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Marine Le Pen dans "le point"

04/08/2006 13:17

Marine Le Pen dans


Extrait de l'hebdomadaire: "le point":

Front national
Marine de guerre

Un nouveau look, un livre de confessions, des sourires ravageurs sur les plateaux de télévision qui la réclament de plus en plus... Longtemps héritière sans royaume, l'heure de Marine Le Pen serait-elle enfin venue au Front national ? Mais quel Front national ? Portrait.

Christophe Ono-dit-Biot

«Cela fait au moins trente ans que je me suis faite à l'idée que je ne serai jamais reine ! » Elle a beau dire, Marine Le Pen, ce jour-là, elle a eu la fève et porte bien la couronne. L'or est en carton, certes, mais cela reste une couronne. Et avec ses 11 kilos de moins, sa mine affûtée et sa jupe plissée, la vice-présidente du Front national détonne au milieu des visages parcheminés et des permanentes bleu électrique réunis ce 15 janvier pour la galette des Rois de la fédération FN de Paris. A tel point que, quelques jours plus tard, le potache Karl Zéro en fait matière à gag, vantant sur Canal + les mérites de « la galette Marine, qui ne fait pas grossir » !

C'est vrai qu'on ne la reconnaît plus, Marine Le Pen. Il y a un an, d'ailleurs, elle avait préféré snober cette galette parisienne parfumée à la naphtaline, où son père avait fustigé la loi Veil et la « contraception massive ». Juste avant, il avait estimé dans l'hebdomadaire Rivarol que l'occupation allemande n'avait pas été « particulièrement inhumaine », conté l'« anecdote » de gentils gestapistes sauvant un village de la colère d'un lieutenant allemand qui voulait fusiller tout le monde, et ajouté qu'« un Front national gentil, ça n'intéressait personne ». Bref, tout pour ruiner les efforts de « dédiabolisation » du FN de sa benjamine, qui du coup était partie sur-le-champ en « vacances » à La Trinité-sur-Mer.

Une substitution possible. Est-ce l'air marin, ou un « relooking extrême », comme on dit sur Téva ? Un an plus tard, Marine opère un retour fracassant sur la scène politique. Avec, en prime, une silhouette de jeune première et les 300 pages d'un livre à paraître le 26 avril et dont elle dit qu'il exprime sa « philosophie politique ». Ecrit à la première personne, il débute en 1976, le jour de l'attentat à la bombe chez les Le Pen, villa Poirier ; ne fait pas l'impasse sur le « détail de l'histoire » cher à son père ; revient sur « la grosse leçon de vie » qu'a été la découverte des photos de sa mère, nue, et en soubrette, dans Playboy, et s'intitule, en hommage à un poème de Verhaeren, « A contre flots ».

A contre flots ? Avec un titre pareil, une forme pareille, et surtout sa récente nomination, par papa, au poste de « directrice stratégique de la campagne » (la « boîte à idées » pour 2007), voilà qui fait jaser dans les coursives du Paquebot, le siège du FN, à Saint-Cloud. Afficherait-elle donc des ambitions présidentielles ? D'autres ne se privent pas pour aller plus loin, évoquant même le scénario, si Jean-Marie Le Pen se voyait dans l'impossibilité de recueillir ses 500 signatures, d'une substitution, à la dernière minute, de la « fifille » au papa. « Je le vois très bien, analyse Lorrain de Saint-Affrique, l'ex-conseiller en communication de Le Pen, déclarer au comité central qu'il n'a pas les signatures mais qu'elle, elle peut les avoir. » Personne n'oublie non plus la célèbre phrase de jadis : « j'aime mieux mes filles que mes cousines, mes cousines que mes voisines, mes voisines que des inconnus. »

« Des fantasmes ! » sourit Marine, vous enfermant avec elle dans son bureau du siège du FN. On frémit un peu, parce qu'en ce moment, au Paquebot, l'ambiance n'est pas vraiment à « la croisière s'amuse », et que l'on ne voudrait pas s'y noyer. On s'étonne aussi de la décontraction de la jeune femme. « Je vous rappelle que c'est mon père qui est candidat, et qu'il n'est un secret pour personne que ma médiatisation a créé un certain nombre de jalousies chez les aigris du Front. Une suspicion, aussi : "Si elle est médiatisée, se sont-ils dit, c'est donc bien que la presse hostile y trouve un intérêt. » Ça a d'ailleurs été l'un des gros arguments contre moi lors du congrès de 2003 [où les partisans de Bruno Gollnisch l'avaient reléguée de trente places dans l'ordre d'élection au comité central, NDLR], ce qui est pour le moins paradoxal quand on les entend se plaindre du faible accès aux médias pour le FN. »

Contrairement à son père, c'est vrai, Marine ne peut pas se plaindre d'être boycottée par les médias. De « la matinale » de Canal + au plateau d'Arlette Chabot, de « Télématin » à « Riposte » de Serge Moati, on la voit beaucoup ces derniers temps, évoquant « le sentiment d'insécurité des français », « la jambe de bois du CPE », ou « le vent prérévolutionnaire qui souffle sur la France ».

Cette sollicitation médiatique, elle l'explique par la « collision entre la caricature d'un parti vu comme machiste et mon image de femme, jeune, divorcée et mère de famille ». Est-ce suffisant ? « Peut-être qu'on commence à se rendre compte que je ne suis pas contagieuse », ajoute-t-elle, affirmant qu'au fond elle ne fait qu'incarner le « syndrome Magalie ». Magalie ? « Oui, celle de la "Star Academy" », répond-elle. On y est : l'an dernier, à rebours de tous les pronostics et de tous les canons en vogue, l'adolescente enrobée, disgracieuse et qui de surcroît chantait faux avait remporté les suffrages lors de la finale de l'émission. Indice de choc : son village d'origine avait voté à 68 % non à la constitution européenne.

« Les français vomissent le système, argumente la vice-présidente du Front. vous voulez nous imposer la nana qui fait 32 kilos toute mouillée, blonde, avec les dents refaites, eh bien nous on n'en veut pas. On n'ira plus là où vous nous dites d'aller, parce que nous n'avons plus aucune confiance en vous : vous nous dites qu'il faut l'Europe, plus d'Europe, et on vous dit non de façon brutale. Vous nous dites que Le Pen est un fasciste, on l'amène au second tour de la présidentielle. Vous nous dites que Ségolène n'a pas la carrure, nous on la trouve très bien. Vous nous dites que Magalie est grosse et chante faux, eh bien, nous, on veut qu'elle gagne. »

La preuve par la Star'Ac, donc. Par la revanche de la France des pavillons contre ce que son père appelait l'« Etablissement ». Elle fume cigarette sur cigarette, Marine, et, dans ses yeux, on voit bien qu'elle y croit. On se dit que c'est la fille idéale pour aller boire une bière les soirs de cafard. Bonne copine : forte en gueule, mais sympa. Sauf quand on évoque la chanson que lui a consacrée la rappeuse Diam's (voir encadré) ou l'assimilation des chambres à gaz, par son père, à un détail de l'histoire. « Quand on a deux minutes par an de temps de parole dans les médias, on tombe dans les slogans, par définition réducteurs. Le "détail" est un problème bien particulier, lié à un contexte particulier. Moi, je dis qu'il faut arrêter de tenir des propos qui puissent nourrir la suspicion de révisionnisme au Front. »

Une simple suspicion ? « Ecoutez, j'ai 37 ans, je suis une enfant de la paix et de l'immédiateté. Ces débats sur ce qui s'est passé il y a soixante ans m'intéressent peu. » Ils intéressent pourtant certains élus du Front. Il y a moins d'un mois, le conseiller régional alsacien Patrick Binder s'est fendu d'un courrier aux lycées, expliquant que « la visite des lieux de mémoire » ne paraissait « pas justifiée », par souci d'objectivité, à un âge « où l'on est encore très influençable ». Interrogée sur le sujet, la numéro deux du Front semble embarrassée. Et vous prie de l'excuser, après avoir ajouté qu'elle n'aurait pas dit ça. Mais sans condamner pour autant.

« Respectabilisation du parti ». Prise en tenaille, donc... D'un côté les jeunes loups du Front qui la suivent dans ce travail de « respectabilisation » du parti, en partie atteint lorsque, lors des voeux des Hauts-de-Seine, ses adversaires politiques, Verts, socialistes ou UMP lui donnent du « Marine ». De l'autre, les « historiques », qui considèrent que le Front, avec Marine, ce ne serait plus le Front. Parce qu'elle ne remet pas en question la loi sur l'IVG, parce qu'elle est « vaticinatrice sur la question de l'islam », dit Bernard Antony, le chef de file des chrétiens. Ou simplement parce qu'elle n'a rien à proposer « à part un logo », assure Christian Baeckeroot, conseiller régional FN du Nord-Pas-de-Calais

« La seule chose que Marine apporte au Front, c'est une érosion électorale. En Ile-de-France, elle est même de 8 %. Quant à dire qu'elle veut déringardiser le Front, je trouve ça malvenu : dans ce cas-là, qui est le ringard en chef ? » Des accusations qui font bondir les marinolâtres issus de son association Générations Le Pen. « Ce sont des aigris », répond Louis Aliot, secrétaire général du FN, qui assure engranger les adhésions. « Ont-ils vraiment envie de diriger la France ? questionne Marie-Christine Arnautu, élue FN du conseil régional d'Ile-de-France. Quand Le Pen ne sera plus là, il n'y a que Marine qui puisse représenter ce que les gens attendent. Parce qu'elle a le nom que les Français veulent. »

Le nom. La marque Le Pen. Un argument qui fera frémir tous ceux qui parlent, comme Bernard Antony, d'une dérive « kremlinesque » au FN, qui « fonctionne de plus en plus comme une cité interdite, où l'on préfère la préférence familiale à la préférence nationale ». Jacques Bompard, le maire d'Orange, ne justifie-t-il pas son ralliement au MPF de Philippe de Villiers en accusant Le Pen de transformer son mouvement en « château de la Belle au bois dormant » ? De « faire le vide autour de lui pour que Marine, fabrication familiale et médiatique, reste seule en piste » ?

Dans son bastion du parc de Montretout, où Jean-Marie Le Pen a logé ses bureaux et deux de ses filles, dont Marine, ces analyses font ricaner le vieux chef. « Marine a beaucoup de qualités, mais elle n'affiche pas l'ambition de succéder à son père. J'ai 78 ans, certes, mais j'ai appris récemment que le président des Fidji venait, à 85 ans passés, d'en reprendre pour sept ans. Et puis, vous savez, je me demande si je ne suis pas un peu immortel. J'ai vu tellement de jeunes cadres mourir avant moi... » Quant à la métaphore de la Belle au bois dormant, elle fait sourire les petits princes du FN. Comme Olivier Martinelli, le chef du cabinet du « président » Le Pen. « Le temps de Marine arrive, car Marine est de son temps. » Le sommeil ne devrait donc plus durer très longtemps






Le FN menacé ? Interview de Marine

04/08/2006 13:15



Marine Le Pen, vice-présidente du Front National a répondu aux questions de Delphine Byrka pour Paris-Match, lors d'un entretien publié dans le numéro 2976 publié le 1er juin 2006.

PM : A un an de la présidentielle, croyez-vous que la France est prête à porter une nouvelle fois Jean-Marie Le Pen au second tour ?

MLP : En votant non au référendum, les Français ont pour la première fois tiré le bilan des trente dernières années de politique. La parole s'est libérée et les lignes de fracture droite-gauche ont explosé : le non massif a provoqué un mouvement irréversible de tectonique des plaques politiques. Tous les tremblements de terre ne provoquent pas des tsunamis. Certains peuvent accoucher aussi de montagnes. Aujourd'hui les électeurs du Front National osent dire clairement qu'ils ont voté ou qu'ils voteront Front National.

Vous voulez dire que, désormais, les électeurs français assument sans complexe un vote extrême de contestation ?

Votez Front National aujourd'hui, ce n'est pas faire acte de rébellion ou de défiance envers la classe politique traditionnelle, c'est défendre une certaine idée d'une France protectrice face aux enjeux de la mondialisation. notre électorat ne se compose plus uniquement des Français accidentés de la vie et abandonnés au bord de la route par les gouvernements successifs. Aujourd'hui nous fédérons aussi bien de jeunes mères de famille actives que des cadres diplômés.

Nicolas Sarkozy fait de l'immigration choisie son nouveau cheval de bataille éléctoral. Ne craignez-vous pas qu'il capte une partie des voix acquises au Front National sur ce thème ?

Sarkozy est en train, tout simplement, de crédibiliser nos positions... Plus il tente de s'approprier le thème de l'immigration, plus il nous envoie des électeurs ! Cela fait trente ans que nous nous faisons insulter pour oser dire tout haut ce que le président de l'UMP feint de découvrir aujourd'hui : un problème majeur.

Doit-on s'attendre à une surenchère du Front National sur ce thème pendant la campagne ?

Le Front National, ce n'est pas le bateau ivre de l'UMP, on ne change pas de cap au gré des sondages. Le programme s'articulera autour des deux pivots de notre campagne sur le non à la Constitution : la Nation face à la mondialisation et la République face au communautarisme.
_________________
« Nous jurons de lutter jusqu'à la renaissance de notre patrie et le redressement de notre peuple. »
Jean-Marie Le Pen






Besoin d'immigration ?

04/08/2006 13:13

Besoin d'immigration ?


Les chiffres de l’immigration selon Michel Godet, économiste, professeur au conservatoire national des arts et métiers :

 

 

Ces chiffres, dit-il, sont fiables mais pas officiels car ils sont tenus dans le flou le plus total (volontairement ou involontairement).

 

 Il y a plus d’immigrés qui arrivent en Europe aujourd’hui qu’aux Etats-Unis (1,7 Millions).

Il y a les visas longue durée (VLD) 215 OOO entrées par an en France (chiffre qui a doublé depuis 1994 selon l’INED).

Les visas courte durée : par ex. 65 000 étudiants viennent en France par an mais repartent-ils vraiment dans leur pays d’origine à l’issue de leurs études ? Sinon, cela signifie que l'on pille la ressource de ces pays là.

 

La France est le premier pays au monde pour la demande d’asile : 65000 demandes par an. On en régularise 20 000 par an ; il en reste donc 40 000 qui s’évaporent dans la nature. Et comme par hasard, tous les ans les préfets régularisent 30 000 clandestins qui sont parmi le stock car, il faut savoir qu’au bout de dix ans de clandestinité en France, vous êtes régularisés et pouvez sortir du bois.

Si l'on a besoin d’immigrés c’est à cause du manque de formation ciblée et de la démographie française en chute libre et ce serait pour occuper des emplois d’assistants aux personnes agées et métiers du bâtiment, de sage-femme et d'infirmière, par ex. Il y aurait personne capable de le faire en France, soit-disant, alors que nous comptons 3 millions de chômeurs !

Nous constatons aussi un chômage des sur diplômés. Il y a trop de diplômés, inadaptés à la demande des entreprises et donc inemployables.

15% des jeunes sont en échec scolaire dans les ZUP où l'on a concentré les handicaps. Ces jeunes sont en grande majorité non francophones, et donc inemployables aussi.

Et puis, quels seront les innovations de demain qui vont définir les besoins d’emplois de demain ? On ne sait pas. Donc, quels immigrés pour demain ?

Pourquoi les bras et les têtes de demain ne peuvent pas être Français ? Car, cela voudrait dire, refondre notre éducation et notre enseignement, et être nous-mêmes créateurs d’emplois et d’entreprises. Comme on ne peut pas ou veut pas le faire, on préfère subir une immigration.

Quand il y  8 personnes qui immigrent en France, une seule le fait pour un contrat de travail. Le reste, soit par le droit d'asile, soit pour le regroupement familial. Ces deux derniers types d'immigration sont donc nécessairement subies pour la France. Car elle va devoir les financer (logement, CMU, RMI, éducation, etc…). Et comme ces personnes ne parlent pas français et inadaptées à nos besoins de travail, on peut penser que ce n'est pas demain la veille qu'ils rapporteront de la richesse à la France. 

On dit souvent que les Français ne veulent pas travailler à certains postes. Mais arrêtons de rêver ! La réalité c'est que les jeunes Français ne sont pas ou plus formés à ces postes depuis des années ! C'est de là que vient la pénurie.

 

Donc, arrêtons de créer trop de surdiplômés et adaptons la formation aux besoins réels en France. Cela nous permettrait de ne pas faire appel à de la main d'oeuvre extérieure. Mais cela voudrait dire deux choses : dégraisser le mammouth et faire une politique familiale de natalité. Et là, personne n'a le courage de le faire, à part le FN.Cela voudrait dire aussi redonner à la France son pouvoir de décision.

 

Ainsi, ce n'est pas que la France manque d'immigrés, mais de Français formés de manière pragmatique. Et les gens au chômage depuis trop longtemps ne sont plus adaptés aux besoins nouveaux.

 






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