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Intervention de J.M Le Pen au Parlement européen
26/05/2007 14:45
Auteur : Jean-Marie Le Pen
Date : mardi 22 mai 2007
Sujet : Intervention au Parlement Européen sur le rapport Caspary et sur l'Europe Mondialisée
Monsieur le Président,
Le rapport du démocrate-chrétien allemand Caspary sur l'Europe mondialisée expose de manière presque caricaturale les bienfaits de la mondialisation et de la politique commerciale de l'Union Européenne.
En effet, il ne lui trouve que des avantages : ouverture des marchés, en particulier les marchés publics, compétitivité renforcée, bienfaits de la concurrence, libre-échange planétaire, avec un petit bémol sur les droits de la propriété intellectuelle.
A l'inverse le protectionnisme est condamné sans appel et les droits de douane sont voués aux gémonies comme des outrages insupportables au Dieu commerce.
Face aux ultras-libéraux tout puissants du Parlement Européen et de la Commission Européenne, il sera intéressant de voir ce que va faire le Gouvernement de M. Sarkozy pour défendre nos entreprises, en particulier nos PME/PMI, notre agriculture ou nos services publics ?
L'Europe étant déjà l'ensemble économique du monde le plus ouvert, il est paradoxal de vouloir aller plus loin, sauf à sacrifier délibérément et définitivement notre agriculture et notre industrie. Et pourtant, c'est ce que fait l'Europe de Bruxelles, au nom de la concurrence, du dogme libre-échangiste ou pour satisfaire nos "alliés" américains.
Dans ces conditions, faute d'une défense commerciale digne de ce nom, faute d'instruments de protection efficaces, faute de fonctionnaires européens indépendants des lobbies anglo-saxons, que peut faire l'Europe pour empêcher les délocalisations d'entreprises et la fuite des cerveaux et des capitaux ?
S'appuyer sur ses Nations millénaires et non sur le mirage européiste que défend M. Kaspary, gage de graves désillusions futures pour les citoyens européens.
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Interview de JMLP par National-Hebdo
25/05/2007 20:03
Extrait d'une interview de Natonal-Hebdo à JM. LE PEN
"Je rappelle que ce sont les nationaux qui ont assuré la victoire de Sarkozy sur madame Royal, en choisissant entre 2 maux celui qu'ils ont cru le moindre (...) je comprends qu'à l'election présidentielle des électeurs aient choisi Sarkozy plutôt que Royal. mais ce choix ne les oblige pas à voter UMP aux législatives"
National-Hebdo: "Le FN peut-il avoir des élus ?"
JMLP: " Oui, le front peut entrer à l'assemblée nationale. je pense que des élus FN peuvent emporter plusieurs circonscriptions. On verra alors si M. sarkosy modifie la ligne de Chirac. Rappelons-nous que ce dernier appelait à voter communiste ou socialiste pour que nos candidats ne soient pas représentés (...) Il n'y a pas eu d'élus FN à l'assemblée depuis 1988."
National-Hebdo: "Et l'avenir du FN..." JMLP : "Il faut que les électeurs du FN ailent voter... L'avenir de notre mouvement dépend du nombre de voix obtenues (...) Notre avenir est soumis aux moyens dont disposera le Front national. La subvention d'Etat, qui fournit nos moyens les + importants, je tiens à le signaler, est liée aux législatives. Par csqt, elle est essentielle, c'est notre moyen d'exister. Si nos électeurs veulent un mouvement national organisé et structuré, il faut qu'ils aillent voter."
"Présidentielles: Comment analysez-vous le recul de votre candidature en 2007 ? " JMLP: "en 2002,nous étions face à 2 candidats de gauche: M. Jospin (PS) et M. Chirac (faussement de droite) ; des électeurs UMP anti-chiraquiens avaient préféré voter Le Pen. en 2007, en + du PS, nous avions à faire face à 2 candidats de droite (M. Sarkozy avec tous les moyens à sa disposition et M.Bayrou mieux admis que Chirac). Avec 3 830 000 voix, je pense donc au contraire que la casse a été limitée."
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Succession de J.M. Le Pen ?
24/05/2007 20:15
La succession de Jean-Marie Le Pen, qui aura 79 ans fin juin, à la présidence du Front national (FN) occupe tous les esprits. Au sein du parti mais aussi à l'extérieur - dans la nébuleuse d'extrême droite et de droite extrême allant jusqu'à l'eurodéputé souverainiste, Paul-Marie Coûteaux - où l'on cherche à élargir le débat pour évoquer la nécessité d'un "Epinay de la droite nationale". Et cela en référence au congrès de juin 1971 qui a vu la fusion de l'ex-SFIO de Guy Mollet avec la Convention des institutions républicaines de François Mitterrand pour former le nouveau Parti socialiste. Au point que Le Choc du mois, mensuel qui s'est donné pour but de désenclaver l'extrême droite, consacre un épais dossier à "l'avenir de la droite nationale" dans son numéro de mai.
Cela fait des années qu'est soulevé de manière récurrente ce problème de succession. Il en était déjà question au congrès de Marly (Yvelines) en 1994. Elle provoqua le départ en décembre 1998 de Bruno Mégret, alors délégué général du FN, avec près de la moitié de l'appareil et à la création du MNR. A la suite de cette scission, Jean-Marie Le Pen avait cherché à apaiser les esprits en déclarant qu'en cas d'empêchement de sa part, autrement dit de décès ou de grave maladie, Bruno Gollnisch, alors secrétaire général, reprendrait le flambeau jusqu'au congrès chargé de nommer le nouveau président. Puis face aux impatiences des partisans de M. Gollnisch - parmi eux Jacques Bompard, Marie France Stirbois, Bernard Antony ou Christian Baeckeroot - il avait promis de se mettre en congé du parti pour se présenter "en homme libre" à la présidentielle de 2002. Une promesse non tenue au dernier moment.
Rongeant leur frein, les désormais adversaires de M. Le Pen, mais aussi de sa fille Marine Le Pen, s'étaient promis de prendre leur vengeance lors du congrès de Nice en 2003. La qualification du président du FN au second tour de la présidentielle de 2002, et aussi le refus de M. Gollnisch de se présenter contre M. Le Pen a contrecarré leur plan.
EUROPÉENNES DE 2009
Aujourd'hui la situation est différente. Les opposants les plus virulents - MM. Bompard et Antony - ont quitté le FN et Mme Stirbois est décédée. Plus personne ne songe à attaquer frontalement M. Le Pen qui vient d'essuyer un sérieux revers à la présidentielle. Celui-ci a d'ailleurs déjà fait savoir qu'il serait candidat à sa propre succession au congrès prévu fin novembre et qu'il comptait rester en place au moins jusqu'aux élections européennes en 2009 afin de ferrailler contre le traité simplifié promis par Nicolas Sarkozy. En revanche chacun, de Marine Le Pen à Bruno Gollnisch, s'emploie à faire comprendre au président du FN qu'il serait bon qu'il prépare lui même dès le prochain congrès la relève.
Partisans de Mme Le Pen et partisans de M. Gollnisch ont commencé les grandes manoeuvres. Déjà s'esquissent deux approches. La première, portée par Mme Le Pen, défend l'idée d'un parti unifié autour d'un programme qui, une fois consolidé, pourrait passer des alliances. Il s'agit de rompre avec ce que le FN a été jusqu'à récemment : un conglomérat de sensibilités diverses. A l'inverse, M. Gollnisch n'est pas "hostile a priori" à l'idée d'un "Epinay de la droite nationale" défendu par le président du MNR, M. Coûteaux et des régionalistes.
Ces deux sensibilités rivales s'accordent pour penser que "l'avenir appartient au FN" s'il se tient prêt à accueillir "les déçus Nicolas Sarkozy" mais aussi, comme l'explique M. Gollnisch au Choc du mois "les déçus du mouvement démocrate (...) car la victoire tactique de François Bayrou va se transformer en défaite stratégique".
source : Le Monde.fr
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