St Sylvestre est 70% plus élevé que le chiffre fourni par le ministère de l'intérieur le 1er janvier au matin. Il y en aurait 683 et non 396 ! La cause de cet écart ? La Direction générale de la Police a refusé de fournir un autre bilan que celui de 6 heures du matin ! Ce bilan n’a jamais été réactualisé, or on sait que tout au long de la journée, des gens découvrent que leur voiture a brûlé et le déclarent à la police.

 

3/ Il nous dit « je suis fier d’être le ministre de l'intérieur a fait reculer la peur »

De l’aveu même de ses services officiels, entre 2002 et 2006, les violences contre les personnes ont augmenté de 12,45 %. Les violences gratuites de 27,50%. Entre 1970 et 2006, le taux de criminalité est passé de 22 pour 1000 habitants à plus de 60 pour mille… Et la peur aurait reculé ?

 

Les débats sont interdits.

 

4/ On nous dit « Il n’y a pas de lien entre délinquance et immigration étrangère. »

Or, en 1994 déjà, le rapport parlementaire Dell’Agnola révélait que 60% des personnes interpellées par les différents services de sacurité publique étaient étrangères. En 2004, les synthèses de la police nationale révèlent que 60% à 70% des délinquants sont issus de l’immigration (Journal Le Point du 24.06.2004, p.28). L’ancienne commissaire des RG Lucienne BuiTrong révèle que 85% des auteurs de « violences urbaines » sont d’origine maghrébine (Violences urbaines, des vérités qui dérangent, Bayard, oct 2000)

 


ROYAL, ou la politique du vide.

 

Elle patauge dans le néant programmatique et se retrouve plombée dans un projet d’une vacuité rare que 65% des Français jugeaient déjà peu mobilisateur en juin 06.

Son projet n’est pas précis, sans chiffrage cohérent comme l’a dénoncé Eric Besson, chargé des questions économiques et démissionnaire du parti.

Mme ROYAL incarne une candidature de l’apparence, avec des propos hâtifs et choquants sur la rapidité de la justice chinoise, aux carences manifestes sur des sujets clés. Elle navigue à vue depuis des semaines, défendant un jour la dissuasion nucléaire et promettant un autre jour d’affecter à l’école les crédits du deuxième porte-avions.

Il n’y a pas un sujet où la candidate socialiste ne se prenne les pieds dans le tapis de ses contradictions. Interrogée sur l’immigration, elle affirme ne pas envisager de régularisations massives de clandestins, mais plaide ensuite pour une politique plus ouverte en matière de droit d’asile dont on sait qu’il est devenu, au fil des ans, un asile économique et une machine à fabriquer des clandestins.

Le financement des retraites, l’avenir des 35 heures, la protection sociale, la fiscalité, le nucléaire, sont autant de dossiers clés, où l’argumentation reste évasive.

 

 

BAYROU, ou la contrefaçon.

 

Il se dit candidat anti-système en s’appuyant précisément sur le système ! Symbole du clientélisme électoral en toute occasion. « Je suis partout », telle est la stratégie du candidat Bayrou. Airbus plongé dans la crise, il se précipite recueillir les doléances des salariés de Toulouse ; une réunion organisée sur le Darfour par les bonnes consciences humanistes et, mine de circonstance, il compatit aux côté de S. Royal et Kouchner. Le terroriste italien Battisti arrêté au Brésil, et Bayrou mêle sa voix à celle de l’extrême gauche pour s’inquiéter d’une possible extradition, au point de s’attirer les hommages du député écolo-rouge Yves Cochet.

Obsédé par les sondages, il veut ratisser large. Il n’est plus candidat de l’UDF mais de tout le monde. Alors, qu’importent les contorsions idéologiques et les revirements programmatiques. Enseignants dans la rue et Bayrou se fait le porte-étendard de leurs revendications, lui qui fut le ministre de l’Education nationale le plus contesté de ses dernières années. La Constitution européenne en panne, il plaide pour un nouveau référendum dont il loue les vertus après en avoir été un des plus fervents détracteurs quand il siégeait dans le gouvernement Juppé.

Face au francs-maçons, M. BAYROU clame son attachement à la laïcité, oubliant qu’il fut un opposant à la loi sur le voile à l’école.

Inclassable, Bayrou brouille les cartes et inquiète ses électeurs, dont 62% déclarent ne pas être sûrs de leur choix.

 

 

source : FDA du mois d'avril 2007






Ils veulent nous faire revoter le texte de la constitution européenne d'ici 2009

15/04/2007 14:10



L'UMP donne des gages à Berlin

Pour montrer sa bonne volonté de recycler la Constitution européenne rejetée par le peuple français le 29 mai 2005, l'UMP a missionné à Berlin un certain Pierre Lequiller, député de la 4ème circonscription des Yvelines. Président de la délégation pour l'Union européenne à l'Assemblée nationale, il propose un quasi copié/collé du texte refusé par 55% de ses concitoyens, avec un nouveau titre évitant le terme "Constitution", un peu trop explicite sur le but poursuivi d'achever l'érection d'une Europe-Etat.



L'UMP donne des gages à Berlin
 
  
On se souvient que le ministre-candidat-président de l'UMP avait plaidé à l'automne pour un "mini-traité" (comme s'il s'agissait d'un simple problème de taille...), mais reprenant en réalité intégralement les parties I et II du traité constitutionnel rejeté, pour faire ratifier par les députés et sénateurs ce que le peuple français a refusé par la voie référendaire. Ségolène Royal l'avait imité la semaine dernière à Luxembourg en y ajoutant un peu de "social" en annexe mais en proposant, elle, plus démocrate, un nouveau référendum en 2009. A force de leur reposer sans cesse la question, les Français vont bien finir par se lasser et dire "oui", non ? Surtout et comme son concurrent de droite, elle entend changer l'emballage de la Constitution européenne aménagée à la sauce Royal. La candidate socialiste en a ainsi profité pour poursuivre son oeuvre d'innovation sémantique, en rebaptisant l'affaire "traité fondamental de base", pléonastique et tout aussi énigmatique, pour le monde juridique, que ne le fut l'oxymorique "traité constitutionnel". 

On prend les mêmes et on recommence

M.Lequiller propose, lui, à la présidence allemande de l'UE, de renommer la Constitution européenne recyclée "traité institutionnel". Dans Le Monde daté d'hier, M. Lequiller avoue en creux qu'il n'a pas cherché à tirer les leçons du "non", leçons qu'il n'a sans doute même pas comprises d'ailleurs. "Ce traité garde la première partie du traité constitutionnel, qui fixe les objectifs, les valeurs de l'Union et ses instruments institutionnels. Elle serait complétée par les dispositions des troisième et quatrième parties" nouvelles par rapport aux traités existants et qui apparaissent "indispensables à la mise en oeuvre" de la première partie. Il s'agit du service européen pour l'action extérieure (diplomatie européenne), du vote à la majorité qualifiée en matière de politique étrangère et de sécurité (PESC), de l'actualisation des missions de Petersberg dans le domaine de la sécurité et la défense, de la coopération structurée en matière de défense, des nouvelles règles d'établissement du budget annuel, de la procédure de révision simplifiée (dite clause passerelle générale permettant de faire passer certains domaines de l'unanimité à la majorité qualifiée) et de la codécision. 

Résumons-le : la partie I en intégral, les dispositions "importantes" de la partie III ici énumérées, mais aussi, la partie II, c'est-à-dire la Charte des droits fondamentaux, cette fois renvoyée "en annexe" pour la rendre peut-être moins effrayante à ceux qui sont encore un peu attachés aux droits et libertés issus de 1789, de la IIIème République et du préambule constitutionnel de 1946. Et M. Lequiller de préciser que les dispositions du nouveau traité prévaudront "sur toute disposition contraire des traités existants", évidemment.

Constitutionnalisme honteux

Membre de la fameuse "Convention" non-élue présidée par Giscard, qui a rédigé, sans en avoir reçu formellement mandat et dans une incroyable opacité, le projet de Constitution européenne, le député Lequiller estime qu'il faut renoncer à ce stade, au terme de "Constitution", qui, indique-t-il, "induit une ambiguïté en laissant penser que l'Union est un Etat". Il se moque bien sûr un peu du monde mais, "à ce stade" comme il dit, c'est juridiquement exact : tant que les ex-articles 6 et 7 (partie I) en particulier ne sont pas en vigueur, on ne peut pas tout à fait encore parler d'Etat s'agissant de l'Union européenne.

En revanche, une fois ces deux dispositions-clés ratifiées, que ce soit via le "mini-traité" de M. Sarkozy, le "traité fondamental de base" (décidément on ne s'en lasse pas...) de Mme Royal ou le "traité institutionnel" de ce M. Lequiller, plus personne ne pourra douter de ce que l'Union européenne est bel est bien devenue un Etat à part entière chapeautant des Etats fédérés lui ayant transféré leur souveraineté. L'article 6 proclame en effet pour la première fois, ce que seule la Cour de Justice avait osé faire jusqu'ici dans une déplorable indifférence : la primauté absolue du droit fédéral sur le droit des Etats membres y compris leur Constitution.
Quant à l'article 7, il dote l'Union européenne de la personnalité juridique ce qui, conformément à une jurisprudence bien établie (AETR, 31 mars 1971) et même le simple bon sens, entraîne la substitution de l'UE aux Etats-membres dans les relations et les organisations internationales. Combien de temps croit-on maintenir le siège permanent de la France, comme celui du Royaume-Uni, au Conseil de sécurité des Nations Unies, lorsque l'UE sera devenue personne juridique à part entière, indépendante des Etats qui la composent, dotée d'un Ministre des affaires étrangères avec ses services diplomatiques qui usent et abusent déjà du titre d'"ambassadeur", et d'une politique étrangère et de sécurité désormais votée à la majorité qualifiée ?
Les eurodéputés UMP et PS ont à plusieurs reprises au cours des dernières années, approuvé des rapports (à commencer par la fameuse résolution Laschet en 2004) pour doter l'UE d'un siège de membre à part entière à l'ONU, ce qui signe ipso facto la fin du siège des Etats qui en sont membre. On n'imagine pas un ambassadeur du Texas ou de la Californie siégeant aux côtés de celui des Etats-Unis. D'ores et déjà, dans les négociations internationales, à l'OMC par exemple, les Etats doivent s'effacer derrière le mandat donné à la Commission européenne (indépendante et irresponsable politiquement).  

Fédéraliste honteux, M. Lequiller n'ignore pas, depuis bientôt vingt ans qu'il a quitté le guichet de la banque pour siéger au Palais Bourbon, que l'intégration supranationale qu'il soutient avec enthousiasme traité après traité, conduit à une Etat fédéral. Une fédération d'un type certes nouveau, puisque sans fédérateur, faute de peuple européen, face à laquelle les Etats-Unis ou l'Allemagne, fédéraux eux aussi, apparaissent comme des contre-modèles.

Monnet, plutôt que de Gaulle

Après tout, pourquoi le Politique ne pourrait-il pas franchement avouer qu'il entend bousculer une fois de plus dans l'Histoire, les réalités nationales, culturelles, politiques, pour se lancer dans une nouvelle expérimentation supranationale sur notre bon vieux continent ? L'UMP et le PS ont parfaitement le droit de faire, chacun avec ses nuances, le choix de l'Europe-Etat plutôt que celui de l'Europe des Etats, le choix de Monnet plutôt que de Gaulle. Mais de grâce, qu'ils cessent de s'en défendre à tout bout de champs, et qu'ils l'assument pleinement devant les Français, à l'instar de l'UDF qui en a fait son identité sur la scène politique et qui se porte plutôt bien. Pas dupes, les 55% de Français qui ont voté "non", peut-être 60% aujourd'hui si c'était à refaire disent-les sondages, n'ont pas eu besoin de réussir l'agrégation en droit communautaire, pour comprendre l'enjeu de la constitutionnalisation de l'Europe, peu importe le nom que l'on donne au Traité.

Le succès de la bonne vieille méthode de "l'Inspirateur" Monnet - que l'on peut résumer ainsi : les problèmes créés par l'intégration trouveront leur solution dans toujours plus d'intégration - repose largement sur la relative dissimulation du but final : faire disparaître les anciennes nations, jugées guerrières, au profit d'une entité supranationale, intrinsèquement pacifique, bien que toute l'Histoire démontre exactement l'inverse. Et c'est sans doute le tort du projet constitutionnel rejeté le 29 mai d'avoir rompu avec la méthode Monnet, en affichant pour une fois, assez franchement la couleur. En s'intitulant "Traité établissant une Constitution pour l'Europe", nul ne pouvait plus ignorer que l'on jetait les bases d'un futur et véritable Etat au sens du droit international.

Une Constitution de fait

Il s'agissait en effet juridiquement d'un "Traité" conclu entre Etats, qui une fois adopté, devenait leur nouvelle et commune "Constitution", c'est à dire la loi fondamentale du super-Etat en gestation. En effet, et quel que soit son nouveau nom de baptême et les aménagements formels à venir, le futur traité, qui sera visiblement un copié/collé du précédent, prévoira donc tout ce que contient toute Constitution de tout Etat : une organisation des pouvoirs publics édictant des lois supérieures, la personnalité juridique propre du nouvel ensemble, des droits fondamentaux proclamés et sanctionnés en dernier ressort par une Cour de Justice, toute la sémantique étatique ("lois européennes", "Ministre" etc.), jusqu'aux symboles du pays-continent (son hymne, son drapeau, sa devise).  

La proposition de l'UMP intervient à quelques jours d'une réunion à Madrid des 18 gouvernements qui ont ratifié la Constitution (dont toutefois 16 par leurs Parlements faut-il rappeler), à l'initiative des gouvernements espagnol et luxembourgeois, pour "faire pression", comme dit le Ministre allemand Steinmeier, sur ceux qui ont osé dire "non" (France, Pays-Bas) et ceux qui pourraient bien en faire autant (Pologne, Grande-Bretagne, République Tchèque notamment). Décidément, plus on "fait" l'Europe, plus elle se défait. 







Clip sur la campagne présidentielle de Le Pen

15/04/2007 13:03



belle vidéo !





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