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Ce sera Valmy !
04/08/2006 14:19
Le Pen choisit Valmy pour se lancer
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Suivant les conseils de sa fille Marine, le président du FN fera son premier discours de campagne le 20 septembre, jour anniversaire de la bataille livrée par l'armée de la Révolution française contre les Prussiens. Deux députés UMP s'insurgent.
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Jean-Marie Le Pen a tranché la semaine dernière lors d'une réunion de son bureau de campagne. Il donnera bien le coup d'envoi symbolique de sa bataille présidentielle à Valmy, dans le Marne, le 20 septembre, jour anniversaire de la célèbre bataille qui vit en 1791 l'armée révolutionnaire française stopper la progression de l'armée prussienne.
Le choix de Valmy a été proposé par Marine Le Pen pour manifester l'ancrage populaire et républicain de son père, et ce malgré des grincements de dents, notamment des royalistes, à l'intérieur du FN, plus habitué à célébrer Jeanne d'Arc que les hauts faits de la Révolution. Pour la vice-présidente du parti, " c'est au cri de " Vive la nation ! " que l'armée a vaincu les Prussiens " affirme-t-elle.
extrait tiré de TF1.fr
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Que ce soit clair !
04/08/2006 14:13
Jean Marie Le Pen fait une mise au point.
"Saint-Cloud, le 17 janvier 2004
Contrairement à ce qui a été faussement rapporté, je n’ai, évidemment, jamais dit que « La gestapo protégeait les populations civiles », ce qui serait inexact et même indécent. La gestapo protégeait les forces armées allemandes d’occupation dans un territoire où la résistance des partisans et des francs-tireurs prenait de plus en plus d’initiatives combattantes.
Pupille de la Nation, fils d’un Français « mort pour la France » en 1942, jeune résistant non par la carte, mais dans les faits, puisque après la mort de mon père, je détenais des armes, ce qui était en zone interdite (littoral breton) où nous étions avec ma mère, puni de mort.
En effet, à l’opposé de beaucoup de nos contempteurs, j’ai vécu les quatre ans de l’occupation de la France par l’armée allemande, partageant avec mes compatriotes les privations et les risques mais aussi l’espérance de la libération.
600 000 Français sont morts pendant la guerre de 39/45. Ils ont droit au souvenir fidèle, et leurs proches à la mémoire affectueuse des générations, pour la liberté desquelles ils sont tombés.
J’ai toujours considéré l’armée et les polices allemandes comme des organisations ennemies que je juge sans complaisance, mais en m’efforçant d’être juste et de refuser le manichéisme.
Cette loyauté intellectuelle et cette liberté d’esprit ont conduit pour la 2ème fois le gouvernement à engager contre moi des poursuites judiciaires pour délit d’opinion comme il l’a fait récemment contre Monsieur Gollnisch, comme moi député européen et dirigeant du Front National.
Il s’agit là d’une des persécutions menées contre des hommes politiques de l’opposition pour les faire taire ou les disqualifier avec l’aide de politiciens et des organisations chargés de l’inquisition politique, au moment où s’engage, ou devrait s’engager, un débat vital sur la survie de la France.
Il y aurait beaucoup à dire sur tous les sujets relatifs à la défaite et à l’occupation qui furent pour notre pays une si douloureuse épreuve. Mais cela est aujourd’hui interdit, sous peine de poursuites et de sanctions pénales, financières ou médiatiques, dans le pays qui se proclame pourtant celui des Droits de l’Homme, de la Démocratie et de la Liberté.
Pourquoi a-t-on peur du libre débat ? Quels intérêts protège l’Omerta ? Qu’est-ce qui peut justifier la haine, le mépris, les injures dont on m’abreuve ?
Je hais les crimes de guerre, quels qu’en soient les auteurs. Je compatis à la misère matérielle et morale qui a été celle de millions de victimes civiles innocentes, mais je crois que le pire des crimes de guerre, c’est d’avoir perdu la guerre prévisible que le gouvernement du Front Populaire n’avait pas préparée.
Il est toujours terrible pour un peuple ou une Nation de tomber sous la domination d’un pays étranger que ce soit par la défaite et l’occupation militaire, ou par l’abandon volontaire de son indépendance, de ses libertés, de sa sécurité comme on le fait aujourd’hui à l’Europe de Bruxelles sous les applaudissements des nouveaux collabos."
Source : forum patriote
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Opinion de Bruno Gollnisch sur la procédure intentée contre Jean-Marie Le Pen
04/08/2006 14:04

Cette procédure est proprement incroyable. Qu’un patriote comme Jean-Marie Le Pen, orphelin de guerre, ayant servi son pays par les armes, l’action, la parole, parlementaire, candidat à l’élection présidentielle, soit traduit devant les tribunaux pour avoir émis une opinion sur l’histoire de son pays et sur des événements remontant à plus de soixante ans, et cela sur le fondement d’une loi communiste, est à la fois imbécile et révoltant. Imbécile parce que, comme ne paraît pas le savoir la magistrate instructeur, faire l’apologie d’un crime, ce n’est pas le replacer dans son contexte ni dire que d’autres crimes ont été plus abominables encore, c’est se féliciter de ce que le crime ait été commis, et le justifier, ce qu’évidemment Jean-Marie Le Pen n’a pas fait. Mais l’inculture est partout… Révoltant, parce que l’on voit bien la manip., annoncée par l’inénarrable Karsfeld, qui voudrait bien faire prononcer l’inéligibilité de Le Pen mais qui, tout avocat qu’il soit, n’a pas lu la loi, qui ne prévoit pas une telle mesure. Révoltant parce que les communistes inspirateurs de ces législations d’exception n’ont, eux, jamais rendu compte des crimes monstrueux dont leur mouvement s’est rendu coupable. Révoltant enfin, parce que cette instrumentalisation de la justice dans le discours est évidemment contraire à nos libertés, et que cette dictature du « politiquement correct », en histoire, en politique, en morale, devrait voir se dresser les journalistes, les magistrats, les politiques. Alors que, par lâcheté ou complaisance, ils s’en font au contraire les acteurs ou les complices.
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