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Intervention de S. Briois au sujet de Marine Le Pen
03/06/2007 21:42
Intervention de Steeve Briois |
Début janvier, j’ai demandé à Marine Le Pen de venir se présenter dans la circonscription d’Hénin-Beaumont dans le cadre des élections législatives. A circonscription emblématique, candidature emblématique. Notre territoire, sacrifié par les effets de la mondialisation et son absence de régulation, a beaucoup souffert en 5 ans. Plus de 2 000 emplois ont été supprimés. Citons Métaleurop, Samsonite, Sublistatic, Faurecia et tant d’autres… Il faut donc une personnalité d’envergure nationale pour porter haut et fort les problèmes de notre circonscription. Peut-on faire confiance au socialiste Facon, député depuis 15 ans si usé qu’il promettait même, dans la « voix du nord » du 17 avril 2001, de mettre fin à sa carrière politique en 2007 ?
Peut-on faire confiance au maire de Noyelles-Godault, Jean Urbaniak, qui a appelé à voter Facon lors du second tour des élections législatives ? Urbaniak c’est la girouette molle, le dernier partisan de Bayrou dans la région ! Avec un suppléant comme l’adjoint au maire d’Hénin-Beaumont, Urbaniak s’est tiré une balle dans le pied et a poignardé les militants locaux de l’udf. Plus dure sera la chute. Peut on faire confiance à l’illustre inconnu de l’UMP, Nesredine Ramdani, choisi tel un quota comme candidat de l’immigration par son parti politique ? Peut on enfin faire confiance au parti communiste qui a trahi le monde ouvrier en refusant de s’opposer à l’abandon des frontières, seules barrières contre l’ultralibéralisme et le libre échangisme ? Je sais. Les esprits chagrins viendront nous parler de « parachutage » à défaut de pouvoir argumenter sur le fond et surtout sur l’indigence de leur bilan parlementaire. Sachez que le Front national est partout chez lui en France et que Marine le Pen est partout chez elle en France, et que, singulièrement, ici sur cette terre éprouvée, elle est la bienvenue. Elle connaît parfaitement la région et c’est à la demande de nombreux habitants du bassin minier que je représente qu’elle vient. Cette circonscription n’est ni la propriété personnelle de M. Facon ni sa chasse gardée. Je peux vous le dire : je ne sais pas qui est « parachuté » mais c’est M. Facon qui sera largué au soir du premier tour. Le Ps oublie ses parachutes :Marie-Noelle Lienneman à Béthune, Jack Lang à Boulogne. A commencer par Hénin-Beaumont où Jacques Piette fut maire durant plus de 20 ans. Jacques Piette, un parisien surnommé « VSD » qu’Albert Facon a servi sans broncher…. Je sais, pour en avoir discuter avec elle, que Marine souhaite s’enraciner réellement dans notre ville. C’est elle qui doit défendre notre circonscription à l’assemblée. Elle en a la volonté, le courage et le talent. Notre campagne sera une intense campagne de proximité : porte à porte, marchés, réunions publiques… Je l’écrivais récemment encore : Marine a le cœur pour nous comprendre et les mots pour nous défendre. Et c’est pour cela, Marine, que je suis fier d’être ton suppléant dans un contexte local qui n’a jamais été, au vu des candidatures, aussi favorable !
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Où est la rupture ?
02/06/2007 18:23
jeudi 31 mai 2007 Où est la « rupture » ?
Communiqué de presse de Jean-Marie LE PEN
Nicolas Sarkozy avait une bonne occasion de montrer la « rupture » en suspendant la publication des chiffres du chômage, désormais contestés par tous les économistes et statisticiens, y compris ceux du ministère de l’emploi.
Mais il a laissé ce ministère publier des chiffres dont tout le monde sait désormais qu’ils n’ont plus aucun sens, mais qui lui servent sur le plan électoral.
En fait de rupture, il s’inscrit dans la plus déplorable continuité.
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Une journée en campagne avec Marine Le Pen
02/06/2007 10:43
Mardi 29 mai, 15 heures. Nous sommes à Montigny, l’une des douze communes de la 14e circonscription du Pas-de-Calais, en fait, la continuité du bassin minier du Nord, habité par une population dévastée par les difficultés économiques. Deux mille emplois ont été supprimés depuis cinq ans, entre autres chez Metaleurop, Faurecia, Samsonite ou Sublistatic. « C’est particulièrement symbolique de tous les problèmes qui frappent notre pays : chômage, immigration, insécurité et l’Europe », explique-t-on.
« Dans cette rue, nous aurons au moins de 90 % des voix dès le premier tour… », lance, souriante, Marine Le Pen, candidate du Front national dans cette circonscription. Elle parle ainsi avec assurance à son suppléant Steeve Briois, responsable départemental du FN. Comme tous les jours, depuis qu’elle s’est engagée dans la campagne législative, la blonde silhouette, en jeans, arpente les rues et fait du porte à porte.
Portes qui s’ouvrent les unes après les autres. Ici, les regards ne sont pas indifférents et l’accueil est plutôt chaleureux. « Bonjour, Marine », « Nous vous avons vue à la télé », « Oh… vous êtes venue chez nous ? » La vice-présidente du Front national, qui est venue bousculer le jeu politique local, trouve les phrases qui plaisent : « Nous allons donner un coup de pied dans la fourmilière. Connaissez-vous votre député ? Vous ne l’avez jamais vu… Vous avez besoin d’une avocate combattante pour les grands changements, et je vais me battre pour vous. »
Le député socialiste sortant Albert Facon s’insurge : « Comment…On ne me voit jamais ? Quand j’y vais avec mes gars, les gens me reconnaissent et me disent Salut Albert… Je me suis beaucoup bagarré en tant que député pour cette circonscription. J’ai dû même, comme député, faire pression sur Borloo pour qu’il nous donne 40 millions aux mêmes conditions que Valenciennes pour retaper les maisons. » Au siège du Parti socialiste à Courrières, commune avoisinante, il ironise devant les journalistes sur la venue de la directrice stratégique de la campagne présidentielle de Jean-Marie Le Pen. « Elle repartira à Paris, le soir du premier tour… et elle ne reviendra plus à la prochaine législative car il n’y a pas de 15e circonscription, sinon de l’autre côté de la frontière, en Belgique ! ».
De l’autre côté de la rue à Montigny, trois jeunes Beurs, coiffés de casquettes ou de capuches, l’interpellent par surprise : « Madame ! Nous pouvons vous dire quelque chose ? Vous êtes plus belle qu’à la télévision ! ».
source : Le point.fr
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