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Créé le : 03/08/2006 16:39
Modifié : 17/01/2012 21:22

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[ multimédias ] [ Marine Le Pen ] [ Jean-Marie Le Pen ] [ Sujets divers ] [ Mes reflexions ] [ Les communiqués ] [ citations ]

Audience record

06/02/2007 19:37



Dimanche, la chaîne "Dimanche +"  battait son record de part d'audience avec 10.3%. On notera le pic d'audience de 2.6 millions de télespectateurs au moment de l'intervention de Marine le Pen.

source  : telenews.fr






Mise au point que Marine a envoyé à Novopress

02/02/2007 17:03



En réponse aux critiques virulentes de certaines personnes prétendant que Marine Le Pen s'attaquait au bilinguisme régional, celle-ci a envoyé une mise au point à Novopress que je publie ci-après :

 

« Vive la Gaule ! Par Toutatis ! »


Amis nationalistes : ne succombez pas au piège de nos adversaires mondialistes



Lors de l’émission Riposte sur TV5, j’ai déploré, dans une région chère à mon cœur, la Bretagne que, dans la foulée de la traduction des noms de lieux ou de villes en langue régionale, ce que je ne contestais pas, l’on ait vu apparaître un bilinguisme systématique dans la signalétique routière générale (« toutes directions », « zone artisanale »), ce qu’en revanche, je combats.


Certains amis y ont vu matière à ouvrir un débat que je ne voudrai pas esquiver compte tenu de son importance et de l’indéfectible estime militante que je leur porte.


La tendresse que nous avons tous pour les cultures régionales ne doit pas nous faire perdre de vue les exigences du rétablissement de la Nation française et donc du maintien absolu du français comme seule langue officielle de l’Etat.


Dans mon esprit, que cela soit clair, cet attachement à l’unité linguistique de notre pays n’interdit en rien l’enseignement facultatif à l’école ou naturellement l’apprentissage dans le cadre familial de langues régionales dont je souhaite ardemment la préservation.


Chacun d’entre nous, en effet, entretient dans sa sphère privée des affections particulières pour une religion, une région ou toute autre identité spécifique. Ces affections particulières sont naturelles et respectables mais ne doivent à aucun moment nous faire perdre de vue notre devoir de prémunir notre peuple de tout risque de désunion culturelle ou territoriale.


Comme défenseur de la Nation, hostile au principe même de l’Europe des régions, je ne peux me résoudre à prendre comme modèle institutionnel l’Espagne déchirée par les séparatismes, la Grande-Bretagne communautarisée ou comme modèle politique la Ligue du Nord et son curieux projet de Padanie.


Nos adversaires n’ignorent pas que la langue est un des ciments de la Nation. Ce n’est pas un hasard si les mondialistes veulent généraliser l’anglais pour nos élites et si les Européistes tentent d’imposer aux Etats-nations la charte des langues régionales pour les peuples.


En outre, ne nous y trompons pas. Ce ne sont pas tant les langues vernaculaires ou les cultures régionales que défendent les internationalistes de tout poil, ce sont les langues et les cultures minoritaires. Cette situation nouvelle, issue du contexte de la mondialisation, nous sépare d’ailleurs fondamentalement des aspirations au régionalisme qui ont pu, dans un passé déjà lointain, s’exprimer dans notre famille de pensée.


A l’évidence, ce serait faire preuve d’un angélisme coupable que d’oublier l’objectif de nos adversaires de détruire les nations pour asseoir la victoire du projet mondialiste. Le bilinguisme régional dans les provinces justifiera demain la signalétique en arabe en Seine-St-Denis et dans les quartiers pour mieux légitimer et installer demain une France en peau de léopard.


Sauf à adopter une conception communautariste d’inspiration anglo-américaine qui verrait le triomphe des minorités religieuses, ethniques voire tribales, l’Etat ne doit utiliser qu’une langue officielle sur tout le territoire national. C’est d’ailleurs cette exigence historique et institutionnelle qui a jusqu’à présent préservé notre pays des tentations extérieures, et parfois malheureusement intérieures, de dislocation culturelle et territoriale.


Vouloir contrevenir à ce principe d’unité linguistique ne peut qu’ouvrir la voie à la libanisation de notre pays, à l’éclatement de la Nation française et donc à détruire notre capacité de résistance. C’est pourquoi j’y suis résolument opposée.


C’est le débat qui nous opposera aux communautarismes, affichés ou non, notamment de l’UMP et du PS, lors de cette élection présidentielle.


L’inutile agressivité exprimée par Alsace d’abord dans ce débat est symptomatique, puisque ce mouvement régionaliste pro-européen prône l’émergence de régions européennes au détriment de la Nation française.


Cordialement.


Marine LE PEN






Marine, l'incontournable des plateaux télé

02/02/2007 16:49



Jeudi 25 janvier. 17 h 50. Marine Le Pen pénètre au pas de course dans cet espace culturel du XIe arrondissement de Paris pour enregistrer Etats généraux, l'émission de Paul Amar sur France 5 . «C'est une semaine de folie et la prochaine s'annonce pire», soupire-t-elle. La directrice stratégique de la campagne de Jean-Marie Le Pen joue les porte-parole sans en avoir le titre officiel. Après avoir écarté la vieille garde frontiste.


Depuis le 21 janvier, elle enquille enregistrements et invitations en direct sur les plateaux de télé et de radio. Ce dimanche-là, elle participait à l'émission Ripostes de Serge Moati sur France 5. Mardi, elle répondait aux questions de Dominique Souchier sur Direct 8. Mercredi matin, elle était sur RTL. L'après-midi, elle enregistrait l'émission de Franz-Olivier Giesbert sur France 5. Relâche le vendredi avant d'embrayer, lundi dernier, sur la nouvelle émission politique de France 3.


Sa gloire médiatique est née lors de la campagne présidentielle de 2002 : elle éclipse toutes les autres personnalités frontistes. Y compris Bruno Gollnisch, le successeur désigné de Le Pen. «Il ne serait pas indigne que je sois invité, se désole le numéro 2 du FN, mais je ne vis pas cette présence médiatique dans un contexte de rivalité avec Marine Le Pen.»


«Squatter». Sur la touche depuis octobre 2005, l'ancien secrétaire général Carl Lang n'est pas plus présent sur les écrans et se contente de «laisser les gens qui sont à la barre faire ce qu'ils ont à faire». Quitte à exercer un droit d'inventaire après la bataille. «Elle a du talent. Elle passe la rampe. Les médias la veulent, elle, et pas les autres. C'est comme cela», résume un des responsables du FN. Le parti d'extrême droite s'incarne soit dans le père, soit dans la fille. Et personne d'autre. Jean-Marie Le Pen, lui, distille ses apparitions médiatiques. Il se ménage et se réserve pour des confrontations avec les autres présidentiables. Pas question pour le président du FN d'être confronté aux seconds couteaux des différents partis. «Nous manquons cruellement de cadres d'envergure, se lamente un proche de Marine Le Pen. A part elle, il n'y a pas grand monde pour squatter les plateaux télés avec talent.»


Critiqué pour la manière dont il avait géré la campagne de 2002 et surtout pour l'impréparation du second tour, Gollnisch a décliné la direction de cette campagne laissant du coup le champ libre à la députée européenne. Marine Le Pen a désormais la haute main sur les thématiques de campagne et nourrit le recentrage de son candidat de père sur de nombreux points, comme, par exemple, l'avortement. «Je ne sais pas si elle contribue à dédiaboliser Le Pen même si son discours passe bien. En tout cas, elle dénature le FN en le vidant de ses fondements idéologiques», critique un historique du parti. Non seulement, elle dispose de la reconnaissance médiatique mais ses alliés occupent désormais les postes clés du mouvement. Ainsi, Louis Aliot, un de ses proches, tient-il le secrétariat général du FN et donc le contrôle des fédérations. Une fonction stratégique pour le prochain congrès qui devra valider la succession de Le Pen.


Détracteurs. Jeudi 25 janvier. 20 h 30. Les talkies-walkies de la sécurité de France Télévisions grésillent. «Marine Le Pen arrive par la rue intérieure.» Elle descend de sa voiture aux vitres fumées. Elle participe à l'émission A vous de Juger sur France 2 qui oppose en première partie le premier secrétaire du PS, François Hollande à François Fillon, le conseiller politique du candidat UMP. Louis Aliot ferme la marche. La vice-présidente du FN s'installe dans un petit salon en attendant l'antenne. «J'ai bien proposé à Arlette Chabot d'inviter quelqu'un d'autre du FN. Elle n'a pas voulu. Ce sont les médias qui me réclament. Ils ne veulent pas prendre de risque avec des gens moins connus, jure Marine Le Pen. J'ai conscience du poids de ce type d'émission où il faut être le plus performant possible.»
Mais à force de multiplier les interventions médiatiques, elle risque de commettre un faux pas que ses détracteurs, au sein du FN espèrent avec gourmandise.

source : libération.fr






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