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Un mode de scrutin anti-démocratique

24/05/2007 20:31



Scrutin majoritaire ou proportionnel ? Un système inique et biaisé
Le mode d'élection des 577 députés de l'Assemblée nationale en France est parmi les moins démocratiques. Le scrutin majoritaire uninominal à deux tours élimine en effet dès le premier tour tout candidat qui n'aurait pas recueilli 12,5 % des inscrits, donc un plus fort pourcentage des exprimés - près de 18 % si 30 % des électeurs s'abstiennent, par exemple. Un candidat peut être élu dès le premier tour s'il a obtenu plus de 50 % des suffrages exprimés et au moins un quart des inscrits. Au second, est élu celui qui recueille le plus de suffrages, à la majorité relative. Si plus de deux candidats franchissent la « barre » du premier tour, des désistements peuvent intervenir et ramener le choix des électeurs à deux candidats.

Ce système pourrait, poussé à l'absurde, n'amener à siéger dans les 577 circonscriptions que les candidats d'un seul parti, l'UMP par exemple, qu'ils soient élus dès le premier tour avec à peine plus de la moitié des suffrages exprimés ou que, grâce aux désistements en leur faveur, ils se trouvent en tête au deuxième tour dans toutes les circonscriptions. Et dans ce cas, les électeurs des candidats de l'opposition, même presque aussi nombreux que les électeurs des candidats majoritaires, pourraient n'avoir aucun élu, et cette situation durerait le temps d'une législature, cinq ans.

Même si les résultats des scrutins sont dans la réalité moins caricaturaux, l'exemple des élections de juin 2002 est parlant : avec 34 % des voix au premier tour, le parti chiraquien a obtenu près de 60 % des sièges, soit 351 sur 577. S'ajoutaient à cette large majorité quelques dizaines d'autres élus de droite, comme les 26 députés UDF, qui renforçaient encore la domination des élus de droite à l'Assemblée.

Pour justifier ce mode de scrutin, ses partisans évoquent la nécessité d'obtenir une majorité à l'Assemblée, ce qu'il favorise effectivement, mais ne garantit nullement. En revanche il s'oppose à toute représentation réelle du corps électoral. Mais il s'intègre très bien dans un système constitutionnel qui vise à faire de l'Assemblée nationale une simple chambre d'enregistrement, surtout depuis que l'inversion du calendrier électoral a pratiquement écarté tout risque de cohabitation entre un président d'une couleur et une majorité parlementaire d'une autre.

Le système majoritaire en écarte totalement les courants les plus minoritaires, ne permet aucune représentation des fractions de l'électorat qui ne se reconnaissent ni dans les candidats de la droite ni dans ceux de la gauche gouvernementale.

Ce mode de scrutin est même parvenu, en juin 2002, à écarter de l'Assemblée le courant des électeurs du Front National, assez représentatif pour avoir été présent au second tour de la présidentielle, ce en quoi seuls des analystes à la vue courte ont pu voir une « victoire de la démocratie  ».






Succession de J.M. Le Pen ?

24/05/2007 20:15



La succession de Jean-Marie Le Pen, qui aura 79 ans fin juin, à la présidence du Front national (FN) occupe tous les esprits. Au sein du parti mais aussi à l'extérieur - dans la nébuleuse d'extrême droite et de droite extrême allant jusqu'à l'eurodéputé souverainiste, Paul-Marie Coûteaux - où l'on cherche à élargir le débat pour évoquer la nécessité d'un "Epinay de la droite nationale". Et cela en référence au congrès de juin 1971 qui a vu la fusion de l'ex-SFIO de Guy Mollet avec la Convention des institutions républicaines de François Mitterrand pour former le nouveau Parti socialiste. Au point que Le Choc du mois, mensuel qui s'est donné pour but de désenclaver l'extrême droite, consacre un épais dossier à "l'avenir de la droite nationale" dans son numéro de mai.

Cela fait des années qu'est soulevé de manière récurrente ce problème de succession. Il en était déjà question au congrès de Marly (Yvelines) en 1994. Elle provoqua le départ en décembre 1998 de Bruno Mégret, alors délégué général du FN, avec près de la moitié de l'appareil et à la création du MNR. A la suite de cette scission, Jean-Marie Le Pen avait cherché à apaiser les esprits en déclarant qu'en cas d'empêchement de sa part, autrement dit de décès ou de grave maladie, Bruno Gollnisch, alors secrétaire général, reprendrait le flambeau jusqu'au congrès chargé de nommer le nouveau président. Puis face aux impatiences des partisans de M. Gollnisch - parmi eux Jacques Bompard, Marie France Stirbois, Bernard Antony ou Christian Baeckeroot - il avait promis de se mettre en congé du parti pour se présenter "en homme libre" à la présidentielle de 2002. Une promesse non tenue au dernier moment.

Rongeant leur frein, les désormais adversaires de M. Le Pen, mais aussi de sa fille Marine Le Pen, s'étaient promis de prendre leur vengeance lors du congrès de Nice en 2003. La qualification du président du FN au second tour de la présidentielle de 2002, et aussi le refus de M. Gollnisch de se présenter contre M. Le Pen a contrecarré leur plan.

EUROPÉENNES DE 2009

Aujourd'hui la situation est différente. Les opposants les plus virulents - MM. Bompard et Antony - ont quitté le FN et Mme Stirbois est décédée. Plus personne ne songe à attaquer frontalement M. Le Pen qui vient d'essuyer un sérieux revers à la présidentielle. Celui-ci a d'ailleurs déjà fait savoir qu'il serait candidat à sa propre succession au congrès prévu fin novembre et qu'il comptait rester en place au moins jusqu'aux élections européennes en 2009 afin de ferrailler contre le traité simplifié promis par Nicolas Sarkozy. En revanche chacun, de Marine Le Pen à Bruno Gollnisch, s'emploie à faire comprendre au président du FN qu'il serait bon qu'il prépare lui même dès le prochain congrès la relève.

Partisans de Mme Le Pen et partisans de M. Gollnisch ont commencé les grandes manoeuvres. Déjà s'esquissent deux approches. La première, portée par Mme Le Pen, défend l'idée d'un parti unifié autour d'un programme qui, une fois consolidé, pourrait passer des alliances. Il s'agit de rompre avec ce que le FN a été jusqu'à récemment : un conglomérat de sensibilités diverses. A l'inverse, M. Gollnisch n'est pas "hostile a priori" à l'idée d'un "Epinay de la droite nationale" défendu par le président du MNR, M. Coûteaux et des régionalistes.

Ces deux sensibilités rivales s'accordent pour penser que "l'avenir appartient au FN" s'il se tient prêt à accueillir "les déçus Nicolas Sarkozy" mais aussi, comme l'explique M. Gollnisch au Choc du mois "les déçus du mouvement démocrate (...) car la victoire tactique de François Bayrou va se transformer en défaite stratégique".

 

source : Le Monde.fr






Dis-moi qui tu nommes...

21/05/2007 20:17



Dis-moi qui tu nommes…

Jean-Marie Le Pen a bien évidemment réagi dès vendredi à la nomination du nouveau gouvernement avec à sa tête le très immigrationiste François Fillon. Le président du FN a noté que le président de la République « s’efforce d’être conforme à l’image qu’il a donné au cours de sa campagne et se complait dans l’exercice du grand écart ; on ne sait pas combien de temps il va pouvoir résister à ses contradictions. Le gouvernement Fillon est bien le gouvernement Sarkozy. Le président de la République y a placé, plutôt que des amis politiques de longue date, ses adjoints de campagne, dont il est sûr qu’ils seront non des ministres mais des exécutants. On constate que la famille a subitement disparu des préoccupations de Nicolas Sarkozy : elle n’est dans les attributions d’aucun ministre ni secrétaire d’Etat ». Jean-Marie Le Pen note également que le portefeuille de la Défense a été confiée « à un européiste convaincu » -l’ex permanent communiste reconverti dans le centrisme, Hervé Morin- « pour qui la nation doit non pas se défendre mais se fondre dans un super-Etat européen ». Quant à la nomination d’Alain Juppé, avec rang de ministre d’Etat, chargé de l’Ecologie et de l’Aménagement durable ? récemment condamné à un an d’inéligibilité et 14 mois de prison avec sursis, elle peut s’appréhender comme « un hommage à Chirac » puisque le maire de Bordeaux a joué pendant des années « le rôle de paratonnerre » dans les affaires du RPR ... « Telle est l’exigence de morale et d’ordre de Nicolas Sarkozy ! » .

Le triomphe de la pensée unique

« Naturellement, le clou du spectacle est Bernard Kouchner » a encore affirmé Jean-Marie Le Pen. Soixante-huitard emblématique, icône de la pensée unique, il symbolise à lui seul ce que fustigeait Nicolas Sarkozy pendant sa campagne. Le nouveau ministre des Affaires étrangères et européennes est un européiste de gauche, qui méprise la nation et même la langue française, et il est flanqué d’un secrétaire d’Etat, ami du couple Hollande-Royal, Jean-Pierre Jouyet qui a été directeur de cabinet de Jacques Delors à la Commission européenne ». Autre socialiste faisant son entrée au gouvernement , Eric Besson, Secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre, chargé de l’Evaluation et de la prospective des politiques publiques, qui voyait encore il ya quelques mois en Nicolas Sarkozy « un néo conservateur américain au passeport français » ... L’ex catastrophique ministre de l’Ecologie Roselyne Bachelot, alias « madame Sans-Gêne » est de retour, nommée à la Santé, et Jean-Marie Le Pen a dit ne pas attendre grand-chose non plus de Michèle Aliot-Marie qui recueille cette fois-ci le portefeuille de l’Intérieur de l’Outre-mer et des collectivités territoriales. Constatant que l’insécurité a beaucoup augmenté –forte augmentation continue des actes de délinquances violentes depuis 2002 rappelait Louis Aliot dans le dernier numéro de National Hebdo- Jean-Marie le Pen a dit ne pas manifester une confiance excessive, c’est un euphémisme, dans les capacités de Mme Alliot-Marie à inverser la tendance…

De l’importance des législatives

« Les Français qui ont cru aux accents patriotiques de Nicolas Sarkozy vont commencer à déchanter » a assuré le président du FN. Certes a-t-il poursuivit, « je comprends la raison qui a poussé un certain nombre de nos électeurs à voter pour Sarkozy plutôt que pour Royal, c’était un dilemme cela ne veut pas dire qu’ils étaient activement partisan de Sarkozy. Je pense qu’une grande partie d’entre eux » -a fortiori au regard des personnalités faisant leur entrée au gouvernement- « vont se retrouver derrière les candidats du Front National seuls capables de rappeler à Sarkozy pendant cinq ans la teneur de ses engagements. Le choix (de faire entrer au gouvernement) des européistes forcenés est bien la marque que M. Sarkozy qui était un des tenants du OUI, va s’efforcer d’effacer le NON français et va engager la France plus profondément dans l’Europe de Bruxelles. Ce n’est pas un gouvernement national, c’est l’exécutif d’un Conseil régional européen ! ». Questionné sur la bataille des législatives qui a été officiellement lancée par Bruno Gollnisch le 14 mai lors d’une conférence de presse à laquelle il assistait, Jean-Marie Le Pen a dit qu’il s’engageait « à fond » dans cette campagne. « Je crois qu’elle est très importante a-t-il indiqué. Importante car elle conditionne la capacité du Mouvement national de rester une grande force de propositions et d’opposition au gouvernement dont nous dénoncerons sans faiblesse toutes les erreurs. Une élection très importante aussi puisqu’elle conditionne par le nombre d’électeurs la subvention qui permet au Front National de faire fonctionner ses services administratifs et de mener son action politique. Il est très essentiel que les électeurs sommés de choisir entre Sarkozy et Royal, reviennent au bercail et votent pour les candidats du FN qui sont les seuls capables de défendre leurs idées à eux. Je me déplacerai par avion dans les 20 régions françaises à la cadence de deux régions par jour, il faut que nos militants adhérents sympathisants se mobilisent à cette occasion » a-t-il indiqué.


Résistance nationale et européenne

Les nationaux ont appris avec tristesse la disparition d’une figure de la résistance identitaire des peuples européens au monde gris que veulent nous imposer les mondialistes. Karel Dillen, Président fondateur du Vlaams Blok -auquel a succédé le Vlaams Belang présidé par le courageux Frank Vanhecke- s’est éteint à l’âge de 81 ans après plus de cinquante années d’engagement politique. Il a puissamment contribué a rendre incontournable, contre vents et marées, le mouvement national flamand et fut un ami fidèle du Front National notamment au sein du Parlement européen. Jean-Marie Le Pen, Bruno Gollnisch et Carl lang assistaient à ses obsèques le 5 mai dernier en la cathédrale d’Anvers. En Flandres comme ailleurs, le combat continue et Bruno Gollnisch, en tant que président du groupe Identité Tradition souveraineté (ITS) au Parlement européen a salué lundi le succès remporté par le mouvement national « Ataka » , lors les élections européennes au suffrage direct en Bulgarie, jusqu’à présent représenté par un seul député, M. Dimitar Stoyanov, 24 ans, benjamin de cette assemblée. « La présence plusieurs députés bulgares constituera, comme nous l’avions prévu et annoncé lors de la constitution du groupe, un nouvel élargissement du groupe ITS, venant après le ralliement de M. Cosea, député indépendant de nationalité roumaine. Ce succès est une joie pour les parlementaires des composantes française, roumaine, flamande, italienne, britannique et autrichienne qui constituent le groupe à ce jour, et qui adressent leurs chaleureuses félicitations à leurs partenaires et amis de Bulgarie ». « Je m’en réjouis d’autant plus a précisé Bruno Gollnisch qu’à l’invitation de M. Siderov, président du parti Ataka, et de M. Stoyanov, j’avais pris part il y a trois jours à la dernière phase de la campagne, accompagné de M. Mihaescu, vice-président roumain du groupe ITS, et de M. (koen) Dillen (fils de Karen Dillen), député flamand, tenant une conférence de presse au Parlement bulgare, prenant la parole à travers le pays lors de plusieurs réunions publiques, et rencontrant diverses personnalités, dont un Métropolite unanimement respecté ».

 

SOURCE : FDAmag






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