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Le FN aide les petits porteurs de l'eurotunnel
15/12/2006 19:38
Il y a quelques jours j'avais indiqué que j'étais en relation avec une association représentant des milliers de petits porteurs d'actions d'Eurotunnel qui m'avait contacté, en désespoir de cause, car AUCUN parti politique n'avait pris la peine de répondre à leurs doléances. Ayant reçu le dossier, je l'ai aussitôt transmis, devant autant d'injustice à l'égard de ces citoyens floués, à Bruno GOLLNISCH qui a pris en charge cette affaire... Voici ce que cela donne d'après Libération du 13 décembre 2006....
Un collectif de petits porteurs a été reçu par le FN, qui compte bien exploiter le dossier.
"Le Front national prend son billet d'embarquement surprise dans Eurotunnel. Alors que la direction du groupe de transport attaque la dernière longueur de la restructuration géante de sa dette en négociant demain avec ses obligataires, le parti de Jean-Marie Le Pen s'invite dans le dossier. Le 22 novembre, selon nos informations, une poignée de petits actionnaires de la société, sept ou huit parmi les plus teigneux, ont été reçus au siège du parti d'extrême droite, à Saint-Cloud. Emmenés par Alain Donnart, un Savoyard qui possède 1,2 million d'actions, les membres de la toute nouvelle Union des actionnaires d'Eurotunnel mécontents (UAEM) ont été accueillis comme des visiteurs de marque par Bruno Gollnisch, numéro 2 du FN, et ont eu une brève entrevue avec Jean-Marie Le Pen. Qui a promis de les revoir bientôt. «Nous sommes convenus de nous réunir rapidement, dans les semaines qui viennent, pour mettre au point notre expertise du dossier», confirme Gollnisch. Indemnisation. Le parti d'extrême droite a bien l'intention de capitaliser sur cette association de petits porteurs mécontents créée il y a deux mois, pour en tirer parti à l'échelle politique nationale. Au point qu'Eurotunnel pourrait bien faire irruption dans le débat de la prochaine élection présidentielle. «Si Jean-Marie Le Pen est candidat, il pourrait inscrire dans notre programme des mesures susceptibles de modifier la donne du tunnel sous la Manche», explique en substance le bras droit du patron du FN. Il étudie actuellement avec les actionnaires putschistes d'UAEM deux propositions estampillées «Eurotunnel» : d'une part, l' «indemnisation» des actionnaires minoritaires qui s'estiment «spoliés», selon des modalités qui restent à préciser ; d'autre part, une forme de nationalisation d'Eurotunnel pour empêcher, si besoin était, un fonds d'investissement anglo-saxon de prendre le contrôle de la maison. Une conférence de presse officielle devrait en dire plus sur les intentions du FN et de l'UAEM dans l'affaire Eurotunnel d'ici au 15 janvier. «Dans cette affaire, la responsabilité de la puissance publique est largement engagée», commente Bruno Gollnisch. Visiblement ravi de reprendre à son compte les arguments les plus imparables employés depuis toujours par les petits porteurs frustrés, lésés depuis que l'action ne vaut plus un kopeck à la Bourse de Paris. Eurotunnel aurait dû, selon eux, être une «action de père de famille», susceptible de grossir les économies de petits actionnaires forcément méritants, et l'Etat aurait dû garantir cet investissement et assumer ses responsabilités financières. «Sit-in». Cette thématique, usée jusqu'à la corde à force d'être reprise en choeur, est, à peu de variations près, la même que celle qu'emploie Joseph Gouranton, le patron de l'Association de défense des actionnaires d'Eurotunnel (Adacte), qui espère récupérer, à terme, 51 % du tunnel : «Nous disons cela depuis toujours, mais nous n'avons absolument rien à voir avec le Front national et je n'étais pas au courant de la création de l'UAEM.» «Nous non plus, on n'a rien à voir avec le FN. Moi, je suis UMP ; dans mon association, il y a deux socialistes. On a tenté de voir tous les partis politiques, seul le Front national nous a reçus», jure Alain Donnart. Qui promet de «foutre le cirque sur Eurotunnel avant la présidentielle». Au programme de ces agités de la cote, l'organisation d'un prochain «sit-in», façon Mai 68, devant le siège de l'Autorité des marchés financiers à Paris. Et, bien entendu, le blocage du trafic sous la Manche, si l'occasion s'en présente. «Je trouve dégueulasse que l'Etat ait mis 600 000 actionnaires à poil», justifie par avance Alain Donnart."
Voilà, vous avez bien lu : PAS UN MOT de compassion pour les victimes de ces magouilles financières destinées à flouer des petits porteurs mais une diatribe contre le Front National qui a le tort d'après ce brillant journaliste, d'écouter , de comprendre et de tenter de défendre des petits épargnants français ! Continuez donc comme ça messieurs, et vous verrez ... bientôt, très bientôt... quand le peuple s'éveillera !
source : site de Jacques Vassieux
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