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Elle a dit ...
13/01/2007 18:04

Sur les retraites:
Je crois qu’il y a un principe très clair en ce domaine, il faut revenir au principe de liberté. […] Le principe de liberté consiste à dire que ceux qui veulent travailler plus longtemps, parce que c’est leur intérêt, ceux qui veulent même travailler jusqu’à 70 ou 75 ans ont le droit de le faire, ils auront évidemment une bien meilleure retraite. Il y a aussi des personnes qui préfèreront prendre leur retraite à 55 ans, il est normal qu’ils aient une retraite inférieure.
Sur les syndicats:
Nous instaurerons la liberté syndicale […] Entre temps, nous aurons permis à de syndicats qui ne sont pas “représentatifs” d’émerger. Parce qu’aujourd’hui il y a un choix syndical qui, là encore, est coercitif ; on n’a pas le droit de se tourner vers des syndicats qui ne sont pas “représentatifs” alors que les syndicats dits “représentatifs” ne représentent plus personne.
Sur la fiscalité:
La priorité c’est de faire cesser en France l’existence d’un système fiscal qui est confiscatoire. […] Nous ne sommes pas uniquement dans un état d’esprit de redistribution, on est pas là pour mettre des pansements sur des jambes de bois parce ce que c’est déjà ce qui est fait. Nous sommes un pays qui a le plus d’imposition, qui redistribue le plus, or il y a de plus en plus de pauvres. C’est donc premièrement que ça ne marche pas et, deuxièmement, où va l’argent? Et c’est la priorité: où va l’argent? [Il faut] un audit généralisé sur ce qui est fait de l’argent des contribuables. Concrètement, nous proposons une modification radicale de la fiscalité. Nous proposons 4 tranches pour l’impôt sur le revenu, zéro pour ceux qui sont les plus modestes, puis 10, 15 et 20. Nous proposons d’appliquer le même taux pour l’impôt sur les successions: 0, 10, 15 et 20. […] Il faut arrêter de transformer ce pays en pays que l’on cherche à fuire. Nous ne sommes pas dans un état d’esprit de redistribution mais de création, de créations d’emploi. En l’occurence, nous pensons que nos propositions fiscales sont susceptibles de recréer un investissement dans notre pays, de relocaliser l’activité économique alors qu’aujourd’hui elle se délocalise. […] Moi, je ne veux pas redistribuer à des pauvres, je veux que les pauvres deviennent aisés!
source
Il faut avouer que ça un peu plus de gueule que “l’ordre en mouvement”, “l’ordre juste”, l’apologie de la justice chinoise, la discrimination positive, la “bravitude” ou les “jurys populaires”… Après la “lepénisation des esprits”, la libéralisation du lepénisme? Même pas! le Front National avait déjà une référence libérale, et de taille:
En 1981, l’administration Reagan a réussi à le faire : la baisse massive des prélèvements (10 % par an sur l’impôt sur le revenu pendant trois ans), jointe à une baisse drastique des dépenses publiques civiles (-130,6 milliards de dollars au cours des années fiscales 1981-1984) ont alimenté une période de prospérité sans précédent : jointe à d’autres mesures, cette politique permit le passage du taux d’inflation de 9 % en 1980 à 3,5 % en 1984, la chute du taux de chômage de 9,7 % en 1982 à 5 % en 1988. Pendant les deux législatures de Ronald Reagan, l’économie américaine a créé 16 millions d’emplois et l’Amérique a réalisé en valeur absolue une performance remarquable, en assurant, entre 1980 et 1988, un taux de croissance moyen de 3,4 % en volume. De quoi nous faire rêver… (source)

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la menace pèse sur les maires
13/01/2007 12:20
Nihous en appelle aux « maires libres »
Freiné dans ses demandes de signatures par des « pressions sur les maires », Frédéric Nihous, candidat de Chasse pêche nature et tradition, dénonce à l'occasion de ses voeux une « menace sur la démocratie ».
Jean Saint-Josse et Frédéric Nihous (Photo Marianne 2007.info)
Lors de ses vœux, Frédéric Nihous, candidat de Chasse pêche nature et tradition (CPNT), s'est alarmé des 250 promesses de signatures de maires réunies au lieu des 500 nécessaires à deux mois de la date (16 mars) de dépôt officielle. A titre de comparaison, ce sont 982 signatures qui avaient été récoltées lors des présidentielles de 2002. « La différence entre les deux campagnes est énorme » a martelé Jean Saint-Josse, ancien candidat du parti et directeur de campagne de Nihous.
Des élus victimes de chantage Selon Nihous, les communes rurales, soutien traditionnel du parti, sont soumises à « de fortes pressions ». Il constate, chez les maires, un sentiment « d'hésitation, de trouille et de ras-le-bol » car ces communes « privées des bénéfices du développement » sont totalement dépendantes des conseils régionaux et généraux. Après l'échec aux dernières élections qui a privé CPNT de tous ses élus, certains conseillers PS et UMP profitent, selon Nihous, de leur position dominante pour appliquer les consignes des partis sur les parrainages de façon brutale. « Si vous donnez votre signature aux chasseurs, on ne fera pas remonter votre dossier sur tel ou tel sujet, vos subventions, vous pourrez vous asseoir dessus, etc. » tel serait le chantage auquel sont soumis les élus locaux selon Frédéric Nihous. Que ce soit en matière d'équipement, d'infrastructure, d'eau ou d'électricité, les zones rurales ont « besoin d'aide pour se développer ». Une aide qui s'échange parfois contre ces précieuses dédicaces.
Un candidat dans chaque circonscription « C'est un problème démocratique » a dénoncé le leader de CPNT avant d'en appeler « à tous les maires libres pour défendre la ruralité », thème central de son programme. « Si on nous empêche de participer à cette campagne, il y aura des réactions », a pronostiqué Frédéric Nihous, ajoutant qu'il présenterait un candidat dans chaque circonscription aux prochaines législatives.
souce : mariane2007.info
Remarques : tous ces témoignages confirment ce que dit le FN à propos de la pression exercée sur les maires. Ce n'est pas virtuel...
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Pour la Nouvelle-Calédonie française
12/01/2007 18:13
Marine Le Pen, directrice stratégique de la campagne présidentielle, et Louis Aliot, directeur adjoint, ont effectué début décembre une visite de cinq jours en Nouvelle-Calédonie s’inscrivant dans le cadre de la campagne présidentielle de Jean-Marie Le Pen ; mais aussi de l’opposition de la droite nationale au gel du corps électoral dans l’archipel. Ils tenaient à ce sujet une conférence de presse le 8 décembre dans les locaux de campagne de Saint-Cloud.
La vice-présidente du FN a rappelé que les nationaux ont toujours été hostiles aux accords de Nouméa, ceux-ci n’étant que la préparation progressive de l’indépendance de l’archipel. Il est ainsi prévu de faire voter jusqu’à trois fois les Français de Calédonie par référendum au cas où ceux-ci se prononceraient à chaque fois pour le maintien de l’île dans la France ! D’autant qu’“un accord secret a été conclu entre Chirac, le RPCR-UMP et les indépendantistes, lequel ne devait pas être révélé aux Calédoniens avant 2004”. Ledit accord consistait à proposer un projet de loi constitutionnelle visant à geler le corps électoral à la date de 1998. Un “gel”, entériné par l’Assemblée nationale le 13 décembre (voir encadré) qui va à l’encontre de l’article 3 de notre Constitution, s’est indignée la dirigeante frontiste. Trahison morale,précédent dramatique Guy George, le responsable frontiste en Nouvelle-Calédonie et les trois autres élus FN du Congrès “combattent avec toute la force nécessaire” cette volonté de geler le corps électoral, a indiqué Marine Le Pen qui a relevé que c’est au moment où en métropole les partis du système et leurs candidats manifestent leur volonté de faire voter les immigrés que l’on décide sur un territoire français d’Outre-Mer d’empêcher des Français de voter ! Dans un courrier envoyé aux parlementaires et dont elle a donné lecture, Marine Le Pen a évoqué la nature antidémocratique d’un projet qui consacre une “rupture d’égalité entre Français établis sur la même partie d’un territoire de la République” […], dénonçant “un projet de loi constitutionnelle qui, au-delà de la trahison morale qu’elle contient, peut s’avérer un précédent dramatique pour l’unité nationale”. L’inquiétude des Calédoniens Marine Le Pen a indiqué aux journalistes que si ce gel du corps électoral était voté, elle appellerait “ceux qui sont exclus du droit de vote par cette disposition à cesser de payer leurs impôts”. La directrice stratégique de la campagne présidentielle a souligné que “cette volonté manifeste de la classe politique française de se débarrasser de la Calédonie était ressentie avec inquiétude par les Français de l’archipel, et ce au regard notamment de la situation des îles voisines qui ont obtenu l’indépendance – les Fidji, Vanuatu… – et qui ont sombré dans la misère et le totalitarisme. Le FN se battra par tous les moyens contre cette indépendance, dont l’idée même crée sur l’île une insécurité juridique et économique”. Par ailleurs, Marine Le Pen s’est félicitée du fait que le FN est “bien intégré dans l’île, sans exclusion, ni diabolisation”. La délégation frontiste a ainsi été reçue par de nombreuses personnalités officielles, des entrepreneurs, des industriels et de nombreux maires. Sarkozy l’opportuniste… Enfin, Marine Le Pen a relevé que si Nicolas Sarkozy s’est prononcé contre ce gel du corps électoral, il ne s’est pas par le passé opposé à la politique menée visant à détacher la Calédonie de la France, et que cette opposition du président de l’UMP à ce gel s’expliquait par des raisons électoralistes. Bref, M. Sarkozy s’est rallié à la position du Front National sur ce point parce que celui-ci pèse d’un poids grandissant…
souce : site du FN
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