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Les renards et le poulailler
27/05/2007 12:09
LES RENARDS ET LE POULAILLER
Une famille de Renards vient de s'introduire dans le poulailler. Les volailles tiennent conseil.
La Pintade (sûre d'elle) : il y a suffisamment d'espace dans notre poulailler pour accueillir de nouveaux animaux. Nous pouvons très bien accepter une famille de Renards et cohabiter avec elle. Ce sera un enrichissement pour tous ! Le mélange d'animaux différents est source de richesses. Regardez, nous cohabitons bien entre chapons, dindons et pintades. Pourquoi rejeter le Renard ? C'est un vertébré à sang chaud comme nous. Seul le pelage est différent. Peut-on rejeter un animal au seul motif qu'il ne porte pas de plumes ? Vive la diversité !
Le Dindon (plein de dignité) : je ne partage pas exactement votre point de vue. Pour moi, l'important est l'Intégration. Les Renards peuvent vivre dans notre basse-cour s'ils respectent nos lois. J'ai confiance dans le Rayonnement Universel de notre Poulailler. C'est un modèle que nous envient tous les animaux. Il est destiné à être exporté vers l'extérieur, dans les forêts et les prairies. Le monde ne sera plus qu'un vaste poulailler où nous pourrons tous aller et venir librement. Je suis tout à fait confiant, les Renards reconnaîtront les inestimables avantages de notre mode de vie et l'adopteront.
Le Chapon (un peu timoré) : je sais que vous avez raison tous les deux. Mais ne peut-on pas envisager un retour des Renards dans la forêt ? Dans le respect du Droit et de la Dignité bien entendu. On pourrait leur proposer une aide au retour sous la forme d'un sac de grains. On peut également envisager une coopération avec la forêt en vue de réinsérer les Renards dans leur espace naturel.
La Pintade (révoltée) : quelle idée nauséabonde ! Rejeter l'Autre sous prétexte qu'il est différent ! Cela rappelle les heures-les-plus-sombres-de-notre-basse-cour !
Le Dindon (indigné) : C'est vrai ! Pendant des siècles les Renards ont été nos ennemis. Mais les temps ont changé. Nous ne devons plus avoir peur d'eux. D'ailleurs, les Renards nous affirment qu'ils sont maintenant tolérants. Il faudrait vraiment qu'ils soient rusés et mal-intentionnés pour nous mentir de la sorte. Or, le renard n'est pas un animal rusé...
A l'écart du poulailler, le Chien observe la scène avec amusement en se demandant combien de volailles seront croquées avant qu'on fasse appel à ses services…
Question : devinez le nom du Chien...
source : http://www.fn06.net/
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FDA du 23/05/07
26/05/2007 14:51
Leur objectif, le nôtre
Alors que comme le rapporte Le Figaro en date du 23 mai, Nicolas Sarkozy s’engagera tout au long de la campagne des législatives « pour continuer sa croisade » visant dit-il à la « destruction du FN » -un objectif bien évidemment en totale contradiction avec les motivations des électeurs nationaux qui ont voté pour lui à la présidentielle- l’opposition nationale s’attachera elle a présenter ses propositions positives pour sortir la France de l’ornière et à mettre en exergue les mensonges et la nocivité de la droite mondialiste. Comme le soulignait Louis Aliot dans L’Indépendant (édition du 22 mai) « l'une des problématiques de ce premier tour est de savoir où le niveau du FN va être au premier tour du scrutin. Une autre inconnue concerne le poids des centristes. On regardera ça avec attention. A nous de remobiliser les troupes et d'expliquer aux citoyens qu'ils se sont trompés en votant Sarkozy. J'en veux pour preuve la nomination de Kouchner ou la position du nouveau président sur le traité Européen. J'en appelle aux électeurs qui se trouvent aujourd'hui désorientés par cette façon de faire la politique de voter en masse pour le FN au premier tour ».
Sarkozy trahit déjà
Jean-Marie Le Pen a exprimé sans surprise des préoccupations du même ordre. Intervenant dans l’hémicycle du Parlement européen à Strasbourg le 22mai a souligné que « les eurocrates de la Commission et du Conseil ont dû pousser un immense soupir de soulagement au soir du 22 avril. Pour eux, Royal ou Sarkozy, UMP ou PS, c'était la garantie que la Constitution européenne, pourtant rejetée massivement par deux peuples en 2005, allait être remise sur les rails, au mépris de la démocratie (…). Il valait même mieux, à vos yeux, Sarkozy que Royal, puisque le premier entend faire ratifier la Constitution par le Parlement, là où la seconde prétendait encore avoir quelque chose à faire de l'expression populaire. Après la nomination aux affaires européennes, d'un ministre et d'un secrétaire d'état socialistes et à peine la passation de pouvoir terminée entre l'ancien et le nouveau Président de la République, M. Sarkozy s'est précipité à Berlin, confirmer la ratification parlementaire, son attachement au Super-Etat européen et sa volonté de n'être que le gouverneur d'une province européenne (…). Elu par 53 % des Français, M. Sarkozy trahit déjà les aspirations d'une bonne partie d'entre eux. Et notamment des 55 % de citoyens de droite, comme de gauche, qui ont voté NON en mai 2005 ». Jean-Marie Le Pen, à l’instar des dirigeants et militants FN, mènera une campagne de terrain active pour remobiliser les patriotes derrière les candidats frontistes, visitera toutes les régions de France : il sera ainsi notamment le 25 mai à Perpignan, Toulon et Marseille, le 26 à Ajaccio et Lyon, le 30 à Lille et Reims, le 31 à Nancy et Mulhouse, le 1er juin à Be¬sançon et Bourges…
Colossale finesse et vigilance
Le peu sympathique Guy Carlier au cours de sa rubrique du 23 mai sur France Inter a attiré avec gourmandise l’attention de ses auditeurs sur la « Une » de l’hebdomadaire VSD consacrée à « la nouvelle vie du couple Sarkozy » où l’ont voit Nicolas et Cecilia s’embrasser avec passion sous les ors du palais de l’Elysée. Mais une « Une » à tiroir en quelque sorte puisque celle-ci se déplie pour faire apparaître une publicité pour une marque de voiture -non pas hongroise mais tchèque- où l’on aperçoit le véhicule en question survolé par un avion duquel s’échappe une bulle dans laquelle il est écrit : « c’est pas ta nana qui se tire ? ». M Carlier a évoqué « un numéro collector » alors que d’ores et déjà cette « Une » de VSD –joli coup de pub- circule sur différents sites internet qui n’ont pas manqué d’y voir une allusion subliminale aux escapades londoniennes de Cecilia. Si M. Sarkozy à le droit le plus strict au respect de sa vie privée -les medias français ont sur le sujet une retenue que n’ont pas ses homologues anglo-saxons notamment-, d’aucuns ont rétorqué que M celui-ci n’ pas manqué par le passé de mettre en scène sa famille à des fins électoralistes, dans le plus pur style « américain » pour lequel il éprouve une empathie évidente…Reste que la colossale finesse de VSD devrait lui valoir l’attention du nouveau président de la République qui, selon certains, aurait fait pression pour faire interdire une article du JDD concernant le fait que Cécilia Sarkozy n’aurait pas voté au second tour. Comme l’a alors noté un communiqué de Reporters sans frontières, « le respect de la vie privée est une notion essentielle, mais celle-ci ne doit, en aucun cas, être utilisée pour dissimuler des informations qui, à n’en pas douter, relèvent de l’intérêt général. Or, nous avons tous en tête le précédent de l’éviction d’Alain Genestar de la direction du magazine Paris Match, également propriété du groupe Lagardère, à la suite de la publication, en août 2005, d’une photographie de Cécilia Sarkozy avec son compagnon de l’époque. Dans ce contexte, (…) Reporters sans frontières appelle à la vigilance des journalistes. Etant donné les liens d’amitié entre Nicolas Sarkozy et plusieurs propriétaires de groupes de presse, Reporters sans frontières sera extrêmement vigilant en ce début de quinquennat et dénoncera tout ce qui pourrait s’apparenter à des pressions des pouvoirs publics ». Une exigence démocratique à laquelle pour le coup le Front National ne peut que souscrire.
Quand Roger dit à Nicolas qu’il préfère Bernard à Hubert
Mais dans le domaine des pressions diverses et variées, Le Canard Enchaîné dans son numéro de la semaine dernière affirme que le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) -qui ne représente pas, loin s’en faut, l’opinion de tous nos compatriotes de confession juive- serait intervenu directement auprès du nouveau président de la République. Et ce pour faire barrage à la nomination un temps avancé d’Hubert Védrine au poste de ministre des Affaires Etrangères –qu’il occupa de 1997 à 2002-, ministère qui a finalement échu comme chacun le sait au supplétif du nouvel ordre mondial Bernard Kouchner. Catégorie dans laquelle il est vrai on ne peut ranger M. Védrine qui, bien qu’ayant cautionné l’agression de l’Otan contre la Serbie en 1999, reste globalement un défenseur du concept d’Etat-nation, de l’indépendance française et européenne face au mondialisme états-uniens. Dès que les dirigeants du Crif ont appris que le nom de Védrine circulait pour le quai d’Orsay affirme Le Canard enchaîné, « Roger Cukierman, président sortant du Crif, a appelé au téléphone Claude Guéant –Secrétaire général de l’Elysée- pour une violente mise en garde. "On a eu une réunion au Crif, aujourd'hui, et la rumeur d'une nomination de Védrine aux affaires étrangères a circulé. Cela a provoqué la panique parce que, pour nous, Védrine est pire que les anti-israéliens habituels du Quai d'Orsay." Un peu plus tard, Cukierman a joint directement Sarkozy et lui a dit que la communauté juive prendrait la nomination de Védrine comme un "casus belli". Il faut le comprendre : Cukierman et ses amis avaient fait campagne pour Sarko en expliquant que la victoire de Ségolène provoquerait le retour de Védrine au Quai ! » affirme encore l’hebdomadaire. Lequel explique cependant dans son édition en date du 23 mai que ce sont les exigences de Védrine –lesquelles ?- qui ont rendu impossible sa nomination et que Sarkozy ne désespère pas de lui confier une mission.
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Intervention de J.M Le Pen au Parlement européen
26/05/2007 14:45
Auteur : Jean-Marie Le Pen
Date : mardi 22 mai 2007
Sujet : Intervention au Parlement Européen sur le rapport Caspary et sur l'Europe Mondialisée
Monsieur le Président,
Le rapport du démocrate-chrétien allemand Caspary sur l'Europe mondialisée expose de manière presque caricaturale les bienfaits de la mondialisation et de la politique commerciale de l'Union Européenne.
En effet, il ne lui trouve que des avantages : ouverture des marchés, en particulier les marchés publics, compétitivité renforcée, bienfaits de la concurrence, libre-échange planétaire, avec un petit bémol sur les droits de la propriété intellectuelle.
A l'inverse le protectionnisme est condamné sans appel et les droits de douane sont voués aux gémonies comme des outrages insupportables au Dieu commerce.
Face aux ultras-libéraux tout puissants du Parlement Européen et de la Commission Européenne, il sera intéressant de voir ce que va faire le Gouvernement de M. Sarkozy pour défendre nos entreprises, en particulier nos PME/PMI, notre agriculture ou nos services publics ?
L'Europe étant déjà l'ensemble économique du monde le plus ouvert, il est paradoxal de vouloir aller plus loin, sauf à sacrifier délibérément et définitivement notre agriculture et notre industrie. Et pourtant, c'est ce que fait l'Europe de Bruxelles, au nom de la concurrence, du dogme libre-échangiste ou pour satisfaire nos "alliés" américains.
Dans ces conditions, faute d'une défense commerciale digne de ce nom, faute d'instruments de protection efficaces, faute de fonctionnaires européens indépendants des lobbies anglo-saxons, que peut faire l'Europe pour empêcher les délocalisations d'entreprises et la fuite des cerveaux et des capitaux ?
S'appuyer sur ses Nations millénaires et non sur le mirage européiste que défend M. Kaspary, gage de graves désillusions futures pour les citoyens européens.
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