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[ multimédias ] [ Marine Le Pen ] [ Jean-Marie Le Pen ] [ Sujets divers ] [ Mes reflexions ] [ Les communiqués ] [ citations ]

Marine interrogée sur le "troisième homme"

01/02/2007 18:32



Marine Le Pen estime que François Bayrou ne parviendra pas à ravir le rôle de "troisième homme" de la présidentielle à Jean-Marie Le Pen et le juge mal fondé à endosser la "tunique du contestataire".

"Nous gardons le calme des vieilles troupes", déclare la vice-présidente du Front national à Reuters, réagissant à une série de sondages créditant le candidat de l'UDF de 12 à 14% des suffrages, devant le président du FN.

Marine Le Pen estime que médias et instituts de sondage tentent de rééditer "l'opération" menée en 2002 avec l'ex-ministre Jean-Pierre Chevènement, sans pour autant empêcher le dirigeant du FN de se qualifier pour le second tour.

"Pour tenter de contenir un candidat que le système ne maîtrise pas, on essaye de le mettre en concurrence avec un candidat que le système maîtrise. C'est une technique habituelle, je crois qu'elle ne fonctionnera pas", avance-t-elle.

"Un candidat ne passe pas de six à quinze (dans les sondages) en l'espace d'un mois, ça n'existe pas en politique."

Ironisant sur François Bayrou qui veut être un "rebelle", la vice-présidente du FN estime qu'il "n'a jamais eu le courage d'appliquer les idées qu'il prône aujourd'hui lorsqu'il était au pouvoir" et qu'il continue "à participer au pouvoir parce que les municipalités UMP sont gérées avec les voix de l'UDF".

"Monsieur Bayrou veut endosser la tunique du contestataire, mais sur le fond, il défend la même Europe que Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy, sur l'immigration il a les mêmes positions, sur l'école, il a fait un livre dans lequel il y a tout ce qu'il faudrait faire. Mais il a été deux fois ministre et il n'a jamais rien fait", insiste-t-elle.

"SI DIEUDONNE S'INTERRESSE AU FN"

A ses yeux, Jean-Marie Le Pen a plus que jamais la possibilité d'accéder à nouveau au second tour de la présidentielle et la seule question consiste à savoir contre qui.

"Est-ce que ce sera contre Ségolène Royal ou est-ce que, compte tenu du fait qu'il y a un risque pour elle que sa candidature se dégonfle, est-ce que ça peut être contre Nicolas Sarkozy, c'est encore la seule question qui réellement nous agite", dit-elle.

Marine Le Pen ne cache pas qu'elle préférerait voir le président du FN affronter Ségolène Royal "parce que nous pensons qu'il y a là véritablement deux choix politiques".

Priée de dire si les efforts de "dédiabolisation" du parti d'extrême droite ne risquent pas d'entraîner une désaffection de ses électeurs traditionnels, elle répond "qu'une immense majorité du Front national a fait le choix idéologique de devenir un parti de gouvernement".

"Est-ce qu'on veut présenter une candidature de témoignage, ou est-ce qu'on joue le jeu de la réalité, est-ce qu'on essaye d'appliquer nos idées dans le contexte économique et social qui est celui de la France aujourd'hui ?", demande-t-elle.

La vice-présidente du FN estime que l'appel lancé par Jean-Marie Le Pen aux Français des quartiers populaires et issus de l'immigration, notamment en septembre dernier à Valmy, commence à porter ses fruits.

"Même si on ne demande pas l'origine des gens quand ils adhèrent, il semblerait qu'un certain nombre de gens soient passés au-delà du 'prêt-à-penser' et, aujourd'hui, s'interrogent très lucidement et même adhèrent aux propositions du Front", dit-elle.

Dans l'hebdomadaire Marianne, Farid Smahi, membre du bureau politique du FN, affirme que le nombre des adhérents d'origine maghrébine a triplé depuis 2002, passant de 1.000 il y a cinq ans à 2.700 aujourd'hui.

Pour Marine Le Pen, la présence de l'humoriste Dieudonné, qui a été un "adversaire violent" de l'extrême droite, à la fête des Bleus-Blancs-Rouges du FN en novembre dernier "brise le tabou et permet la curiosité".

"Le simple fait qu'il se déplace et qu'il soit accueilli normalement à la fête des Bleus-Blancs-Rouges fait qu'un certain nombre de gens se disent: 'si Dieudonné s'intéresse au Front national, est-ce qu'on ne pourrait pas nous aussi s'y intéresser ?'", explique-t-elle.

Interrogée sur une nouvelle petite phrase du président du FN estimant que l'antisémitisme "peut aussi être drôle", Marine Le Pen répond que "Le Pen a les qualités de ses défauts".

"Parfois sa franchise frôle peut-être la maladresse, mais il n'en demeure pas moins que ça reste de la franchise. C'est tellement rare dans la classe politique française que je ne suis pas sûre d'avoir envie qu'il l'abandonne", dit-elle.

"Il a son franc-parler mais il a mené le Front national de 0,74% à 17% et j'espère à plus en 2007".

A la question seriez-vous candidate si, après la présidentielle, la présidence du FN était vacante, Marine Le Pen répond: "Pourquoi pas ? Mais rien ne dit aujourd'hui que Jean-Marie Le Pen ne se représentera pas à la présidence du Front national, je n'y verrais aucun inconvénient, au contraire".

Marine Le Pen souligne qu'elle se présentera aux élections législatives en 2007 mais que le choix de la circonscription "n'est pas encore fait" car elle est "sollicitée dans un certain nombre de circonscriptions". Elle exclut cependant Paris.

En 2002, la vice-présidente du FN avait obtenu 32,3% des suffrages au second tour dans la circonscription de Lens face au socialiste Jean-Claude Bois.

source : boursier.com






Marine juge la campagne de Royale "inquiétante"

25/01/2007 20:15



Ségolène Royal mène une campagne "inquiétante" marquée par une "très grande légèreté" dans les propos, selon Marine Le Pen.

La vice-présidente du Front national, qui était interrogée au micro de RTL, a estimé qu'avec la candidate socialiste à l'élection présidentielle "on a l'impression qu'elle parle et ne sait pas de quoi elle parle. Il y a une très grande légèreté".

Elle faisait allusion à ce que les adversaires de Ségolène Royal ont interprété comme des faux-pas en matière diplomatique, le dernier en date cette semaine à propos du Québec.

source : l'express.fr

"Sur le Québec, c'était une erreur d'expression", a déclaré Marine Le Pen.

Ségolène Royal, après une rencontre lundi avec le dirigeant du Parti québécois (séparatiste), André Boisclair, a dit partager avec son interlocuteur des valeurs communes, à savoir "la souveraineté et la liberté" du Québec. Ces propos ont provoqué un tollé au Canada.

Marine Le Pen a ajouté que les Français ne savaient rien du programme de Ségolène Royal, par exemple "rien sur la fiscalité, rien sur l'Europe", et a conclu : "On ne sait rien, à part la succession de ses bourdes".






Elle a dit ...

13/01/2007 18:04



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Sur les retraites:

Je crois qu’il y a un principe très clair en ce domaine, il faut revenir au principe de liberté. […] Le principe de liberté consiste à dire que ceux qui veulent travailler plus longtemps, parce que c’est leur intérêt, ceux qui veulent même travailler jusqu’à 70 ou 75 ans ont le droit de le faire, ils auront évidemment une bien meilleure retraite. Il y a aussi des personnes qui préfèreront prendre leur retraite à 55 ans, il est normal qu’ils aient une retraite inférieure.

Sur les syndicats:

Nous instaurerons la liberté syndicale […] Entre temps, nous aurons permis à de syndicats qui ne sont pas “représentatifs” d’émerger. Parce qu’aujourd’hui il y a un choix syndical qui, là encore, est coercitif ; on n’a pas le droit de se tourner vers des syndicats qui ne sont pas “représentatifs” alors que les syndicats dits “représentatifs” ne représentent plus personne.

Sur la fiscalité:

La priorité c’est de faire cesser en France l’existence d’un système fiscal qui est confiscatoire. […] Nous ne sommes pas uniquement dans un état d’esprit de redistribution, on est pas là pour mettre des pansements sur des jambes de bois parce ce que c’est déjà ce qui est fait. Nous sommes un pays qui a le plus d’imposition, qui redistribue le plus, or il y a de plus en plus de pauvres. C’est donc premièrement que ça ne marche pas et, deuxièmement, où va l’argent? Et c’est la priorité: où va l’argent? [Il faut] un audit généralisé sur ce qui est fait de l’argent des contribuables. Concrètement, nous proposons une modification radicale de la fiscalité. Nous proposons 4 tranches pour l’impôt sur le revenu, zéro pour ceux qui sont les plus modestes, puis 10, 15 et 20. Nous proposons d’appliquer le même taux pour l’impôt sur les successions: 0, 10, 15 et 20. […] Il faut arrêter de transformer ce pays en pays que l’on cherche à fuire. Nous ne sommes pas dans un état d’esprit de redistribution mais de création, de créations d’emploi. En l’occurence, nous pensons que nos propositions fiscales sont susceptibles de recréer un investissement dans notre pays, de relocaliser l’activité économique alors qu’aujourd’hui elle se délocalise. […] Moi, je ne veux pas redistribuer à des pauvres, je veux que les pauvres deviennent aisés!

source

Il faut avouer que ça un peu plus de gueule que “l’ordre en mouvement”, “l’ordre juste”, l’apologie de la justice chinoise, la discrimination positive, la “bravitude” ou les “jurys populaires”… Après la “lepénisation des esprits”, la libéralisation du lepénisme? Même pas! le Front National avait déjà une référence libérale, et de taille:

En 1981, l’administration Reagan a réussi à le faire : la baisse massive des prélèvements (10 % par an sur l’impôt sur le revenu pendant trois ans), jointe à une baisse drastique des dépenses publiques civiles (-130,6 milliards de dollars au cours des années fiscales 1981-1984) ont alimenté une période de prospérité sans précédent : jointe à d’autres mesures, cette politique permit le passage du taux d’inflation de 9 % en 1980 à 3,5 % en 1984, la chute du taux de chômage de 9,7 % en 1982 à 5 % en 1988. Pendant les deux législatures de Ronald Reagan, l’économie américaine a créé 16 millions d’emplois et l’Amérique a réalisé en valeur absolue une performance remarquable, en assurant, entre 1980 et 1988, un taux de croissance moyen de 3,4 % en volume. De quoi nous faire rêver… (source)

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