amarine

VIP-Blog de amarine

amarine
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

108 articles publiés
dans cette catégorie
33 commentaires postés
1 visiteur aujourd'hui
Créé le : 03/08/2006 16:39
Modifié : 17/01/2012 21:22

(0 ans)
Origine :
Contact
Favori
Faire connaître ce blog
Newsletter de ce blog

 Décembre  2025 
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
01020304050607
08091011121314
15161718192021
22232425262728
293001020304


| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |

[ multimédias ] [ Marine Le Pen ] [ Jean-Marie Le Pen ] [ Sujets divers ] [ Mes reflexions ] [ Les communiqués ] [ citations ]

Quand Le Pen voulait rejoindre les FFI

15/04/2007 12:24



Article de L'Express, 29.03.07


Commentaire :

Comme d'habitude, lorsque les journalistes sont contraints de reconnaître des qualités de Jean-Marie Le Pen, ils se torturent les méninges pour y ajouter des critiques mesquines et souvent infondées. En l'occurence, on ne voit pas pourquoi Jean-Marie Le Pen aurait eu de l'aversion pour les FFI, qui ont motivé leur refus par la valeur de sa jeune vie, aux yeux de sa mère veuve qui plus est. Si la demande d'engagement auprès des FFI de Jean-Marie Le Pen est un fait parfaitement objectif, les digressions psychanalytiques de Raymond Casas sont tout à fait arbitraires, d'autant qu'il ne connaît pas Jean-Marie Le Pen, ni personnellement, ni par le psy que Le Pen ne consulte pas.

Extrait du Comité national 2007 de soutien à Jean-Marie Le Pen

Colonel (h.) Henry ALBY (Haute-Garonne), président (h.) des Officiers de réserve de Haute-Garonne, IHEDN, officier de la Légion d'honneur, Croix de Guerre 1939-1945, 2 blessures, Bronze Star (USA), Valeur militaire, commandeur du Ouissam Alaouite (Maroc).

M. Jean BLANCHOT (Yvelines), expert-comptable (h.), commissaire aux comptes (h.), expert comptable judiciaire (h.), président d'honneur de l'Union professionnelle des Sociétés fiduciaires, chevalier de l'ordre national du Mérite, Croix de guerre 1939-1945, officier des Palmes académiques.

Mme Hervé de BLIGNIÈRES (Ille-et-Vilaine), veuve du Colonel Hervé de Blignières (ancien commandant du 1er REC, major de l'Ecole supérieure de guerre, plusieurs fois blessé et 7 fois évadé, officier de la Légion d'honneur, Croix de guerre 1939-1945 et des T.O.E).

M. René BORRICAND (Bouches-du-Rhône), homme de Lettres, éditeur, président fondateur de l'Association "Connaissance de la Provence", ancien de la Première Armée française en Allemagne, Valeur militaire, chevalier du Mérite agricole, officier de l'ordre national des Arts et Lettres, 6 fois lauréat de l'Institut de France.

M. Joseph BOULIC (Finistère), évadé de France, pilote des Forces aériennes françaises libres, pilote de ligne pendant 30 ans, père de 6 enfants.

M. Claude BRABANT (Cher), ancien combattant, réfractaire au STO, évadé de France (1943), agriculteur-éleveur, maire (h.) d'Annoix (30 ans), père de 7 enfants, chevalier du Mérite agricole.

Colonel (e.r.) Maurice CATALAN (Charente-Maritime), certificat national d'appartenance aux FFI, père de 6 enfants, chevalier de la Légion d'honneur, officier de l'ordre national du Mérite, croix de guerre des T.O.E., croix du combattant volontaire et diverses décorations étrangères.

Capitaine de Vaisseau (h.) Pierre CHESNAIS (Var), commandeur de la Légion d'honneur (6 citations), croix de guerre 1939-1945 et T.O.E., croix de la valeur militaire, croix du combattant volontaire de la Résistance, médaille de la Résistance, médaille des services volontaires dans la France libre.

M. Edouard FONTANA (Val-de-Marne), président de Chambre (h.) à la Cour d'appel de Paris, Croix du combattant volontaire de la Résistance, médaille de la France libre.

M. Paul GARD (Bouches-du-Rhône), magistrat (h.), chevalier de l'ordre national du Mérite, 1939-1945 et Algérie, président d'honneur de l'Association des oeuvres sociales et régionalistes de Château-Goubert et de l'Association Cap Saint Jacques d'aide aux réfugiés du sud-est asiatique.

M. Gilbert GARNIER (Alpes-Maritimes), résistant FFI dans l'O.R.A. au Corps Franc Pommiès, interné et déporté-résistant, évadé, chevalier de la Légion d'honneur, Médaille militaire, croix de guerre 1939-1945, médaille de la Résistance, médaille de Déporté-Résistant, médaille des Evadés.

M. Robert JACOB dit LUZIE (Corse), officier (e.r.), officier de la Légion d'honneur, commandeur de l'ordre national du Mérite, Médaille militaire, croix de guerre (10 citations).

M. René LAPÔTRE (Val-de-Marne), directeur commercial (e.r.), ancien du débarquement du 15 août 1944, Médaille militaire, Croix de Guerre 39-45 avec citation.

M. Francis MASSART (Gironde), combattant volontaire de la Résistance, interné-résistant, évadé, Croix de Guerre 1939-1945, chevalier des Palmes académiques.

Docteur Marcel PIACENTINI (Corse), médecin en chef (e.r.) du service de santé des Armées, chevalier de la Légion d'honneur, commandeur de l'ordre national du Mérite, combattant volontaire de la Résistance, médaille d'honneur du Service de Santé des Armées.

Docteur Jean-Jacques PLAT (Tarn), ancien combattant de la France Libre, chevalier de la Légion d'honneur, Médaille militaire, croix de guerre française et néerlandaise, médaille des évadés, croix du combattant volontaire de la Résistance, médaille du combattant.

Colonel (h.) Jacques RAVANELLO (Lot-et-Garonne), commandeur de la Légion d'honneur, Croix de Guerre 1939-1945 et des T.O.E., croix de la valeur militaire.

Mme Jacques ROBICHEZ (Paris), née Jeanne GÉRARD, agrégée de l'Université, croix des engagés volontaires, croix du combattant, médaille d'Italie (1943-1944).

M. Albert ROSSET (Ardèche), combattant volontaire 1944, conseiller d'Académie à l'Education nationale, conseiller régional Rhône-Alpes, secrétaire du Cercle national des Combattants Rhône-Alpes.

Lt Colonel (e.r.) André SAUBION (Haute-Garonne), officier de la Légionv d'honneur, croix de guerre 39-45 et des TOE, croix de la valeur militaire, médaille de la Résistance, croix du combattant volontaire et de volontaire de la Résistance.

Commandant (e.r.) Henry SOULHOL (Paris), historien, commandeur de la Légion d'honneur, croix de guerre des T.O.E. (3 citations), valeur militaire (6 citations), chevalier des Palmes académiques.
engagé volontaire de la Résistance

Lt Colonel (h.) Marcel TIBERGHIEN (Nord), ancien de Jeunesse et Montagne (centre-école promo Weygand, maquis Renaud (Thollon) et CR6), puis Rhin et Danube, conseiller municipal, officier de l'ordre national du Mérite, Croix de Guerre 1939-1945.

M. Michel TINANT (Ardennes), ancien membre des réseaux francobelges des Forces françaises combattantes 1942-1944 et du mouvement "Libé-Nord" en 1944, Médaille militaire, médaille de la Résistance, médaille de la Résistance belge, croix du Combattant volontaire de la résistance, croix de la Valeur militaire.

IN MEMORIAM

Le Comité national de Soutien à Jean-Marie Le Pen conserve vivante la mémoire de ses membres qui ont apporté leur caution morale jusqu’à leur dernier souffle, et notamment de :

M. Yves AUBINEAU, ancien élève de l’Ecole normale supérieure, agrégé de mathématiques, officiers aux Forces françaises libres, médaille de la Résistance.

Mlle Rolande BIRGY, ancienne de la JOC (1928), membre du Sillon catholique (1930), de la CFTC (1929) et du MRP (1945), résistante
(Réseau Valette d'Osia), croix du Combattant volontaire de la résistance, Yad-Waschem (titre de "Juste" décerné par l'Etat d'Israël, en 1884), membre de SOS Tout Petits.

Colonel Hervé de BLIGNIERES, ancien commandant du 1er REC, major de l’Ecole supérieure de guerre, plusieurs fois blessé et 7 fois évadé, officier de la Légion d’honneur, Croix de guerre 1939-1945 et des T.O.E.

M. Michel de CAMARET, ambassadeur de France, député au Parlement européen, Compagnon de la Libération.

Mlle Jeanne GAVOUYÈRE, Infirmière à la Croix-Rouge, chevalier de la Légion d’honneur, Croix de guerre Indochine à l’ordre de la division.

M. Augustin JORDAN, ancien ambassadeur, commandeur de la Légion d'honneur, Compagnon de la Libération.

Général Louis MARTIN, FFI, Croix de guerre 39-45, Croix de guerre TOE, grand officier de la Légion d’honneur.

Professeur Jacques ROBICHEZ, professeur (h.) à la Sorbonne, chevalier de la Légion d'honneur, officier de l'ordre national du Mérite, croix de guerre 1939-1945.

M. Jean-Marie VALLIER, ancien résistant, réfractaire au STO, maire (h.), ancien conseiller général de Haute-Loire.

Docteur Pierre WEBER, médecin e.r., docteur en médecine, lauréat de l'Académie de médecine, ancien maire de Nancy, conseiller général (h.) de Nancy (de 1945 à 1970), membre honoraire du Parlement (1958 à 1978), ancien membre du Conseil de l'Europe, médaille de la Résistance.

M. Antoine YSQUIERDO, commandeur de la Légion d'honneur, croix de guerre 1939-1945 et des T.O.E., valeur militaire, 14 citations.





J.M. Le Pen ne veut pas de "miettes" de proportionnelle

14/04/2007 09:24



Jean-Marie Le Pen a ignoré la proposition d'un dirigeant de l'UMP d'introduire une dose de proportionnelle aux élections législatives, ce qui permettrait notamment au Front national d'être représenté au Parlement.

Brice Hortefeux, proche de Nicolas Sarkozy, et ministre délégué des collectivités territoriales, se prononce pour "une dose de proportionnelle" dans le mode de désignation des parlementaires dans un entretien au Figaro de vendredi.

Pour ce qui concerne l'Assemblée nationale, Brice Hortefeux précise que cela pourrait concerner "une soixantaine de députés sur 577 au total".

Cette proposition permettrait au Front national d'avoir dix députés, a estimé Jean-Marie Le Pen sur RTL.

"Dix sur 577, ce sont les miettes que l'on donne en fin de campagne électorale pour essayer de faire croire qu'on n'est pas ce qu'on est", a déclaré Jean-Marie Le Pen.

Le candidat du Front national a estimé que penser récupérer les électeurs du Front national comme Nicolas Sarkozy le laissait entendre dans un entretien à Libération jeudi, était "un faux espoir".

"C'est exactement l'inverse qui risque de se produire. En prenant les thèmes de combat du Front national, M. Sarkozy rend à celui-ci de grands services, il le dédiabolise", a-t-il ajouté en estimant que de ce fait, les électeurs préféreraient voter pour lui plutôt que pour le candidat de l'UMP, sa "copie".

Jean-Marie Le Pen a promis "une sévère critique des différents candidats" et "tout particulièrement" de Nicolas Sarkozy lors de son avant-dernier meeting de campagne dimanche à Paris.

source : L'express.fr






Questions à J.M. Le Pen sur la répression envers les automobilistes

12/04/2007 17:51



Jean-Marie Le Pen a été le premier à répondre à notre sollicitation, suivi de Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal et enfin François Bayrou, d'où l'ordre des réponses à nos questions.

A la suite de ce questionnaire, il ressort que Jean-Marie Le Pen est le plus enclin à revoir tout le dispositif du permis à points et de la répression à l'encontre des automobilistes. Il est le seul à vouloir maintenir l'amnistie pour les petits délits.

A noter que François Bayrou et Jean-Marie Le Pen sont d'accord pour augmenter la vitesse de 20 km/h sur autoroute sous certaines conditions et rejettent l'ostracisme anti-jeunes consistant à ne leur accorder au départ que 6 points sur leur permis.

Question 1

- Webcarcenter : Etes-vous d'accord pour abolir la suppression de points sur le permis quand l'infraction ne s'assimile pas à une conduite dangereuse (port de la ceinture, petit excès de vitesse...)?

 

Jean-Marie Le Pen : Oui. Je suis partisan d’un assouplissement pouvant aller jusqu’à la suppression du système de points.

Question 2

- Webcarcenter : Etes-vous d'accord pour supprimer les contrôles radar sur zones non accidentogènes, considérés exclusivement comme pièges à fric?

 

 

cliquez pour agrandir

Jean-Marie Le Pen : Oui. Les radars fixes ne doivent être implantés que dans les zones où ils se justifient par leur caractère dissuasif, et donc être correctement signalés, ne serait-ce que pour éviter qu’ils ne deviennent eux-mêmes accidentogènes (freinages intempestifs…). De plus, leur impact doit être évalué (baisse réelle du nombre et de la gravité des accidents), la décision de les maintenir ou de les enlever dépendant de cette évaluation.

Question 3

- Webcarcenter : Etes-vous d'accord pour plus de rigueur dans l'interpellation des véhicules mal identifiés lors d'un contrôle radar ?

 Jean-Marie Le Pen : Oui. Il est inadmissible que le processus « constatation de l’infraction – sanction » soit totalement automatisé, c'est-à-dire déshumanisé, et que les personnes verbalisées ne puissent contester les erreurs produites pas des machines qu’en payant ou en dénonçant un autre conducteur. La « justice » doit être rendue par des hommes.
Question 4

- Webcarcenter : Etes-vous d'accord pour moduler la vitesse sur autoroute à la manière allemande? (Sur les portions non limitées, les camions n'ont pas le droit de se doubler).

Jean-Marie Le Pen : Oui. Je suis favorable à une modulation de la vitesse et à un relèvement de la vitesse à 150 km/h sur les autoroutes en fonction des conditions météo et de la nature des lieux, notamment sur les portions à trois voies qui ne présentent pas de danger immédiat.

Question 5

- Webcarcenter : Etes-vous d'accord pour instituer une visite médicale à partir d'un certain âge (à définir – 75 ans par exemple – pour un contrôle de vision, d'audition et cardiaque)?

 

Jean-Marie Le Pen : Oui. L’âge ou les modalités précises restent effectivement à définir, mais la capacité de réaction du conducteur est un facteur important de prévention.

François Bayrou : Conduire un véhicule demande certaines aptitudes notamment physiques, vision la nuit, réflexe, ouie, il semblerait raisonnable que passé l’âge de 70ans, l’on passe une visite médicale d’aptitude à la conduite.

Question 6

- Webcarcenter : Etes-vous d'accord pour un contrôle plus sévère du comportement des camions sur autoroute?

Jean-Marie Le Pen : Oui. Il arrive de plus en plus souvent de voir des poids lourds, notamment à immatriculation étrangère et sans doute ignorant de notre code de la route, doublant sur la 3ème voie, qui leur est strictement interdite, ou déboitant sans se soucier des priorités.

Question 7

- Webcarcenter : Etes-vous d'accord pour supprimer la discrimination envers les jeunes conducteurs et attribuer le même nombre de points à tout le monde sur le permis?

Jean-Marie Le Pen : Oui, si l’on conserve le système de permis à points. Les jeunes conducteurs peuvent être soumis à certaines restrictions (limitations de vitesse par exemple) le temps qu’ils acquièrent une expérience de la conduite et de l’usage de la route. Mais à partir du moment où ils ont été jugés aptes à conduire, ils doivent bénéficier du même « crédit d’infraction » que les autres automobilistes.

Question 8

- Webcarcenter : Etes-vous d'accord pour une amnistie des infractions n'ayant entraîné aucun accident, hors contrôle positif d'alcoolémie?

Jean-Marie Le Pen : Je suis pour l'amnistie de toutes les infractions n'ayant pas mis en danger la vie d'autrui.

Voici les réflexions qui ont motivé les 8 questions à nos quatre présidentiables vedettes.

Les accidents de la route sont un fléau et en France le gouvernement a décidé de s'attaquer au problème en menant une répression totale mais pour beaucoup de monde, sans discernement. Surtout sans analyser les causes profondes.

Une sanction juste est une sanction acceptée. En partant de ce principe, ceux qui mènent la chasse à tous les automobilistes devraient s'interroger sur le fait qu'ils déclenchent à leur égard une réaction unanime de rejet. Et des dizaines de milliers de travailleurs ont perdu leur emploi en perdant les 12 points de leurs permis. Mais les plus riches ont recours à des avocats spécialisés qui leur font restituer immédiatement leurs cartons rose. Voilà la preuve d'une nouvelle injustice et d'une incompréhension totale entre des politiciens déconnectés de la réalité et la population en général.

Bien sûr, il est facile de se retrancher derrière des chiffres et se gargariser d'une baisse du nombre de morts sur nos routes, en accaparant tout le bénéfice de cette statistique, mais c'est là une tromperie. En fait, la raison première est l'amélioration de la sécurité de nos voitures, et les constructeurs sont les premiers à être félicités. Sécurité active (tenue de route, freinage ABS, contrôle de trajectoire...) et sécurité passive (ceinture à prétentionneur, airbags, barre anti-intrusion, zones déformables, cellule indéformable...) n'ont fait que progresser rendant l'accident moins meurtrier. D'ailleurs, c'est le nombre de morts qui est pris en compte par nos gouvernants, pas le nombre des accidents en général, parce que tout simplement la prolifération des radars ne l'a pas fait régresser. La preuve, il y a plus de blessés qu'avant.

Notons aussi que notre réseau routier s'améliore, que certains points noirs disparaissent, d'où un risque moindre d'accidents compte tenu que le parc automobile augmente chaque année, mais que le trafic ne progresse plus.

Nous préconisons donc que les règles concernant le permis à points soient revues en profondeur en fonction de la réalité des choses. Il est complètement irrationnel qu'un automobilistes, qui auraient perdu 12 points parce qu'il s'est fait prendre 12 fois sans sa ceinture attachée, doive repasser son examen de permis de conduire. D'abord, il n'a mis la vie de personne en jeu, sinon la sienne et encore avec une très infime probabilité, et surtout en quoi aurait-il besoin de passer par une auto école? En revanche, celui qui se reprend à 12 fois pour finalement rater un créneau aurait besoin de leçons supplémentaires. Mais là, que fait le ministère public? Et puis celui qui passe 6 fois devant un radar avec quelques kilomètres heure en trop, sur une ligne droite d'autoroute à trois voies sans affluence, serait-il un assassin en puissance à qui le permis doit être ôté? On sait que les accidents n'arrivent pas dans ces conditions là. En général, sur les autoroutes, les convois de camions sont très souvent impliqués dans les carambolages à cause de leurs comportements. Que fait la police de la route pour les corriger? Pas suffisamment.

En revanche par temps de brouillard ou de forte pluie, beaucoup d'automobilistes roulent encore trop vite, mais où sont les contrôles? Même réflexion dans les agglomérations où il n'y a pas besoin de radar pour constater une conduite dangereuse.

Enfin, les radars n'ont aucun pouvoir de dissuasion contre les conducteurs ivres, drogués ou sous l'emprise de médicaments, et dès lors la vitesse n'est plus en cause, mais la maîtrise de soi. 10 km/h, c'est déjà trop. C'est pourquoi, nous interpellons quatre présidentiables, ceux qui ont une chance de se retrouver au second tour, pour qu'ils nous fassent part de leurs intentions, après avoir assimilé nos remarques, et des mesures qu'ils comptent prendre, une fois arrivés au pouvoir, afin de rétablir plus d'équité dans le contrôle du comportement des automobilistes.






Début | Page précédente | 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 | Page suivante | Fin
[ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact amarine ]

© VIP Blog - Signaler un abus