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En finir avec un système délétère
22/11/2006 19:14
Invitée de Jean-Michel Aphatie sur RTL jeudi, Marine Le Pen a été questionnée sur ce problème. La directrice stratégique de la campagne a relevé que si un maire sur deux des communes rurales rencontrés par les démarcheurs des équipes Le Pen indiquait qu’il avait l’intention de voter pour le candidat du Front National, au final c’est l’ensemble des électeurs qui doivent pouvoir voter pour Jean-Marie Le Pen. La vice-présidente du FN a indiqué que Jean-Marie Le Pen avait envoyé un courrier au Premier Ministre pour lui demander que soit mis fin à la publication des parrainages, laquelle permet des pressions sur les élus, et « aggrave la difficulté des candidats qui ne sont pas ceux du système dans leur recherche des signatures ». Et Marine Le Pen de préciser encore que le Conseil constitutionnel, « intégralement UMP », semble avoir décidé de réduire le délai de recueil des parrainages. En 2002, l’envoi devait être effectué le 21 février pour un dépôt définitif le 4 avril ; il semblerait désormais qu’il aurait été décidé d’un envoi le 1er mars pour le 16 mars ! « On cherche à éliminer de la course des grands candidats qui ne plaisent pas au pouvoir, c’est insoutenable ». « J’espère que Dominique de Villepin suivra l’avis du sénateur Jean-Louis Masson » – qui s’était exprimé dans ce sens notamment dans Rivarol, voir FDA Quotidien du 6/04/2006 – « pour que la publication des parrainages cesse et qu’un collège de magistrats en vérifie la légalité ».
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Suite aux manifestations des pompiers
22/11/2006 18:56
mercredi 22 novembre 2006 Suite aux manifestations de pompiers
Communiqué de Presse de Jean-Marie LE PEN :
Si les débordements qui ont émaillé la grande manifestation des pompiers sont regrettables, il n’en demeure pas moins que ce mouvement exprime un véritable malaise. Les pompiers ont aujourd’hui des tâches de plus en plus diverses à remplir et ils ne bénéficient plus de la reconnaissance publique à laquelle ils ont légitimement droit. Les policiers et les gendarmes avaient manifestement reçu des ordres de fermeté qu’on ne leur donne pas en d’autres circonstances. Par exemple dans les banlieues, où ce sont précisément les pompiers qui se retrouvent les premières cibles des casseurs et des émeutiers. Quand la répression s’abat sur les automobilistes, les fumeurs, ou les pompiers, au lieu de viser les seuls vrais délinquants, c’est qu’une perverse volonté de brimer les Français prend le pas sur la véritable politique de sécurité, pourtant plus que jamais nécessaire.
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